Houx

bruit,Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Ce poème est un des plus connus de Victor Hugo (1802 - 1885). Tiré du recueil Les contemplations, il a été écrit le 4 octobre 1847. Il appartient au courant du réalisme et du romantisme. Il y célèbre la mort de sa fille

verbe « tombe » au vers 9 laisse déjà entendre l’issue du poème, ainsi on retrouve le nom « tombe » au vers 11. Ensuite le nom de la ville « Harfleur » laisse entendre le bouquet de fleur au vers 12. Ce poème se termine par une offrande de fleurs « houx » et « bruyère » qui sont des fleurs persistantes. Hugo veut montrer son amour à sa fille et croit en l’immortalité de sa fille. -Pour conclure le voyage est en réalité un voyage de deuil. Léopoldine la fille de Victor Hugo ne peut pas être oubliée

combattre la contagion par des remèdes. Cependant le joyeux mois de mai brillait sans nuages au-dessus de ces montagnes à l’aspect pittoresque et de ce beau pays tout couvert de bois. Les jardins étaient resplendissants de fleurs, les buissons de houx avaient atteint la hauteur des arbres, les lis étaient éclos, et les roses venaient de s’épanouir ; les plates-bandes de nos petits massifs étaient égayées par le trèfle rose et la marguerite double ; matin et soir l’églantier odoriférant répandait

étaient tout noirs. Chère, pour peu que tu te bouges, Renaissent tous mes désespoirs. Le ciel était trop bleu, trop tendre La mer trop verte et l'air trop doux. Je crains toujours,- ce qu'est d'attendre! Quelque fuite atroce de vous. Du houx à la feuille vernie Et du luisant buis je suis las, Et de la campagne infinie Et de tout, fors de vous, hélas! Paul Verlaine Il pleure dans mon cœur Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville; Quelle est cette langueur Qui

inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Les contemplations, Victor HUGO, 1847 Tomas COLE, Une croix dans la solitude, 1845 Ce tableau reflète l’esprit du poème : un homme, seul, dans la nature, pleurant l’être disparu. Ce qui attire l’attention dans

inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Page 19/23 Statue Victor HUGO près de Villequier Le poème « Demain dès l’aube » est le récit du pèlerinage annuel que Victor Hugo effectuait entre le Havre et le cimetière de Villequier. C’était l’occasion pour le

même manière, toujours avec les mêmes ingrédients et la laisse mijoter toute la semaine jusqu’au dimanche. La fête de Noël aux Chaumots est aussi une coutume festive racontée de manière très detaillée: la maison est décorée par un bouquet de gui et de houx, la table est recouverte d’une nappe ancienne brodée, le repas est servi dans un service à porcelaine. Quant à la nourriture, il y’a des lamelles de truffes grises ramassées dans la forêt, des carottes fraiches, des pois chiches, des épaisses tranches

Prolonger la durée de vie des fleurs dans un vase 12. Entretenir les plantes d'intérieur 13. Entretenir les fougères 14. Entretenir la santé des plantes grâce aux algues 15. Désherber l'allée 16. Cultiver haricots, potirons et maïs 17. Conserver le houx 18. Conserver la couleur des hortensias 19. Chasser les taupes 20. Chasser les oiseaux des tomates 21. Chasser les oiseaux des cerisiers 22. Chasser les moustiques de la terrasse 23. Ameublir la terre d'une plante d'intérieur 24. Accélérer la pousse

inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor HUGO (1802-1885) Il faut que le poète Il faut que le poète, épris d'ombre et d'azur, Esprit doux et splendide, au rayonnement pur, Qui marche devant tous, éclairant ceux qui doutent, Chanteur mystérieux

à la langue française (char, charrette et chariot, ou sapin, lande et alouette...), l’apport du germanique ancien a été considérable, avec des noms de couleur (bleu, blanc, blond, brun, gris...) des mots de la nature (bosquet, jardin, haie, hêtre, houx, roseau, saule, blé, gazon, groseille...), des noms d’animaux (renard, chouette, héron, mésange, hareng...), des désignations de réalisations humaines (fauteuil, bûche, étrier, gant, flacon, soupe...), des paires de mots de sens opposé (guerre et trêve