Hurons-Wendat

John A. Dickinson Tout d’abord, l’article de John A. Dickinson traite principalement du rôle qu’on jouer les Amérindiens lors de la bataille du Long Saut. Cette bataille a été livrée en mai 1660 par 17 colons de la Nouvelle-France avec 40 alliés Hurons et 4 Algonquins contre plusieurs centaines d’Iroquois dans un fortin abandonné, sur la rivière des Outaouais au Long-Sault.1 En faite, Dickinson s’intéresse principalement sur l’apport des Amérindiens durant cette bataille. Ainsi, l’auteur croit que

Qui parle à qui ? Le narrateur externe De qui ? De l'Ingénu, Hercule (le Huron) Pourquoi ? Pour montrer que l'Ingénu porte bien son nom, il est naïf mais dévoué ! Comment ? Conte Où ? En France De quoi ? L'invasion des anglais en France Connecteurs : - En effet, - Cependant, - Pourtant, - Néanmoins, - Donc, - Par conséquent, - Mais, - En fait, 1. Comment Voltaire parvient-il à rendre plaisant son récit ? Voltaire parvient a rendre son récit plaisant à la lecture car il s’apparente à

dispensent à leurs élèves. Finalement, le CEPN appuie les communautés dans leurs revendications auprès de différentes instances. Le Conseil en Éducation des Premières Nations regroupe 22 communautés membres au Québec réparties en 8 Nations soient : Hurons : Malécites : Innu : Mohawks : Mi’gmaq : 1 communauté soit : 1 communauté soit : 1 communauté soit : Wendake Viger Mashteuiatsh Abénaquis : 2 communautés soient : Odanak et Wôlinak 2 communautés soient : Kanesatake, Kahnawake 3 communautés soient

répandit bientôt qu'il y avait un Huron au prieuré. La bonne compagnie du canton s'empressa d'y venir souper. L'abbé de Saint−Yves y vint avec mademoiselle sa soeur, jeune basse−brette, fort jolie et très bien élevée. Le bailli, le receveur des tailles, et leurs femmes furent du souper. On plaça l'étranger entre mademoiselle de Kerkabon et mademoiselle de Saint−Yves. Tout le monde le regardait avec admiration; tout le monde lui parlait et l'interrogeait à−la−fois ; le Huron ne s'en émouvait pas. Il semblait

faveur de ta nation, si fort préoccupé de tes manières sauvages et si peu porté à examiner les nôtres comme il faut que je ne daignerais plus me tuer le corps et l'âme pour te faire connaître l'ignorance et la misère dans lesquelles on voit que les Hurons ont toujours vécu. Je suis ton ami, tu le sais ; ainsi je n'ai d'autre intérêt que celui de te montrer le bonheur des Français, afin que tu vives comme eux aussi bien que le reste de ta nation. Je t'ai dit vingt fois que tu t'attaches à considérer

1640 ils abandonnèrent ce projet. Les Jésuites réussirent aupres des Attikameks et Hurons grâce à : + grande acceptation de culture A, vivre avec eux & regles des Cent-Associés : vendre armes à feu seulement aux convertis. Une minorité devinrent catholiques, les autres continuèrent leurs ancien mode de vie. Adhésion au christianisme = plus participer à la vie sociale de leurs communautés. Nb croissant de Hurons baptisés en 1640. Les E, sans perdre leur identité (valeurs fondamentales), empruntent

Worcester, origine anglaise mais élevé par des moines irlandais. Abbé de Kerkabon--> Vieux, supérieur du couvent Mlle de Kerkabon --> Soeur de l'abbé et elle est dévote. 45ans en 1689 L'Ingénu --> Huron, né de parents libre et naïf. Il parle 3 langues, Anglais, Français et Huron (il préfère la langue Huronne) Le bailli --> Officier qui rend la justice. Est présent lors du souper avec l'Ingénu, l'abbé, sa soeur, l'abbé de Saint Yves, la soeur de cet abbé (Mlle Basse-Brette), la femme du bailli, et

leurs terres ancestrales, ou, dans le cas des Iroquois christianisés par les Jésuites et persécutés par leurs compatriotes, au Canada, principalement au Québec. En 1648-1653, les Iroquois attaquent les Hurons, les Algonquins et leurs alliés français. Ils finissent par affaiblir la confédération des Hurons qui se dispersent. Certains prisonniers étaient adoptés (ils devenaient Iroquois) alors que d'autres étaient torturés (on leur arrachait notamment les ongles avant de les brûler vifs, à petit feu) ou

conversion des coutumes et le langage est abordé différemment. Argument principal 1 Dans les deux textes, le «sauvage» est présenté de façon similaire, puisqu’ils ont la même description physique et comportementale par rapport aux habitudes de vie des hurons. Le premier argument principal est alors les caractéristiques communes aux deux textes. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Nous pouvons présumer aux travers de lignes qu’ils ont la même apparence puisqu’ils chassent tous les deux selon les différents

Canada 1669 "mangés par iroquois" les anglais arrivent pas d'attention pour Mlle sauf 1 seul : Huron (indien d'Amerique) air martial et doux français intelligible il propose eau des barbade et en boit avc eux et charme les frere et la soeur sans but precis sauf curiosité il soupe au prieuré Mlle est sous le charme du Huron le bruit cours qu'un Huron est au prieuré tous se precipite le voir M. le Bailli Le Huron on l'appelle l'Ingénu car il fait ce quil veut et dit ce qu'il veut arrivé en angleterre car