Hussard

réaction de Fabrice à ce bruit, une " réaction enfantine ". II - " Les habits rouges " Chaque habit rouge à terre signifie un ennemi tué, Fabrice n'avait pas remarqué ce détail d'habillement. Mais quoi qu'il en pense, il n'est pas encore un " hussard " : s'il remarque maintenant que les hommes qui gisent à terre sont vêtus de rouge, il " remarque " aussi qu'il y a des vivants parmi eux. Ayant noté la peur de notre héros, il est bien juste que Stendhal note aussi son humanité. III - " Le maréchal

La petite Fadette *; La Mare au diable* H.Troyat, Aliocha * J.Vallès, L'Enfant ** Villiers de l'Isle-Adam, Contes cruels ** E.Zola, Au bonheur des dames **; Nana **; L'Assommoir ** ; Germinal.*** Récits d' aventure : Cendrars, L'Or ** J.Giono, Le Hussard sur le toit *** ; Regain* ; L'Homme qui plantait des arbres * Enquêtes policières : H.Balzac, Une ténébreuse affaire **; Ferragus ** A Christie, Le Meurtre de Roger Ackroyd ** Daphné Du Maurier, Rebecca ** ; L'Auberge de la Jamaïque ** E.A Poe, La

Georges Duroy comme un homme séduisant. Dans plusieurs passages du texte l’auteur nous dit que Georges Duroy est un ancien militaire : « Pose d’ancien sous-officier. » (Ligne 4), « Geste militaire et familier. » (Ligne 5), « Il portait l’uniforme des hussards. » (Ligne 27), « Jambes un peu entrouvertes. » (Ligne 27-28), «Chic de beau soldat tomber dans le civil. » (Ligne 34). L’auteur nous le décrit de « Joli garçon. » (Ligne 7) au début du texte, et continuera de nous le décrire par la suite en gardant

chercher), dialogue qui s’inscrit dans le cheminement d’un voyage (modèle : le roman d’apprentissage où le voyage permet aux personnages de découvrir le monde et ses facettes, les hommes, la société ; exemple : Don Quichotte, roman picaresque / Le hussard sur le toit s’inspire d’ailleurs de ce modèle). b) Une œuvre des Lumières Ironie quant aux récits merveilleux : « qu’il est facile de faire des contes » -critique de Voltaire, des contes philosophiques Critique de la guerre et des enrôlements de l’époque :

l'impulsion des étudiants Philippe Viannay et Robert Salmon; 47 numéros clandestins de Défense de la France seront diffusés. Y participeront, entre autres, Jean-Daniel Jurgensen, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Robert d'Harcourt. Repris en main "à la hussarde" par Pierre Lazareff après la Libération, il deviendra France Soir. Le Franc Tireur De tendance radicale-socialiste, "Mensuel dans la mesure du possible et par la grâce de la police de Pierre Laval". Jean-Pierre Lévy est à l'origine de son lancement

insiste sur ses gestes et sur sa démarche, qui se rattachent à son passé d’ancien soldat : « par pose d’ancien sous-officier », il « frisa sa moustache d’un geste militaire et familier », « Il marchait ainsi qu’au temps où il portait l’uniforme des hussards », « la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s’il venait de descendre de cheval ». Ainsi il possède l’allure conquérante du soldat, qui n’hésitera pas à écraser les autres quand cela lui sera nécessaire. Cela se traduit par le

écrivains et participe aux Lettres françaises, qu'il quittera après la Guerre à cause de leur orientation communiste. Il rejoindra alors les Cahiers de la Table ronde, devenus La Table ronde, une revue où de jeunes écrivains de droite qu'on appellera les Hussards feront leurs débuts. Outre une trentaine d'essais et de romans, il écrit plusieurs pièces, dont certaines sont jouées à la Comédie-Française. Il se fait aussi journaliste dans son fameux Bloc-notes (1952-1969), qu'il publie dans Le Figaro littéraire

aussi des valeurs réaliste en abordant des thèmes triviaux et les caractères représentatifs du réalisme. Maupassant donne au lecteur des indices sur ses personnages quand il nous dit «ancien sous officier», «au temps ou il portait l'uniforme des hussards» il nous apprend que le personnage a eu un passé militaire sans le dire véritablement ou encore dans ses calculs d'argent «2 dîners sans déjeuner ou 2 déjeuner sans dîner» la aussi le message de l'auteur à travers son chiasme est de montrer que dans

A l'époque de La restoration monarchique, vit à verrières Julien Sorel, nostalgique de l'époque Napoléonienne, détaché de sa famille et mis à l'écart en raison de la différence de leurs valeurs et objectifs des siens, et à cause de son profil plus intellectuel que physique, tout l'opposé de son père artisan.Julien est engagé en tant que précepteur des enfants de Monsieur de Rênal, maire de Verrières ce qui marque ses débuts dans le monde de la bourgeoisie provinciale.Cependant, il entame une relation

D’abord le narcissisme du personnage principal, qui travaille avec soin son apparence en faisant jouer son passé militaire et ainsi agrémenter cette beauté d’un air mystérieux et dangereux. « Il marchait ainsi qu’aux temps ou il portait l’uniforme des hussards … ». Dans ce texte plusieurs accumulations d’actions dévoilent une certaine vivacité du personnage « Comme il portait beau par nature et par pose d’ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d’un geste militaire et familier ».