Ideologie Et Utopie

II - MOHAMMADIA Année universitaire : 2011-2012 FACULTE DE DROIT DE MOHAMMADIA PROFESSEUR : Mr ZERHOUNI Module: Science politique Matière: Idéologies politiques contemporaines Exposé sur : Idéologie et utopie Introduction I) Préambule: L’imagination comme origine et ciment du lien social  Appartenir à un groupe, à une communauté, suppose certains traits communs par lesquels je me

d'un mouvement II. Dada: une utopie révolutionnaire III. Dada est parmis nous Conclusion I. La naissance d'un mouvement 1) Le contexte historique 2) La naissance d’un nom, d’une idéologie 3) Une propagation fulgurante I. La naissance d'un mouvement 1) Le contexte historique  1917:  Un Une période de guerre mondiale ordre mondial bouleversé  Contestation, révolte, propagation d’idées I. La naissance d'un mouvement 2) La naissance d’un nom, d’une idéologie • 1913: les prémices (ready-made

Jean Rivard, en se servant des expressions de Robert Major, en disant que ce roman « représenterait un sucess story d'une '' profonde américanité '', '' une utopie [...] typiquement américaine.2 » En effet, le but de cette dissertation est de montrer que l'oeuvre de Gérin-Lajoie est en fait un roman qui véhicule des idéologies et une utopie américaines. Pour ce faire, il faut tout d'abord recenser les éléments importants de la vie de Gérin-Lajoie qui l'ont inspirés pour l'écriture de ce roman, son

Dossier : Utopie et contre-utopie Utopie : L'utopie est la description d'une société idéale. Elle procède d'ailleurs d'une tradition que l'on fait remonter à La République de Platon. Plus spécifiquement l'utopie est un genre littéraire s'apparentant au récit de voyage mais ayant pour cadre des sociétés imaginaires. L'Utopie de Thomas More, La Cité du Soleil de Campanella ou La Nouvelle Atlantide de Francis Bacon remplissent ces deux conditions et sont à la fois des récits et des descriptions

I – Définition de la dystopie  Le mot dystopie vient de l'anglais dystopia, qui a été formé par l'association du préfixe dys- et du radical d'origine grecque, τόπος (« lieu »). Cette association a été conçue pour rappeler le terme utopie, auquel il s'oppose. Le préfixe dys- est emprunté au grec δυσ-, et signifie négation, malformation, mauvais, erroné, difficile. Il a surtout une valeur péjorative. Il s'oppose ainsi clairement au préfixe εὖ- (« heureux ») que Thomas More avait en

Les utopies Plusieurs philosophes ont émis des théories en ce qui concerne le comportement des sociétés à travers les années. Ils ont tenté de trouver un système ou une idéologie commune à tous et chacun pour assurer un bon développement. Une tâche difficile sachant que la pensée et le bonheur et différent pour chaque individu. Par contre, l’unanimité n’était pas présente entre les différents penseurs. Une seule et bonne utopie n’est donc pas envisageable dans notre monde. À travers les années

Descartes, reconnu comme le fondateur du rationalisme moderne, beaucoup de philosophes vont juger sévèrement l'imagination en tant que faculté, mode d'exercice de la pensée. L’imaginaire ainsi que ses composés, les mythes, légendes, fictions, utopies ou idéologies sont associés au règne du futile, de la tromperie, des élucubrations et rejeté au nom d’une raison triomphante : « maîtresse d’erreur et de fausseté » pour Pascal (Pascal, 1670) ou une « folle du logis » pour Malebranche (Malebranche, 1674)

A quelle époque s’est développée une « utopie de la communication » ? Dans la deuxième moitié du XXème siècle (dans la société d’après-guerre). Comment était considérée la communication historiquement (dans la France d’après-guerre) ? La communication était considérée comme un idéal et avait un franc succès; c’est d’ailleurs à cette époque que s’est construite une « utopie » de la communication Que signifie le terme « utopie » ? L’ « utopie » est une représentation d’une réalité idéale et

période historique : celle de la fin de la guerre froide et de la chute du mur de Berlin, marquée tout à la fois par la fin des utopies et la recomposition des idéologies contestataires et par la toute puissance du capital avec à sa tête l’hégémonisme américain et l’emprise ascendante des multinationales sur le pouvoir politique. *Fin des utopies et recomposition des idéologies contestataires : ne se reconnaissant plus dans la caricature de socialisme qu’offraient les pays de l’est et la Chine maoïste

moment-là il n’y a pas non plus de contre-utopie, donc de débat. » François Schuiten et Benoît Peeters Dans la vie et la société, les individus sont tous porteurs d’idées utopiques. En effet, l’utopie permet à l’homme, dans son irrationalité, d’envisager des projets, des buts, des idéaux qui peuvent s’avérer difficilement réalisables. L’utopie nait au sein de la pensée, des idées de chaque personne de la société et entraine donc souvent une contre-utopie qui engendre la critique d’une société montrant