Idriss Déby

million d’habitants). Villes principales : Abéché, Moundou. Population active : 4 millions de personnes (services 48,8 %, industrie 18,8 %, agriculture 32,4 %). Langues : Français, arabe. Fête nationale : 1er décembre, prise du pouvoir d’Idriss Deby en 1990. Taux d’alphabétisation : 47 %. Classement mondial dans l’indice de développement humain (IDH) : 175e sur 182 (0,392). Monnaie nationale : Franc CFA (LBP) : 1000 CFA = 1,52 EUR (100 CFA = 1 Franc Français). Ressources naturelles : Coton

s’implanter en Afrique. Ils ont quelques pays qui leurs sont acquis mais la Chine les prend les uns après les autres. Par exemple les sont en train de se faire dépasser au Tchad où la compagnie pétrolière Chevron possède les droits d’exploitation mais où Idriss Deby[1] se tourne de plus en plus vers la Chine .Il en était de même au sud Soudan d’où les Américains sont partis lors de la première guerre dans la région dans les années 80. Les armes Américaines ne sont pas efficaces dans cette « guerre du monopole »

tandis qu’à l’est s’étend le plateau du Ouaddaï. Le régime politique du pays est officiellement une démocratie parlementaire. Mais, de nombreux organismes considèrent que cette « république » est, dans les faits, une dictature. Son président, Idriss Déby Itno, s’est débrouillé pour pouvoir être éligible indéfiniment… Tandis que la constitution ne permet d’être élu que deux fois. L’espérance de vie n’est que de 48 ans. Le Tchad est un des principaux berceaux de l’humanité, en effet l’homme

raids des Janjawids. Au Tchad, en mars 2006 puis en février 2008, le dispositif français Epervier a apporté un appui à l’armée nationale tchadienne pour repousser les tentatives de putsch du Front Uni pour le Changement (FUC) contre le président Idriss Déby. Les rebelles du FUC sont financés, armés et entraînés par le Soudan. Depuis décembre 2005, N’Djamena s’est déclarée en « état de belligérance » avec le Soudan. Le Tchad apporte également son soutien à l’Armée de Libération du Soudan (ALS), mouvement

Aujourd'hui il s’agit désormais de conflits intra-étatiques qu’on nomme souvent « guerres asymétriques ». Les exemples sont nombreux : en 2008, le Tchad sombre dans une guerre opposant des rebelles venus du Soudan, hostiles au président tchadien Idriss Déby, à l’armée tchadienne. Idem au Kenya ; la même année les deux ethnies principales (Kikuyus et Luo) s’affrontent après les résultats des élections présidentielles faisant plus de 1 500 morts et environ 300 000 déplacés. Le continent africain n’est

françafricain est presque aussitôt proclamé franc-maçon : on peut citer Blaise Compaoré, toujours en fonction, Omar Bongo, chef du Gabon de 1967 à 2009, son fils Ali Ben Bongo Odimba, le Togolais Faure Gnassingbé, en fonction depuis 2005, le Tchadien Idriss Déby Itno, le Congolas Paul Biya, le Béninois Thoas Boni Yayi, le Nigérien Mamadou Tandja, le Congolais Denis Sassou Nguesso, le Centrafricain François Bozizé. La France n'est pas en reste : ses agents néocoloniaux sont souvent franc-maçons, à l'instar

l’écho de ces inquiétudes lors de sa mission au Tchad le 27 février 2008. Par la suite, le Président IDRISS DEBY ITNO a pris le Décret n° 324/PR/2008 portant création d'une Commission d'Enquête sur l'agression soudanaise du 28 janvier au 8 février 2008 et ses conséquences. Il a fixé à cette Commission d'Enquête un délai de trois mois pour déposer un rapport final. Le 29 février, le Président DEBY a signé le Décret n° 325/PR/2008 portant nomination des membres de la Commission d'Enquête sur l'agression

incarcérés, conformément à l'article 29 d'un accord bilatéral signé avec le Tchad en 1974. La justice française transforme leur peine de travaux forcés (qui n'existe pas dans l'Hexagone) en huit ans de prison. En mars 2008, le Président tchadien, Idriss Déby, les gracie. Les six membres sont donc tous libérés des différents établissements pénitenciers. Pour ce qui est des dommages et intérêts, le Premier ministre de l'époque, François Fillon, affirme que le gouvernement ne les paiera pas. Le 20 octobre

en 1975. Le général Malloum lui succède avant que le rebelle nordiste Goukouni Oueddei ne prenne le pouvoir en 1979 avec l’aide des Libyens. Ce dernier est renversé à son tour en 1982 par l’ex-rebelle Hissène Habré aidé par les Français. En 1990 Idriss Déby, adjoint de Hissène Habré, le supplante au pouvoir, qu’il a gardé depuis. La France a toujours été militairement présente au Tchad, où elle possède une base à l’aéroport de Ndjaména, anciennement Fort-Lamy. Peu peuplé, avec moins de 10 habitants

Réunis au Niger à la fin du mois de janvier, treize pays africains et non-africains participe à une réunion consacrée à la lutte contre le groupe, mais peinent à organiser une riposte coordonnée74. Le 21 janvier 2015, le président tchadien Idriss Deby annonce le déploiement de ses forces armées au nord du Cameroun, où des attaques du groupe islamiste sont régulièrement recensées74. Exactions, massacres, attentats et enlèvements[modifier | modifier le code] Articles détaillés : liste de massacres