Hypersexualité

on parle dans ces cas de pseudo-débilité névrotique. c . Les troubles de la vigilance L’un des plus fréquents est la distractivité permettant de scotomiser les perceptions extérieures vécues comme déplaisantes. d . Les troubles de la sexualité- Hypersexualité apparente, érotisation des rapports sociaux. - Dégoût et crainte de la sexualité : - Chez la femme : frigidité - Chez l’homme : impuissance totale ou partielle, éjaculation précoce.e . La dépressionElle est souvent non reconnue par l’entourage

relations avec les autres. On a chez les enfants maltraités les problèmes interpersonnels suivants : une insécurité dans les rapports avec les parents, la difficulté à faire confiance aux autres, des problèmes relationnels par exemple des relations hypersexualités ou hyper conflictuelles. Les mauvais traitements infligés aux enfants par leurs parents sont indéniables. L’enfant auquel on ne s’intéresse pas, ou qui fait l’objet d’agressions violentes, sera enclin à se dévaloriser. La violence est, en effet

voire à la dépression. Les signes physiques rendent compte du degré d’agitation : tendance à la déshydratation, tachycardie, fièvre. Dans cette agitation, les comportements instinctuels sont souvent perturbés : alcoolisation massive, hypersexualité avec exhibitionnisme. L’insomnie est de règle, elle n’entraine aucun épuisement. Le malade perçoit une accélération du temps qui parait se dérouler à vitesse surmultipliée. Dans ce contexte d’expansivité, les initiatives exubérantes sont

faim) -potomanie (exagération de la consommation d’eau), dipsomanie (d’alcool) ou au contraire déshydratation par perte de la sensation de soif et hypersudation -invulnérabilité au froid -insomnie rebelle (un des premiers symptômes à apparaître) -hypersexualité avec relâchement de la censure morale et éthique FORMES CLINIQUES manie suraigüe -agitation motrice excessive qui devient fureur, rage, violence -crise clastique : casse tout autour de lui -exaltation avec revendication de droits, affirmation

ou besoin de beaucoup dormir. Des troubles de l’appétit peuvent aussi survenir (tendance à grignoter ou au contraire anorexie). On retrouve aussi des troubles de la sexualité, tels que diminution du désir, impuissance, frigidité ou au contraire hypersexualité. Enfin, le soignant pourra être plus sensible aux infections puisque le stress est susceptible d’entraîner une diminution de l’efficacité de l’action du système immunitaire. - Sur le plan émotionnel et le plan comportemental, le soignant stressé

symptômes suivants : - Docilité, un état de soumission, disparition de la peur. - Modification des habitudes alimentaires (un herbivore peut devenir carnivore) - Hyperphagie caractérisée par des tentatives d’ingestion de n’importe quel objet. - Hypersexualité (libido excessive) caractérisée par des tentatives d’accouplement avec n’importe quel objet, des animaux immatures, des animaux du même sexe, des animaux d’une autre espèce. - Hyper-réactivité aux stimuli visuels. - Perturbations du comportement

pour elle-même). Troubles de l’humeur Triste et joyeuse sans raison apparente, versatilité de l’humeur (cyclothymie), état mixte. Irritable, capricieuse, sorte d’hypersensibilité (réagit très fort aux stimuli) Troubles du comportement Hypersexualité envers elle-même (masturbation) et les autres (prostitution) ( heurte la morale. Elle se masturbe jeune. Elle se masturbe énormément ( Qu’est ce qu’ils appellent beaucoup ? Pourquoi pas dans les conduites instinctuelles ? Si elle faisait des

alimentaires, 50% décrivaient des comportements violents, impulsifs. Fisher (1994) reportait chez 32 boulimiques des comportements impulsifs : des automutilations (75%), kleptomanie (78%), dépendance à l’alcool (34%), toxicomanie (22%) et une hypersexualité (53%). Recherche de sensations et dépressionZuckerman identifiait les sujets hypomaniaques comme des « chercheurs de sensations impulsifs». Il postulait que la recherche de sensations pouvait diminuer dans la dépression. Des scores élevés de

des lobes temporaux chez des singes adultes. Egalement dénommé cécité psychique : Perte de la peur et des émotions en général. Pertes des interactions sociales (prouve que les émotions interviennent dans la communication). Agnosie visuelle. Hypersexualité. LeDoux à montré en 1998 a montré que le système limbique n’existe pas. L’influence de l’amygdale sur la peur : Elle est située dans la profondeur de la partie antérieure du lobe temporal. Afférences corticales sensorielles. Connexion directe

d’élation et de toute puissance à des attitudes provocantes ou hostiles) ; - des troubles de la vie instinctuelle constitués par une insomnie rebelle sans sensation de fatigue, par une restriction de l’appétit avec déshydratation fréquente et par une hypersexualité avec ou sans hypergénésie). Ces états maniaques s’accompagnent d’idées mégalomaniaques quasi délirantes avec projets grandioses, sentiments de grandeur, de richesse et d’infaillibilité, intuitions prophétiques, certitudes de découverte scientifique