Humour Soins Palliatifs

Analyse de situation 1 : Lieu: Dans une clinique , dans le service de soins de suite et rééducation, plus précisément dans la chambre de Monsieur C. La situation se déroule en présence de Monsieur CG , ses 2 enfants ( Monsieur LG et Madame FD) , l'infirmier du service et moi-même . Situations ou activités vues : Pour pouvoir décrire la situation, il est nécessaire de présenter Monsieur CG. Monsieur CG est âgé de 75 ans , il est entré dans le service il y a un mois ,avec pour motif d'entrée

loi déposée au Sénat en décembre 1999. Les initiatives parlementaires relatives à la dépénalisation de l'euthanasie s'étaient succédé depuis plusieurs années. La loi relative à l'euthanasie a été adoptée en même temps qu'une loi relative aux soins palliatifs.  La loi sur l'euthanasie reconnaît aux patients la possibilité de demander à l'avance qu'un médecin mette fin à leurs jours pour le cas où ils ne pourraient plus exprimer leur volonté. | | 1) La dépénalisation de l'euthanasie a) La reconnaissance

: AUTEUR Marie de HENNEZEL est une psychologue et psychothérapeute française née à Lyon le 5 août 1946. Elle est titulaire d'un DESS de Psychologie et d'un DEA de Psychanalyse. Elle a travaillé pendant dix ans dans la première unité de soins palliatifs de France, créée en 1987 à l'Hôpital international de la Cité universitaire de Paris. Elle anime des conférences et des séminaires de formation à l'accompagnement de la fin de vie en France et à l'étranger. En 1992, elle fonde avec Jean-Louis

croix. « Même si la mort est considérée comme imminente, les soins extraordinaires donnés à une personne malade ne peuvent être légitimement interrompus. L’usage des analgésiques pour alléger les souffrances du malade, même au risque d’abréger ses jours, peut être moralement conforme à la dignité humaine si la mort n’est pas voulue, ni comme fin ni comme moyens, mais seulement prévue et tolérée comme inévitable… Les soins palliatifs constituent une forme privilégiée de la charité désintéressée.

solitude ne peut être résolue du seul fait d’une injection de morphine, même si celle-ci représente quelquefois la seule alternative possible. Il est donc indispensable que l’esprit des soins palliatifs se diffuse à toutes les catégories de professionnels dans tous les services hospitaliers. Les soins palliatifs et l’accompagnement sont devenus un nouveau champ de connaissances et de pratiques cliniques, un sujet de société et un problème de santé publique prioritaire. Cette question de politique

c’est une façon de garder espoir parce qu’ils ne veulent pas voir leur proches mourir car ils ne souhaitent pas prendre une telle décision ils préfèrent rester près d’eux à les soutenir le plus longtemps possible. Ils existent tout de même des soins palliatifs qui permettent d’accompagner le malade à une fin de vie plus douce. B. Si oui, n’abuserions nous pas de cette échappatoire ? Si le droit au "suicide assisté" doit être reconnu pour tous, il n’y a aucune raison pour que ce "droit" reste réservé

l’aspect médical, social et psychologique. ✓ L’établissement du projet de soins et la planification des activités infirmières pour le patient : Une fois le recueil de donnée effectué et examiné par l’équipe soignante, l’établissement d’un projet de soin personnalisé et centré sur le patient marque réellement le début de la prise en charge institutionnelle. ✓ - La réalisation, le contrôle des soins infirmiers et l’accompagnement de la personne et de son entourage : L’infirmier détient

Infirmière en soin palliatif Une infirmière en soin palliatif se doit d'être très forte mentalement car elle voit tout au long de la journée des personnes mourantent et des familles désespéré ne sachent plus quoi faire. Son boulot est d'améliorer au mieux la fin de vie de ces personnes et peut être même leurs redonner un sourir. Elle doit aussi prévenir les familles de la mort du patient, se qui n'est pas une tâche facile. Cette infirmière doit être le plus possible à l'écoute de l'attente du patient

L’euthanasie est une action ou une omission dont l’intention première vise la mort d’un malade pour supprimer la douleur. L’euthanasie est une mort imposée qui s’oppose à la mort naturelle. La distinction entre l'euthanasie et l'interruption de soins disproportionnés est essentielle. « Euthanasie d’exception » Notion proposée par le Comité consultatif national d’éthique afin de permettre, dans certains cas exceptionnels, de provoquer la mort d’un malade. On se souvient que l’avortement

mort de malades incurables pour cesser leurs souffrances. -L’euthanasie passive, qui consiste à laisser mourir sans soins majeurs les patients dont l’état est au-delà des possibilités thérapeutiques actuelles, le médecin peut décider d’arrêter un traitement existant ou de ne pas commencer un traitement possible. Actuellement un service spécial a été mis en place, appelé soins palliatifs. Il consiste à soulager de ses souffrances la personne en fin de vie, à sauvegarder sa dignité et à soutenir son entourage