Ideologie Et Utopie

transparence doit être mise en balance avec la cohésion nationale, laquelle passe parfois par l’oubli (qui n’est pas le pardon), et peut être aussi par le silence. Histoire et Idéologie L’idéologie est un système de pensée, une sorte de stock de vérités révélées, intangibles, indiscutables qui repose toujours sur une utopie, qu’il s’agit de réaliser. Mais à la différence du scientifique qui modifie sa théorie quand le réel l’infirme, l’idéologue finit toujours par conclure que le réel a tord.

toute forme d’esclavagisme par rapport au système, et c’est une manière de vivre l’instant présent. 2. Une utopie réaliste • La ville de tous créée par tous. Le concept d’utopie a souvent été défini à travers l’idée de ville (Platon, More, Rabelais), car elle prend souvent naissance en elle. Mais, qu’est ce qu’une ville ? D’après l’«architecte de papier» Yona Friedman2 (Utopies réalisables, 1974, image 4), c’est un «territoire habité par un ensemble d’êtres humains organisés». Témoin des

sciences dures, et quand y rajoutant notre imagination on vient créer kkc qui s’éloigne de la réalité et de ce qui est connu. UTOPIE ::: SOCIALISME * ABSENCE DE CLASSES SOCIALES * ÉGALITÉ DES CHANCES * JUSTICE SOCIALE * RÉPARTITION ÉGALE DES RESSOURCES * SOLIDARITÉ * LUTTE DE L’INDIVIDUALISME * INTÉRÊT COLLECTIVITÉ AVAN ÉGOCENTRISME UTOPIE ::: MARXISME * LUTTE CONTRE LES CLASSES SOCIALES * PRISE DE POUVOIR PAR LE PROLÉTAIRE POUR RENVERSER LA BOURGEOISIE

période historique : celle de la fin de la guerre froide et de la chute du mur de Berlin, marquée tout à la fois par la fin des utopies et la recomposition des idéologies contestataires et par la toute puissance du capital avec à sa tête l’hégémonisme américain et l’emprise ascendante des multinationales sur le pouvoir politique. *Fin des utopies et recomposition des idéologies contestataires : ne se reconnaissant plus dans la caricature de socialisme qu’offraient les pays de l’est et la Chine maoïste

suisse. Puis écrit Candide : le héros, après une jeunesse heureuse, rencontre l’enfer sur la terre (guerre, désastre de Lisbonne, colonisation). Il y a bien l’Eldorado mais c’est une utopie. Or son maître Pangloss lui a bourré le crâne d’une idéologie : « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possible ». Idéologie sans cesse contrariée. Réponse de Candide : « L'optimisme, c'est la rage de dire que tout est bien quand on est mal ». Issue du conte : le corps a résisté, on survit, on s’accroche

refus de la fatalité de la guerre. Des « valeurs fondamentales » ont été définies : la paix, la liberté et la démocratie, la prospérité, la solidarité et l’influence de l’Europe dans le Monde. Aujourd’hui, on se donne les moyens de réaliser cette utopie. L’idée initiale est venue des penseurs politiques européens et elle a fait l’Histoire. L’Europe est le résultat d’une constitution graduelle, d’une formation successive, elle s’est faite par étapes imprévisibles. Mais aussi, la démocratie

- Le maoïsme est une idéologie développée au Xxème siècle par Mao Zedong. - Un de ses fondement est l'adaptation du marxisme au pays en voie de développement tout en privilégiant l'indépendance nationale. - Le mouvement prend officiellement de l'ampleur avec la réforme agraire (redistribution des terres aux paysans et des récoltes dès 1946) Les principes premiers du maoïsme sont les suivants : - mise en avant de l'enthousiasme révolutionnaire et du volontarisme, - égalitarisme et collectivisation

Le devoir de Mémoire Utopie ou Nécessité ? Daphnée Principiano Cette année, après le décès du dernier poilu de la grande guerre, le Président de la République française a invité pour la commémoration du 11 novembre de l’Armistice la chancelière allemande. L’idée était de transformer cette commémoration d’une victoire française en partage d’une souffrance commune aux deux peuples. 81 ans après la fin de la première guerre mondiale cet événement pose donc la question de la place de la mémoire

technique et amélioration des conditions de vie du citoyen. Seul Rousseau a perçu à ce moment là que tout progrès est à double tranchant, en raison des conséquences positives mais aussi négatives qu'il entraîne, et a souhaité qu'on n'en fasse pas une idéologie. Il a aussi posé alors la connaissance comme facteur de progrès humain, en l'associant à la marche en avant de la raison. Les progrès de l'activité humaine Sans vouloir faire une liste exhaustive, on peut citer un certain nombre de domaines

l’économiste, Boréal, Montréal, 501 p. GIRARD, Rodolphe, Marie Calumet, Montréal, Fides, 1973, 155 p. LEMIEUX, Lucien, Une histoire religieuse du Québec, Montréal, Novalis, 2010, 191 p. MAJOR, Robert, Jean Rivard ou l’art de réussir. Idéologie et utopie dans l’œuvre d’Antoine Gérin-Lajoie, Sainte-Foy, Les presses de l’Université Laval, 1991, 335 p. TREMBLAY, Jean-François, L'agriculturisme et le roman de la terre québécois (1908-1953), Mémoire de M.A. (intervention régionale) Université du