Hurons-Wendat

devient prêtre à 23 ans quand il était sur le point de mourir arrive en Amérique au milieu d’un conflit entre les Hurons et les Iroquois. Il a passé 20 ans en Nouvelle-France et 15 ans en Huronie et son but était de convertir les Hurons. Les Français les ont transmis des maladies aux Hurons et ils ont été presque anéantis. Jean de Brébeuf avait fait un dictionnaire huron français, même les Hurons y réfèrent. Relations des Jésuites (1632—1672) : 2700 pages, beaucoup d’auteurs, utopie française : rendre

êtes donc bien malhonnêtes gens, puisqu'il faut entre vous tant de précautions.» L'abbé eut de la peine à résoudre cette difficulté. « Il y a, dit-il, je l'avoue, beaucoup d'inconstants et de fripons parmi nous ; et il y en aurait autant chez les Hurons s'ils étaient rassemblés dans une grande ville ; mais aussi il y a des âmes sages, honnêtes, éclairées, et ce sont ces hommes-là qui ont fait les lois. Plus on est homme de bien, plus on doit s'y soumettre : on donne l'exemple aux vicieux qui

chasseurs-cueilleurs semi-nomades, d'autres avaient constitué des civilisations sédentaires et agricoles. Beaucoup ont ensuite formé de nouvelles tribus ou des confédérations en réponse à la colonisation européenne. Les groupes les plus connus étaient notamment les Hurons, les Haïdas, les Apaches, lesCherokees, les Sioux, les Delawares, les Algonquins, les Choctaws, les Mohegans, les Iroquois (parmi lesquels on compte différentes tribus, les Mohawks, les Onneiouts, les Tsonnontouans, lesCayugas, les Onondagas et enfin

le père Nouë responsable des missions dans la Huronie. C’est en juillet qu’ils s’y rendirent. Les Hurons étaient déjà alliés des Français et pratiquaient déjà la traite des fourrures. Les Hurons étaient considérés comme de bon alliés vus leur bonne situation géographie et économique. À son arrivé, ils s’installèrent chez les Ours, la plus importante des quatre familles dans la confédération Huronne. De 1626-1629, Brébeuf en appris sur la langue, les coutumes ainsi que le milieu culturel de la nation

Iroquois qui a commencé tension qui a duré un siècle. En 1615, Samuel de Champlain et sa compagnie se sont rendus à l'intérieur du Canada avec un groupe des Hurons. Champlain et les Français ont aidé les Hurons attaquent les Iroquois, mais ils ont perdu la bataille et Champlain a été blessé et incapable de marcher. Il a vécu avec des Hurons cet hiver et il a composé le premier récit et de la vie amérindienne. Samuel de Champlain est une icône de l'histoire et de la culture canadienne-française. Il

émigrants. Avant l’arrivée des Européens, il y avait deux grandes familles amérindiennes qui se partageaient le territoire : les Iroquoiens et les Algonquiens. La grande famille iroquoise est constituée de plusieurs tribus comme : les Iroquois, les Hurons, les Pétuns etc. Les Iroquoiens est peuple qui adopte un mode de vie sédentaire, c’est-à-dire qu’ils vont prendre l’emprise d’un territoire et vont y construire leurs maisons longues et y demeurer. D’ailleurs ils se nourrissent à base d’agriculture

Iroquet. En échange, les Hurons confièrent aux Français un jeune garçon nommé Savignon. Douze mois avaient passé lorsqu’il revint auprès de Champlain, le 13 juin, maitrisant parfaitement la langue amérindienne. Il commença donc son rôle d’interprète entre les deux peuples. Les Autochtones accepteront plus facilement ce jeune homme au sein de leur communauté par la suite. À force d’avoir côtoyé les Hurons, il sut que les Montagnais et les Algonquins s’étaient alliés aux Hurons dans leur bataille contre

d’importantes superficies. Ils couvrent par exemple une distance totale d’environ 245 000 km², le plus grand d’entre eux est le lac Supérieur qui couvre à lui seul une superficie de 83 000 km², le lac Michigan couvre quant à lui 58 100 km², le lac Huron couvre une distance de 59 500 km², le lac Érié couvre une distance de 25 900 km² et finalement le lac Ontario couvre une distance de 18 760 km². Bien qu’une partie de ces grands lacs appartiennent au Canada, ils sont une partie importante de l’hydrographie

TANGUAY Comme le montre cet ouvrage, qui couvre près de trois siècles d’histoire, les activités de subsistance des Wendats restent inscrites au cœur de leur identité. Cela est manifeste dans le cas de la chasse, dont l’importance s’accroît après l’installation dans la région de Québec, mais aussi à travers d’autres activités, comme l’agriculture et l’artisanat, qui permettent aux Wendats d’assurer non seulement leur survie, mais aussi leur prospérité après le choc de la destruction de la Huronie. S’ils

important dans la région de Québec, dans le village de la Jeune-Lorette. Animés par les conceptions raciales du XIXe siècle, les membres du comité en avaient tiré la conclusion que ce mélange avec le «sang blanc » avait fait disparaître parmi les Wendats « la pureté originale de leur race» et qu’ils «ne pouvaient plus à proprement parler être considérés comme des Indiens ». Pourtant, devaient-ils admettre, cela n’avait pas eu pour résultat de les transformer en Canadiens : «Ils n’en sont pas moins