I-Télé

AFFECTE L’ENVIRONNEMENT BANCAIRE ET LA MISE EN PLACE D’UN SYSTEME DE CONTROLE DE GESTION. ............................................................................................................................................................ 8 I. LES MUTATIONS QUI ONT REMIS EN CAUSE L’ENVIRONNEMENT BANCAIRE.................... 9 1. L’ENVIRONNEMENT BANCAIRE AVANT 1980 ................................................................................................ 9 a. La banque après la Deuxième

capacité de jouer plusieurs notes à la fois et on parle d'instruments polyphoniques. La polyphonie de nos jours Aujourd'hui, suite au succès sur le continent du groupe I Muvrini (Les petits mouflons), la polyphonie corse est arrivée à trouver un public hors de la Corse et des Corses expatriés. Certains groupes tels que I muvrini ou encore L'argusci di Pasquale n'hésitent pas à mélanger les styles, les instruments et les cultures afin de créer un style qui leur est propre et qui s'éloigne de

public non gouvernemental, banques, entreprises, détail (retail), crédits hypothécaires garantis par de l'immobilier, crédits garantis par une hypothèque commerciale. L'approche standardisée mènera à un niveau de couverture en capital similaire à Bâle I (8%), mais avec des changements importants : allocation de 2,8% (pondération de 35%) sur les prêts immobiliers au lieu de 4%. La distinction entre pays de L'OCDE et non OCDE ne s'applique pas aux engagements souverains ou bancaires. Les engagements

Les robots domestiques Un robot domestique est un robot utilisé pour des tâches ménagères. Jusqu'à présent, il n'y a que quelques rares modèles. On estime à 3 540 000 le nombre de robots domestiques en 2006, avec une estimation de 950 000 robots industriels. Les robots domestiques sont utilisés par exemple en vaisselle, en repassage, en nettoyage. Ils peuvent également être utilisés dans le domaine de la restauration. Ci-dessus, un mini-robot serveur dans un bar en Corée du Sud Exemple de robot

Char Renault FT-17 Français : Char Schneider CA1 (environ 400) Char Saint Chamond (environ 400) Char Renault FT-17 (plus de 3 800) Char Mark V Britannique : Char Mark I Char Mark II Char Mark III Char Mark IV Char Mark V Char Whippet Personnages importants : L.E. de Mole : inventeur australien qui présenta en premier le projet du char au ministère de la Guerre britannique Le Colonel Swinton : après une visite

Chapitre3: cas de la BIAT Les seules opérations de titrisation en Tunisie ont été faites par la BIAT sur des actifs immobiliers en 2005 et 2007. Pour le montage de ces opérations la BIAT a choisi : - Maghreb Titrisation pour l’Arrangement et la structuration. - Moody’s: pour l’appréciation des parts. - Gide Loyrette Novel pour la validation de la documentation juridique. - le cabinet KPMG pour l’audit des créances. Les frais fixes liés au montage des deux opérations se sont

Chaimae INTRODUCTION AXE 1 Circonstances de constitution de Bâle I I) création du comité de Bâle 1) Présentation du comité de Bâle 2) Les principales missions du comité de Bâle II) L’accord de Bâle I AXE 2 Contenu de Bale I, Ratio de COOKE I)  Les modalités de calcul du ratio de Cooke 1) Analyse des fonds propres 2) Analyse des risques pondérés II) Les apports du ratio de COOKE AXE 3 Passage de Bale I à Bale  II 1/ insuffisances du ratio de  COOKE 2/ apports de BALL

de Bâle II entre ainsi en vigueur. Tout au long de ce document, nous établirons dans un premier aspect les acquis et limites des accords de Bale 1 pour ensuite mieux nous attarder sur Bale 2. A- De Bâle I vers Bâle II I- Les accords de Bâle I L’accord de 1988, dit Bâle I ou Ratio Cooke, a établi un ratio minimum de fonds propres applicable aux banques actives sur le plan international. Pour le calcul de ce ratio, on retient les fonds propres répartis selon trois grandes masses (le

bancaire dans le système marocain. Chapitre 1 : Le secteur bancaire marocain, loi et réglementation en vigueur. ..................... 11 Section 1 : L’évolution des lois bancaires au Maroc. ...................................................... 11 I/ La loi de 1993. .......................................................................................................... 11 1- Présentation des établissements de crédit. ........................................................... 11 2- Les principaux

Introduction: L’accord Bâle I n'était qu'une première étape pour plusieurs raisons : - non prise en comptes des risques "hors bilan". - insuffisance de finesse d'analyse de la complexité. - insuffisance de la différentiation des risques liés aux crédits. Le Comité de Bâle a proposé un ensemble de recommandations qui permettent de mesurer le risque de crédit d’une façon plus pertinente, en prenant en compte la qualité de l'emprunteur, y compris par l'intermédiaire d'un système de notation