Idéologie Allemande Marx Résumé

positive (1798 – 1857) 12 Troisième leçon: « Mise en place par l’état des premiers outils empiriques d’une science des sociétés. » 16 1) Les premières enquêtes 17 2) La mathématique sociale 19 Quatrième leçon : « Comprendre Marx aujourd’hui entre théorie et idéologie. » 21 1) La formation d’une pensée et d’un engagement, Hegel 21 2) Les bases de la doctrine Marxiste 23 a) La suprématie de l’économie dans la compréhension d’une société. 24 b) Société bourgeoise et lutte de classe 26

d'utopie : P 39. Livre : Les fonctions du conflit social. Lewis A. Coser «Toute la pensée sociale et politique occidentale a été et demeure dominée par cette opposition fondamentales des concepts unitaristes et pluralistes (…) opposition entre les idéologies totalisantes de la primauté du collectif et l'idéologie individualiste.» Livre : Laboratoires de l'utopie, les communautés libertaires aux États-Unis. Ronald Greagh. B. Aristote (-384, -322) et le juste milieu. Livre : La politique. Aristote

référence au Christ, être transcendant l’histoire, annule toute historicité. C’est aussi le sens de l’analyse d’un philosophe américain contemporain, Francis Fukuyama, qui fixe comme « fin » à l’histoire la réalisation d’une démocratie libérale : « ce résumé de l’histoire selon la doctrine chrétienne montre clairement qu’une « fin de l’histoire » est implicite dans l’idée même de l’écriture de toute histoire universelle. Les événements particuliers de cette histoire ne peuvent être signifiants que dans

dés lors que la France déclarerait la guerre à la Prusse, les autres états allemands (l’Allemagne à l’époque n’existe pas, c’est donc les petits pays allemands qui supportaient mal les tentatives de la Prusse pour leur imposer son autorité dont on parle) se rallieraient aux armées françaises qui étaient nuls. Ce sont ces mêmes conseillés qui ont expliqués à Napoléon III que s’il déclarait la guerre, les ouvriers allemands se révolteraient contre leur gouvernement car partout en Europe Napoléon III

Sommaire  [masquer]  1 Origine du terme 2 Histoire 2.1 Précurseurs 2.2 Contexte des trois révolutions 2.3 Sociologie en quête d'autonomie 2.4 Fondation de la Discipline 2.4.1 Ibn Khaldoun 2.4.2 Émile Durkheim 2.4.3 Max Weber 2.4.4 Karl Marx 2.5 Institutionnalisation 3 Paradigmes 3.1 Paradigme holistique 3.2 Paradigme atomistique 3.3 Autres paradigmes 4 Discipline en mutation 5 Domaines d’études et courants 6 Recherche empirique et ses méthodes 6.1 Méthodes quantitatives 6

prend des formes plus radicales à l'image des attentats contre Alexandre II. En 1866 : Herzel dira « le peuple a été trompé » (quant aux réformes de 1861). Parmi les sociétés secrètes qui se multiplient, la société « jeune Russie » s'appuie sur une idéologie communiste. Tchernichevski (mort en 1898) publie en 1864 un programme révolutionnaire du titre de : « Que faire ? ». c'est aussi l'époque des premiers écrits de Bakounine en exil en Suisse. En 1862 est publié un « appel à la jeune Russie », programme

rapproche dès lors l’Union Soviétique de l’Allemagne nazie en montrant qu’un régime qui met l’accent sur la puissance publique en concentrant les pouvoirs politiques, économiques dans les mains d’une minorité ne peut que préparer une catastrophe. RESUME[3] 0- Introduction Le fond de l’argumentation de Hayek, la conclusion à laquelle il arrive est tonitruante en 1944 : « J’ai maintenant une vérité désagréable à dire : à savoir que nous sommes en danger de connaître le sort de l’Allemagne

1) Les écoles de pensées grecques (Platon-Aristote). Platon (427-348) : le régime idéal pour Platon est une aristocratie où le savoir et la raison dominent, tous les autres régimes sont écartés par Platon car ils négligent la place du savoir. Pour résumer cette théorie de Platon le conduit à une position politique élitiste. Platon a développé l‘idée de quatre formes de gouvernements : La timocratie : le gouvernement par l’élite, dirigé par la caste des chefs vertueux, voué à l’intérêt général, mais

l’intellect pour l’homme « est réduit à un temps et à des lieux précis du monde, à des objets particuliers et à d’autres conditions semblable. » Il ajoute d’autres considérations sur ce sujet « notre vue suit les passions du corps et de l’âme » Il va résumer en quelque mot la vie de l’homme « ainsi on voit d’abord avec amour et joie, puis avec douleur et colère, d’abord comme un enfant, puis comme un homme, et enfin avec sérieux comme un vieillard » Notre vision du monde est conditionnée par nos situations

Grec Pythagore (582-500 av J-C) et désigne étymologiquement l’amour de la sagesse (philia, amour ; sophia, sagesse) C’est cette définition que fera sienne Socrate (469-399 av J-C) à l’encontre des sophistes qui croyaient tout savoir. Sa sagesse se résume dans sa célèbre formule : « je ne sais qu’une seule chose, c’est que je ne sais rien ». Socrate dira plus précisément encore que seul celui qui se sait non sage peut désirer atteindre la sagesse. Platon (428-348 av J-C), son illustre disciple est