Huguenot

historiens ont pour habitude de dater le début des violences de religion au massacre de Wassy en 1562. C’est dans ce petit village en Champagne que les hommes de François de Guise massacrèrent des protestants aux cris de «  tue, tue, mort Dieu, tue ces huguenots ». Pris d’effroi, les protestants entreprirent aussitôt de répondre à cette violence en prenant la ville de Tours. En 1562, la catholique Catherine de Médicis profita de la mort de Guise afin de faire passer l’Edit d’Ambroise qui garantissait la

les officiers allemands dont beaucoup mettent la France « au-dessus » de tout en ce domaine. Ambroise est arrêté pour avoir fait voler un cerf-volant avec une étoile jaune. Il décide de se rendre à Le Chambon-sur-Lignon pour rejoindre un réseau huguenot permettant de sauver les enfants juifs. Il est ensuite arrêté entre Lyon et la frontière suisse par les allemands. Il revient heureusement d’Auschwitz et peut, à Cléry, reprendre avec l’évocation de ses grands personnages symboliques, l’espoir et

paragraphe ce que l’Ingénu, en un chapitre, n’aura pas réussi à faire. « Ce même jour, le révérend père La Chaise, confesseur de Louis XIV, avait reçu la lettre de son espion, qui accusait le Breton Kerkabon de favoriser dans son cœur les huguenots, et de condamner la conduite des jésuites. Monsieur de Louvois, de son côté, avait reçu une lettre de l’interrogeant bailli, qui dépeignait l’Ingénu comme un garnement qui voulait brûler les couvents et enlever les filles. » (chapitre IX) De même

documents complémentaires : article « Réfugiés » de l’Encyclopédie, anonyme ; biographie de Voltaire ( « l’affaire Calas » en particulier) ; document historique sur les dragonnades. ■Repérer dans le chapitre la thèse et les arguments de Voltaire, des Huguenots ■Comparer avec l’article de l’Encyclopédie ( thèse, arguments, procédés) ■Illustrer avec les références historiques Séance 5 . Argumenter : l’ironie Objectif : les cibles de la satire politique et les charges contre le pouvoir

bulgare. Pris pour un fuyard, il est rattrapé et fessé, échappant de justesse à la mort pour assister à la guerre et à ses massacres (II-III). Il déserte et fuit jusqu’en Hollande, où il découvre l’intolérance et l’hypocrisie sectaire d’un prédicateur huguenot. Le hasard lui fait rencontrer Pangloss, rongé par la vérole. Ce dernier lui apprend la destruction du château, ainsi que le viol et la mort de Cunégonde, à cause de l’armée bulgare. Le baron, la baronne et leur fils ont également été tués. Candide

suivaient la doctrine de Luther se déclarent contre les décisions prises par la diète impériale à Spire, à majorité catholique. Les protestants français, tous appelés « luthériens » au début par leurs adversaires, seront ensuite nommés par dérision « huguenots », puis « religionnaires ». Il existe de très nombreuses différences entre le culte protestant et le culte catholique. Les différences principales sont : * Les protestants se référent quasi-essentiellement à la Bible (sola scriptura). *

bravoure, et une dispense lui permettant d'épouser celle qu'il aime. Cependant, il n'arrive pas à faire entendre sa voix à Versailles, et se fait embastiller à la suite de deux lettres le dénonçant, dont une affirmant son engagement en faveur des Huguenots. En prison, il fait la connaissance du janséniste Gordon. Pendant ce temps, Mlle de Saint-Yves part à Versailles pour faire libérer son amant ; et pour ce faire elle se voit obligée de commettre l’adultère avec Mgr de Saint-Pouange. Elle repart chez

chez les lépreux que l'admiration pour le Bon était en diminution -Heureusement que son boulet de canon ne l'a coupé qu'en deux, disait tout le monde. S'il en avait fait trois morceaux, Dieu sait ce qu'il nous aurait fait voir! Maintenant les huguenots** montaient également la garde contre luo parce qu'il avait perdu tout respect pour eux et venait à toute heure espionner le nombre de sacs qu'ils avaient dans leurs greniers et les sermonner sur les prix. Après quoi il racontait tout à la ronde

meurt le 25 novembre 1763. II-Le livre Ecrit par l’Abbé Prévost, Manon Lescaut est un roman-mémoire du 18ème siècle qui a été publié en 1731. L’inspiration de Manon lui est venue d’une histoire d’amour qu’il n’a pas pu vivre avec la fille d’un huguenot. Ecrit en deux parties, ce livre parle d’une histoire d’amour entre le Chevalier des Grieux et une jeune fille nommée Manon. Cette dernière devait aller au couvent pour recevoir une éducation stricte qui l’éloignera des vices. Mais elle s’enfuit

Tellier ; pour les Finances, c’est Jean-Baptiste Colbert ; pour les Affaires étrangères, Arnauld de Pomponne ; pour les huguenots, Châteauneuf. » (Lignes 33-35). Tout d’abord on trouve Simon-Arnault, marquis de Pomponne qui est ministre des Affaires étrangère, il remplace le ministre Lionne à sa mort en 1671. On trouve également Châteauneuf qui s’occupe du dossier des huguenots. Ce terme péjoratif désigne les protestants calvinistes présents en France, véritable problème pour le roi très attaché