Humble Proposition

"tout", "tous", "toute", ou "toutes" Les trucs et astuces qui permettent d'orthographier correctement "tout", "tous", "toute", ou "toutes" Le cours Tout : En tant qu'adverbe, il faut écrire "TOUT" lorsqu'on peut le remplacer par "Vraiment" ou "Entièrement". EXCEPTION: devant un adjectif féminin commençant par une consonne ou par un "H" aspiré, il s'accorde avec l'adjectif. En tant qu'adjectif, il s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. En tant que pronom, il prend

mode dans les relatives LE MODE – l’indicatif Mais le subjonctif a) quand la proposition principale introduit l’idée de rareté ou d’exception avec des expressions comme le seul, l’unique, le dernier, ou des superlatifs Ex : C’est le seul ami qui me comprenne. Armstrong est le premier homme qui ait marché sur la Lune. C’est le meilleur film que j’aie vu cette année. b) quand la proposition principale introduit l’idée de restriction avec des expressions comme rien, personne

Ce que est la tournure utilisée dans l'interrogative indirecte : la question n'est pas posée directement, mais elle est rapportée. La tournure introduit la proposition subordonnée dépendant d'un verbe tel que demander, ignorer, savoir… Je ne sais pas ce qu'il attend de cette rencontre (et non je ne sais pas qu'est-ce qu'il attend). Elle nous a demandé ce que nous voulions boire. Si l'interrogation indirecte fait partie d'une phrase déclarative (voir les deux exemples ci-dessus), il n'y a pas de

façon de… 2) On peut utiliser des adjectifs exprimant la comparaison : semblable à, pareil à, tel… 3) On peut enfin employer des verbes : ressembler à, différer de. III Comment exprimer la comparaison dans une phrase complexe ? On emploie une ​ proposition subordonnée complément circonstanciel de comparaison​ . Elle peut être introduite par : -la conjonction de subordination « comme » : J'ai fait le travail ​ comme vous me l'avez conseillé​ . -Les locutions conjonctives « ainsi que, de même que, tels

4ème conjugaisons Il se décline sur le modèle de la 3ème déclinaison (attention, génitif pluriel en –ium et abl. sg. en -e) Employé tout seul le participe présent peut se traduire par un nom, un adjectif qualificatif, un participe présent ou une proposition subordonnée relative. Ex : canentes : les chanteurs, ceux qui chantent ou chantant… Periculo imminenti : un danger menaçant 2. Le participe parfait passif (rappel) Il se forme sur le radical du supin (5ème forme des temps primitifs sans

en écrivant une critique. Ces éléments serviront de base au moment de l’élection du roman préféré. ? Le constat : - Les « suites de mots » écrites en guise de critiques ne sont pas toujours des phrases : problème de ponctuation, absence de proposition principale (« parce qu’il y a du suspens ») - Certaines phrases ne sont pas des critiques, elles ne relatent parfois qu’une des actions de l’histoire). Le lexique employé est pauvre et souvent limité à « j’ai aimé », « je n’ai pas aimé », etc…

LA CONCORDANCE DES TEMPS La concordance des temps, c’est la nécessaire correspondance entre le temps du verbe de la proposition principale et le temps du verbe de la ou des proposition(s) subordonnée(s). Temps de la principale Temps de la subordonnée Action subordonnée antérieure à l’action principale · Passé simple : Il croit que Napoléon fut un grand homme · Imparfait de l’indicatif : Il me semble qu’elle était présente aux festivités · Passé composé : Je pense que tu es parti trop

a-t-il de propositions dans ces phrases ? /4 Je ne sais pas de qui tu parles ………………………….……………………………………………………….………….. Les gendarmes demandent qu'on ralentisse…………………………………………………………………………. David s'est acheté une moto d'occasion pour le cross …………………….……………………………… Le spécialiste examine le patient qu'il a opéré…………………………………………………………………….. III. Les subordonnées : souligne les propositions subordonnées puis indique leur nature : /11 Ex :J’espère que tu réussiras cet exercice …proposition subordonnée

immaculé ce qui était un signe de noblesse, le groupe nominal « La blancheur de se teint » en est l’exemple parfait. « Ses cheveux blonds » en plus de la perfection de son teint la rendent rayonnante. Ce qui lui donne un « éclat » particulier. La proposition subordonnée « que l’on n’a jamais vu qu’à elle » prouve que Mademoiselle de Chartres plait à tout le monde. Avant sa venue à la cour nulle femme n’avait égalé une telle beauté. Dans le portrait physique de Mademoiselle de Chartres, le narrateur

spleen. I. La montée de la crise 1) Une lente progression vers l’inexorable Tout d’abord on note que les quatre premiers quatrains développent une seule phrase qui progresse avec trois subordonnées (3 quand) et aboutit à un paroxysme dans la proposition principale ; donc L'anaphore, avec le mot "quand" répété 3 fois, rythme cette progression. Par ailleurs, les coordinations "et qui" (vers 3-11), les enjambements continuels, tout cela donne l'impression d'un mouvement lent et enchaîné inexorablement