Hosni Moubarak

fragiles) Dans la plupart des pays, la censure touche les opposants de toutes sortes  Manifestations réprimées à Bahreïn et au Yémen en 2011, avec troupes d’Arabie saoudite.  Le mouvement qui a conduit à la destitution du président égyptien Hosni Moubarak en 2011 ne présume pas pour autant d’une démocratisation du pays sur le long terme et les élections + montée des islamistes. // Libye, après la chute du colonel Kadhafi, facilitée par les Occidentaux, demeure incertain. C/ Les tentatives américaines

Le « printemps arabe » ( 2011 ) En 2011, le mouvement du « printemps arabe » a conduit à la chute des dictatures en Tunisie et en Libye (qui ne se trouvent pas au Moyen-Orient). L'Égypte est également marquée par le mouvement, et le président Hosni Moubarak est chassé du pouvoir. Aujourd'hui, l'avenir est incertain. En Syrie, Bachar El-Assad conserve le pouvoir par une répression féroce. En Égypte, l'armée contrôle le pouvoir. Souvent, des partis islamistes semblent en position de remporter les élections

Jours en 1967) et à ses procédures contestables. Cette révolution égyptienne est une série d’évènements (manifestations, grèves, occupation de l’espace public, affrontements avec les forces de l’ordre...) ayant abouti à la démission du président Hosni Moubarak et à une libéralisation du régime. Cependant, le pouvoir est aujourd’hui encore aux mains de l’armée. En conclusion, nous pouvons dire que la situation exceptionnelle peut certes favoriser l’accroissement du pouvoir souverain (ce qui n’est pas

les abus de pouvoir de la police ainsi que contre le chômage et la hausse des prix que le peuple trouvait injuste par rapport à leur qualité de vie. Mais l’objectif majeur des manifestants était de rétablir la démocratie en ôtant le pouvoir à Hosni Moubarak, président de l’Egypte depuis 1981. C’est le plus grand mouvement social que l’Egypte ait jamais connu, les manifestants venaient de toutes les classes sociales. Le 11 février, la population gagne et le président déchu se retire, l’armée prend

verrouillés pour empêcher l’émergence d’une opposition). Au « Guinness des records africains » de la longévité au pouvoir caracolent en tête le colonel libyen Mouammar Kadhafi (quarante et un ans), le Zimbabwéen Robert Mugabe (trente ans), l’Égyptien Hosni Moubarak (vingt-neuf ans), le Camerounais Paul Biya (vingt-huit ans) et le Tunisien Z. Ben Ali (vingt-trois ans). La tendance à l’autoritarisme est encore légion en Afrique, beaucoup d’États ne respectant pas les règles du pluralisme politique, les Droits

l’Ergenekon et les Dönmeh en Turquie et des liens étroits dans le domaine militaire et dans celui du renseignement entre les Saoud descendants des Dönmeh et les wahhabites en Arabie, les rapports évoquant des liens étroits entre l’ex-président égyptien Hosni Moubarak et son chef des renseignements Omar Suleiman et le gouvernement de Binyamin Netanyahu en Israël peuvent être vus sous un jour entièrement nouveau… Et cela expliquerait le soutien d’Erdogan à la révolution égyptienne : en Turquie, c’est une révolution

à Gaza. Un « accord de principe » sur le déploiement d'une force égyptienne de 750 hommes le long des huit kilomètres de la zone tampon, dite du « couloir de Philadelphie », a été conclu à Charm el-Cheikh en Égypte entre le président égyptien Hosni Moubarak et le ministre israélien de la Défense Shaul Mofaz. 2006 La tension avec les Palestiniens continue d'être vive (tirs de roquette "Qasam" sur les villes israéliennes et représailles de Tsahal). Le 25 juin, le caporal Gilad Shalit est enlevé par

un traité de paix avec Israël. 1981-2011 : Assassinat de Sadate et début de l’ère Hosni Moubarak. Pendant son mandat, il fait face à l’explosion démographique du pays qui va passer de 44 millions d’habitants en 1981 à plus de 84 millions en 2011. Cela fragilise le pays et son économie. On note également une très forte hausse du terrorisme dans le pays. Le régime de Moubarak aura eu un fort impact négatif sur le pays et le peuple en a marre. Le point de non retour aura lieu en

Profondeur du sillon. Dessin de Tiounine, paru dans Kommersant, Moscou. En couverture : Ouvrier d’une exploitation agricole, en Suisse. Photo de Alban Kakulya, Strates. Egypte : A la une du quotidien cairote Al-Dustour, au lendemain de la chute de Moubarak : “Enfin, il est parti.” “L’armée s’engage à diriger le pays.” Les graffitis sur son visage : “Tyran. ET idiot.” Photo Sipa. E. LEGOUHY Editorial Les opinions 14 Affaire Cassez. El-Béchir a sauvé sa tête. Le Mouvement vert vit encore en Iran

| |Le président de l'Autorité palestinienne Yasser Arafat participait aussi au sommet. | |Mais les deux voisins arabes de la Libye, le Tunisien Ben Ali et l'Egyptien Hosni Moubarak étaient absents. | | | |