Hospitalisation sans consentement

personnes hospitalisées dans le service de pneumologie de l’hôpital | | |Rangueil, ayant une fibroscopie bronchique programmée au cours d’une hospitalisation de plus de 24 | | |heures. | |

plus vite le traitement afin de ne pas passer trop de temps à l’hôpital, ce qui entraîne des souffrances physiques et morales. D ‘ailleurs, suite à un tel incident qu’il relate au directeur de la maison centrale, M. Mouisel refusa de donner son consentement aux séances de chimiothérapie. Plusieurs demandes de grâce médicale furent introduites par le requérant, son médecin mais elles furent toutes rejetées. Suite à une nouvelle demande de grâce, une expertise fut menée et le 19 juillet 2000, le requérant

réintégration du patient dans son milieu familial et social. Cela permet aussi une continuité des soins. Ce cadre juridique varie selon que le service accueille des patients majeurs ou mineurs. Il varie également selon les services dit « libres », « avec consentement du patient », ou les services d'hospitalisation d'office ou encore à la demande d'un tiers. L'IMM est un service « libre » en ce qui concerne les deux services d'hospitalisations. Il l'est d'autant plus pour l'unité de jour qui garde sa porte ouverte

déraisonnable. Le médecin n’a pas le droit de mort sur son patient, l’euthanasie est interdite. Le médecin n’a pas d’obligations de résultats mais à une obligation de moyens. Le médecin doit informer et conseiller son patient et obtenir son consentement. Mais dans certains cas, il peut le laisser dans l’ignorance de pathologie grave. Secret médical : il est interdit aux médecins de révéler à un tiers sans l’accord de son patient des secrets médicaux, administratifs, et des éléments concernant

soignant accorde à la personne soignée va l'amener à reprendre confiance en elle-même. Il existe un effet cumulatif de la confiance partagée.   3. Notion de consentement éclairé  Cependant, pour qu'il puisse y avoir une alliance thérapeutique véritable, basée sur la confiance, le patient doit être suffisamment informé et donner son consentement éclairé aux soins. a) L'information du patient  La loi du 4 mars 2002 impose au praticien hospitalier l'obligation d'informer de façon loyale, claire et

permettant de prendre les mesures sanitaires extrahospitalières opportunes et adéquates ».[4]. Trois conditions sont donc nécessaires : 1) la présence d’un trouble psychique pour lequel une intervention thérapeutique est nécessaire ; 2) l’absence de consentement aux soins de la part du malade ; 3) l’impossibilité de soigner la personne en dehors de l’espace sanitaire (qui, quoi qu’il en soit, ne pourra plus être l’hôpital psychiatrique, que cette même loi a aboli). En pratique, le traitement sanitaire

particulièrement fréquente, surtout en post partum, contemporaine de la montée laiteuse. A)Formes particulières : 1)le suicide collectif : il est précédé, accompagné ou suivi par la mort d’autres personnes avec ou sans leurs consentements. 2)le suicide travesti ou simulé 3)le suicide obéissant à des impératifs moraux et socioculturels(grève de la faim des détenus politiques, suicide des pilotes japonais « kamikazes ». VIII) DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE:

UE 3.1 Introduction Madame X est âgée de 83ans, elle est mariée et vit à domicile. Madame X a deux enfants, elle a travaillé toute sa vie en tant que serveuse. Elle a été admise dans le service de soins de suite et de rééducation après une hospitalisation pour une pose de clou gamma au fémur gauche (matériel biocompatible utilisé en chirurgie orthopédique afin de solidifier une fissure au col du fémur). Afin de recueillir les informations nécessaires à la prise en charge de madame X, j’ai consulté

couple, fécondés avec le sperme du mari, puis réimplanté à la femme souffrant d’une stérilité ovarienne définitive (ou porteuse d’une maladie génétique grave). Comme pour le sperme, le don d’ovules est volontaire, anonyme et gratuit, et nécessite le consentement du conjoint de la donneuse. *Don d’embryons : on peut aussi implanter un embryon surnuméraire congelé à la femme d’un autre couple dont les 2 membres sont stériles. *Le prêt d’utérus par les « mères porteuses » est le prolongement du don d’ovules :

l’arrivée dans le service, Mme X, lors de l’entretien d’accueil nous explique qu’elle vit à « la dure » et que pour se laver elle utilise l’eau du ruisseau en face de sa maison. Au vu de l’état sanitaire et physique de Madame X lors de son hospitalisation, une douche s’impose. Celle-ci nous permettrait d’évaluer son état cutané et de lui enlever les croûtes présentes dans ses cheveux. Pour faire ce soin à la patiente, il a fallu entrer dans son « jeu » car Mme X. était opposante aux soins