Houthis

sa région de Hasa, à majorité chiite et aussi principale région productrice de pétrole du pays (les chiites représentent 10% de la population saoudienne). Plus récemment, les saoudiens dénoncent le soutien qu’apporterait Iran au mouvement rebelle Houthi au Yémen, dont le combat contre le gouvernement de Sana’a déborde sur le territoire saoudien. Par effet de miroir, l’Iran peut craindre que les saoudiens apportent un soutien financier aux sunnites baloutches du mouvement de guérilla Joundallah, qui

pour ses activités dans la région, le risque sécessionniste au sud et le conflit avec la rébellion houthie dans le nord. Fait nouveau : les observateurs relèvent les liens existant entre les éléments d’AlQaïda au Yémen et les groupes islamistes somaliens. Par ailleurs, une radio iranienne a indiqué que l’armée de l’air saoudienne avait participé à des raids de l’armée yéménite contre les rebelles houthis. On craint donc que la région ne devienne le théâtre d’un nouveau conflit interconfessionnel à dimension

la capitale, jetant leurs adeptes sur le pavé, les uns contre les autres. La conjoncture s’est par la suite complexifiée plus encore, lorsque les Houthistes intensifièrent la rébellion qu’ils menaient depuis 2004 déjà : partisans d’Abdul Malek al-Houthi, le leader de l’insurrection, situés dans les montagnes du nord, autour de la cité de Saada, population très éloignée de la capitale et généralement oubliée des promesses présidentielles, les Houthistes, de religion zaydite, proches du chiisme (à

also triggered the following alerts: Conflict; * Houthi rebels offer to withdraw from Saudi territory citing high cost to civilian life * ICRC says humanitarian conditions in north ‘worse than ever’ * Clashes in south continue SANAA: The leader of Yemen’s rebels on Monday offered a ceasefire to Saudi Arabia and said his fighters would withdraw from the kingdom’s territory to avoid more civilian casualties. The announcement by Abdul-Malik al-Houthi followed three months of border fighting between

front Al-Nusra), des forces régionales (Kurdes syriens et irakiens), les puissances régionales (Iran, Arabie saoudite, Turquie) et des puissances internationales antagonistes (EU, Russie).La guerre civile au Yémen depuis 2014, oppose les houthis rebelles chiites soutenus par l’Iran, au gouvernement sunnite soutenu par l’Arabie saoudite.IV) Une paix difficile à trouver De  nombreux plans de paix sont proposés  pour apaiser les relations entre Israël, les

région de Hasa, à majorité chiite et aussi principale région productrice de pétrole du pays (les chiites représentent 10% de la population saoudienne). Plus récemment, les saoudiens dénoncent le soutien qu’apporterait Téhéran au mouvement rebelle Houthi au Yémen, dont le combat contre le gouvernement de Sana’a déborde sur le territoire saoudien (soutien largement exagéré selon les américains, d’après les informations des câbles diffusés par Wikileaks). Par effet de miroir, Téhéran peut craindre que

autres sur leur chemin entre la mosquée et la place de l’université, et ont incité des chefs de tribus à d’accepter le plan de sortie de crise proposé par le Conseil de Coopération du Golfe fin Saada, où fait rage la bataille antigouvernementale des Houthis. Mais la faiblesse du ré­ gime et la violente fusillade du 18 mars au cours de laquelle des tireurs embusqués, parti­ rallier les positions de la famille Al Ahmar. Les refus répétés du président yéménite avril ont largement envenimé la situation,

YEMEN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ABD RABO MANSOUR HADI 25 FEVRIER 2012 MEHDI HUSSEIN AL-MACHAT (PRESIDENT DU CONSEIL POLITIQUE SUPREME) 23 AVRIL 2018 PREMIER MINISTRE MAEEN ABDUL MALIK 15 OCTOBRE 2018 ABDEL AZIZ BEN HABTOUR (GOUVERNEMENT HOUTHI) 4 OCTOBRE 2016 ZAMBIE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE EDGAR LUNGU 25 JANVIER 2015 ZIMBABWE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE EMMERSON MNANGAGWA 24 NOVEMBRE 2017 https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Flag_of_Turkey.svghttps://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Flag_of_Tuvalu

oTciellement interdites sur son territoire, ce qui lui permet de nier tout lien avec les débordements de ces groupes. �Pour illustrer les enjeux de puissance dans les interven;ons militaires extérieures ● Yémen : bataille de Marib en 2021 entre les rebelles Houthis (soutenus par l’Iran) et les forces gouvernementales (soutenues par l’Arabie Saoudite). L’AS était intervenue en 2015 dans l’opéra-on « tempête décisive », ce pays est le théatre d’aKrontements par armées interposées entre l’Iran chiite

revers. Le cas du Yémen est sans doute son plus cuisant échec. À deux reprises, en 2008 et en 2010, le Qatar a largement arrosé les rebelles houthis du Nord, qui réclament une autonomie au pouvoir de Sanaa, tenu à l’époque par le président Ali Abdallah Saleh, lequel s’était vu offrir un avion par l’émir Cheikh Hamad. En donnant de l’argent aux Houthis, les Qatariens pensaient calmer les insurgés et les encourager à entrer en négociation avec Saleh. Mauvais calcul ! Les rebelles ont pris l’argent