Hypocondrie

les comportements obsessionnels ont pour but de réduire cette anxiété liées à diverses croyances (pensées irrationnelles). Exemples de compulsions : - toilette abusive - peur injustifiée d'être atteint des maladies graves, de cancer (hypocondrie) - vérifications trop fréquentes (d'une porte fermée, d'une arrivée de gaz, …) - calculs mentaux - formules conjuratoires - achats incontrôlés et excessifs - nettoyages excessifs - toucher répétitif des objets - s'arracher

imaginaire. C’est la vedette, le personnage sans cesse présent, à l'exception de quelques très courtes scènes. Homme faible, enfantin et naïf, incroyablement crédule, non seulement malade imaginaire mais malade de l’imaginaire, il est dominé par son hypocondrie. Il entretient ses maux avec d'autant plus de ferveur qu'ils définissent son identité, et obligent ses proches à prendre soin de lui. Toinette, servante d'Argan. Moteur de la machine comique, elle est la servante saine, gaillarde, rusée, roublarde

littérature met en scène le théâtre du monde. Elle cherche à montrer les travers de l’humanité. Ecrire, c’est s’engager dans la marche du monde. Ex : Molière, dans ses comédies, aime à critiquer les défauts humains. Il s’amuse de notre hypocondrie dans Le Malade imaginaire , il dénonce l’hypocrisie religieuse dans Le Tartuffe , il remet en cause la condition des femmes dans L’école des femmes . De la même manière,

champ lexical de la maladie (« lavement », « médecine », « ventre », « mouchant », « toussant », « crachant ») en fait un portrait d’une sorte d’anti-héros ne partageant peu ou aucun caractéristiques du héros conventionnel, à l’humeur noir, atteint hypocondrie et colérique. Mais surtout Béline fait d’Argan une figure opposée à celle de l’honnête homme, d’un héro classique : Puisqu’elle le décrit comme étant constamment de mauvaise humeur et colérique, ce qui vas a l’encontre de la courtoisie de l’époque

la ligne 30 : pas de réponse donnée à Argan). L'affirmation se suffit à elle-même, elle n'est étayée que par le mépris que Toinette exprime vis-à-vis de ses « confrères ». Enfin, on remarque que les maux dont se plaint Argan nous révèle son hypocondrie : aucun symptôme alarmant mais plutôt de la « bobologie » quotidienne (voir lignes 31-40). En outre, les questions que posent Toinette des lignes41 à 46 sont révélatrices d'un homme en bonne santé : ayant de l'appétit, du plaisir à boire, manger

son thème majeur : un homme, Argan, est persuadé d’être malade, et cette angoisse le conduit à tyranniser son entourage. Le terme « imaginaire » indique clairement que cet homme est sain, et que sa peur d’être malade le rend insensé. Son hypocondrie a de lourdes conséquences sur son entourage : son besoin incessant d’un entourage médical le conduit à vouloir un gendre médecin, sans se soucier de ce que ressent sa fille Angélique, qui aime un autre homme. (Situation du passage.)Dans notre

auditive) 1 seul de ces mécanisme suffit pr dire que c'est un comportement psychotique → thème délirant : - persécution - mégalomanie : je suis qq'un d'important - érotomanie : croire que qq'un est amoureux de soi ( qq'un qu'on ne connait pas) - hypocondrie - Syndromes délirants aigus = bouffée délirante Survenue brutale, peut être une entrée ds la schizo ms pas obligatoire, évolution brève (< 1 mois), liés à des tensions / évènements difficiles, entre 15 et 35 ans. Surplus d'angoisse qui déconnecte

Microsoft Word - Document1.docxTEXTE BAC 8 – PAMPHILE INTRODUCTION Jean de la Bruyère est un moraliste français du 17eme siècle. Il appartient au mouvement littéraire du classicisme. La bruyère est célèbre pour une œuvre unique intitulée « Les caractères » publié en 1689. Les caractères sont des textes brefs sur la cour. La bruyère y dénonce l’hypocrisie des personnes qui gravitent autour du roi. Ce caractère est la remarque 50. Son parcours associé est la comédie sociale. LECTURE EXPRESSIVE

reconnaît quatre sortes de névroses : d’angoisse, d’hystérie, obsessionnelle et phobique. Freud distingue deux sortes de névroses : Les névroses actuelles qui trouvent leurs origines dans le présent, à l’exemple de la névrose d’angoisse, hypocondrie. Les psychonévroses dont l’origine est l’histoire infantile : dans les névroses de transfert la libido se déplace sur l’objet réel ou imaginaire, exemple les névroses hystériques. Dans les névroses narcissiques la libido est fixé sur le moi

Par quelle providence? Y a-t-il une providence Démon comme il y a une providence Dieu ? Nous posons la question sans la résoudre. Gwynplaine était saltimbanque. Il se faisait voir en public. Pas d'effet comparable au sien. Il guérissait les hypocondries rien qu'en se montrant. Il était à éviter pour des gens en deuil, confus et forcés, s'ils l'apercevaient, de rire indécemment. Un jour le bourreau vint, et Gwynplaine le fit rire. On voyait Gwynplaine, on se tenait les côtes ; il parlait, on se