Idriss Déby

africains dont la célèbre revue de New-York, Foreign Policy classe parmi les vingt-trois plus grands dictateurs de la planète : Teodoro Obiang Nguema, Hosni Moubarak, Robert Mugabe, Omar el-Béchir, Issayas Afewerki, Mélès Zenawi, Mouammar Kaddafi, Idriss Déby…. Vous ne parlerez pas du même cinquantenaire. Vous êtes la créature d’un triomphe historique sur la haine, le triomphe de Rosa Parks la couturière de Montgomery qui refusa de céder sa place à un homme blanc dans un bus. Assez des lois raciales

: Bachar El Assad (social Nationaliste) TAIWAN : Chen Shuibian (Démocrate) TANZANIE : Jakaya Mrisho Kikwete TCHAD : Idriss Deby Itno (Parti patriotique) REPUBLIQUE TCHEQUE : Vaclav Klaus (Liberal) THAILANDE : Roi Rama IX TOGO : Faure Gnassingbe (Parti Unique) TUNISIE : Zine

prochainement à échéance cherchent arguments et moyens pour modifier la Charte fondamentale qui leur interdit d’effectuer plus de deux mandats. Après Ben Ali (Tunisie), Eyadéma père (Togo), Paul Biya (Cameroun), Omar Bongo (Gabon), Mamadou Tandja (Niger), Idriss Déby (Tchad), Yoweri Museveni (Ouganda), Abdelaziz Bouteflika (Algérie) et Ismaïl Omar Guelleh (Djibouti) qui ont réussi à modifier leurs Constitutions pour se perpétuer au pouvoir, d’autres chefs d’Etat africains en fin de mandat présidentiel autorisé

partie de l’armée contre le général Gueï. Même région natale, mêmes combats… Dogbo Blé et Gbagbo sont main dans la main. Le militaire est à la présidence, au Plateau. Le politique à la résidence, à Cocody. Ils sont en liaison permanente. Un modèle : Idriss Déby Itno. En février 2008, le président tchadien avait retourné in extremis la situation, à 500 m de son palais. Ce samedi 9 avril, ils y croient encore… Source : Jeune Afrique 1/3 Le même soir, branle-bas de combat dans le camp Ouattara.

des troupes du Président Idriss Déby lors de sa prise du pouvoir par la force en 1990 contre Hissen Habré. Déjà cette offensive avait été lancée du Darfour. Aujourd'hui, les zaghawa tiennent toutes les ficelles du pouvoir au Tchad, et forme le gros du contingent des forces d'élites tchadiennes, dont certains n'ont pas hésité à définitivement (ou momentanément dans certains cas) déserter avec troupes et armement pour combattre auprès de leurs frères rebelles. Le président Déby a toujours pour sa part

n’hésite pas à le faire. Que ce soit en refusant toute condamnation et reconnaissance des états à l’ONU concernant la colonisation dans les années 60 à son soutien au régime de l’apartheid en passant par son réseau françafrique (soutien à Bongo, Idris Deby, Dadis Camara…) et arabe (visite de Chirac en Irak, vente de réacteurs nucléaires à la Lybie..) Si cette situation la met dans des situations extrêmement ambigus et compliquées (relations avec la Chine ou l’arbitrage réaliste a fini par l’emporter

l’épineuse enquête sur l’assassinat du juge Borrel à Djibouti, impliquant le président djiboutien Omar Guelleh. Mais rapidement, la continuité des méthodes l’a emporté. Au Tchad, l’intervention militaire française pour sauver le dictateur sanguinaire Idriss Déby début 2008 a montré que l’état français restait présent et sans scrupule, pour soutenir ses amis. En mars 2008, Sarkozy a obéit à Omar Bongo en limogeant son ministre Jean-Marie Bockel, qui avait trop parlé d’en finir avec la Françafrique. Le patriarche

la presse tchadienne, le président Idriss Déby Itno fait l’objet d’une enquête diligentée par le Département d’État depuis 2008 pour détournement du financement destiné à la formation des troupes tchadiennes pour lutter contre le terrorisme orchestré par les extrémistes du groupe salafiste. Loin de lutter contre ces terroristes, les éléments du bataillon tchadien formés par les Américains dans le cadre du PSI ont été détournés de leur mission première par Déby pour l’aider à combattre l’Alliance

l'Armée de libération du Soudan signent un accord de paix au Soudan mais le conflit continue. Les attaques perpétrées au Darfour par les milices Janjawids soutenues par le régime de Khartoum se sont étendues au Tchad. Le président tchadien Idriss Déby a décrété l’état d’urgence face aux attaques, viols et assassinat des Janjawids sur les tchadiens. Le 14 Juillet 2008, le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a déposé dix accusations de crimes de guerre contre le président soudanais

les activités." Les guerres civiles à cause des ressources naturelles sont assez fréquentes. Nous allons nous intéresser à celles sévissant au Tchad et en Sierra Leone. L'or noir du Tchad. Malgré un accord entre le président tchadien, Idriss Déby, la Banque mondiale et un consortium de compagnies pétrolières destiné à favoriser le développement du Tchad par la redistribution des recettes pétrolières, le but de la Banque mondiale, à savoir démontrer qu'on peut palier à la malédiction de l'or