Ich bin ein Berliner

Gorbatchev début des contestations 1ères élections libres défaite des PC d’Europe de l’Est décomposition URSS début 1990’s) -1945 : Allemagne et Berlin divisés en zones d’occupation -1947-48 : blocus de Berlin Ex. Allemagne -1949 : partage de All. (RFA et RDA) et de Berlin (Est-Ouest) -1961 : mur de Berlin -1963 : discours de Kennedy (Ich bin ein Berliner) -1989 : chute du mur -1990 : réunification allemande Elargissement : 1)passage de 6 à 27 pays demande) 2)élargissement pas encore terminé (candidats)

et du souverain Bien débouche finalement et même nécessairement sur l’horizon du souverain Bien ? C’est bien en effet ce qui se produit : une fois le devoir accompli, une fin « émerge », ou « se dégage », de la morale (« aus der Moral geht doch ein Zweck hervor »10). Qu’est-ce qui peut bien justifier ce mouvement d’émergence, d’aspiration au souverain Bien, alors que la loi et l’obéissance à la loi ne semblent en elles-mêmes annoncer rien de tel ? 3. Un point de vue critique serait alors de

ce moment-là ? (1956- 1962) 1)la mort de Staline ouvre-t-elle une ère réellement nouvelle ? 2)de nouvelles formes d’affrontement, témoins de la volonté de préserver l’ordre mondial à l’heure de la prolifération nucléaire 3)De Berlin (2) à Cuba, le « Berlin à l’envers » (M.Malia) II-1956-1975 : des modèles de plus en plus contestés 1)en URSS les crises internes au bloc obligent Brejnev à un raidissement idéologique. 2)aux Etats-Unis le modèle est fragilisé par la guerre du Vietnam et

guerre mondiale ? a) Le blocus de Berlin (juin 1948-mai 1949) : Berlin, en plein secteur soviétique, est divisée en 4 zones d’occupation aux évolutions radicalement différentes. Au printemps 1948, les 3 zones américaine, britannique et française commencent à fusionner (cf. fusion monétaire = le mark), et la reconstruction de ce qui va devenir Berlin Ouest est spectaculaire. Staline comprend que l’effet est désastreux en terme d’image : Berlin= chancre (ou cancer) du capitalisme ; il

Van Eyck B) Jérôme Bosch C) Pierre Paul Rubens D) Pieter Brueghel l’Ancien 61. Les comices sont : A) Des fruits B) Des débats électoraux C) Des assemblées D) Des élections 62. Où peut-on voir le musée de l’Ermitage ? A) A Saint-Pétersbourg B) A Berlin C) A Vienne D) A New York 63. L’affaire du métro de Charonne évoque : A) Une polémique entre urbanistes au XIXe siècle B) La répression d’une manifestation contre la guerre d’Algérie C) Une affaire criminelle jamais élucidée D) Un roman de Georges

s’est mis d’accord sur l’occupation de Berlin, la dénazification, la démilitarisation et la décartellisation. Les criminels de guerre seront jugés (Nuremberg). A Potsdam (juillet-août 1945), les frontières orientales de l’Allemagne ont été provisoirement fixées sur la ligne Oder-Neisse mais pas acceptées par les occidentaux. L’ancien Reich est divisé en 4, de même que Berlin (et Vienne), et administré par les 4 en commun (une autorité interalliée à 4 à Berlin : la Kommandantura). On est donc dans

la Guerre froide. 2) L’escalade de la « Guerre Froide » (1948-1953) * Le blocus du Berlin En juin 1948 à mai 1949, il y a le blocus de Berlin qui est la première crise de la Guerre froide. Staline n’aime pas que Berlin soit divisé en quatre. Staline a cru que cela ne durerait pas mais en 1948, les anglais, les américains et les français sont toujours là. Berlin est à l’est soviétique alors que Berlin est partagé en quatre entre français, anglais, soviétiques et américains. Les ennemis peuvent

au cours duquel, à 8 clos, on organise le rapport Khrouchtchev qui amorce la déstalinisation. Dans ce contexte => grands mouvements populaires dans les démocraties populaires, dans l’espoir de plus de libertés. Juin 1953, des émeutes éclatent à Berlin Est, qui s’étendent à d’autres villes de RDA et qui débordent jusqu’en Tchécoslovaquie. Ce souffle qui parcourt la RDA est écrasé par une répression brutale. Pologne 1956, quelques mois après le 20ème congrès, on observe des manifestations de rue

par jour. » « Nos progrès en tant que nation dépendront de nos progrès en matière d’éducation. L’esprit humain est notre ressource fondamentale. » Mahatma Gandhi. « Ich bin ein Berliner ! » (Je suis un Berlinois !) Le Président américain John Fitzgerald Kennedy prononça en allemand cette phrase demeurée célèbre lors d’une visite à Berlin en 1963. John Fitzgerald Kennedy (1917-1963) John Fitzgerald Kennedy a été président des États-Unis du 20 janvier 1961 au 22 novembre 1963, date de son assassinat

peuple. À titre d’exemple on retient encore avec émotion la force de quelques mots bien ajustés  :  “Nous ne nous rendrons jamais” (Never surrender) de Churchill le 4 juin 1940  ;  “I have a dream” de martin luther King  ;  “Ich bin ein Berliner” de John Fitzgerald Kennedy à Berlin  ;  “La flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas” de De Gaulle le 18 juin 1940. Aujourd’hui il n’est pas nécessaire d’insister trop longtemps pour observer les profondes déviations de