Il N Y A Pas De Vrai Sens D Un Texte Paul Valéry

ai rien à faire que guère je ne m'en soucie loin de moi ces folies mais je m'échine depuis octobre et pourquoi donc depuis début octobre même et qui m'aime me suive depuis octobre depuis ce même dernier octobre le trois du mois je crois depuis ce temps-là depuis trois mois depuis trois mois et une semaine je m'échine ailleurs et le très long texte n'a pas avancé d'un poil pas beaucoup sans doute est-ce mon côté velléitaire qui ne cesse de me jouer des tours et les méandres du très long texte se sont

ai rien à faire que guère je ne m'en soucie loin de moi ces folies mais je m'échine depuis octobre et pourquoi donc depuis début octobre même et qui m'aime me suive depuis octobre depuis ce même dernier octobre le trois du mois je crois depuis ce temps-là depuis trois mois depuis trois mois et une semaine je m'échine ailleurs et le très long texte n'a pas avancé d'un poil pas beaucoup sans doute est-ce mon côté velléitaire qui ne cesse de me jouer des tours et les méandres du très long texte se sont

écorce d'arbre loin de moi l'idée de suggérer que je m'en moque que je n'en ai rien à faire que guère je ne m'en soucie loin de moi ces folies mais je m'échine depuis octobre et pourquoi donc depuis début octobre même et qui m'aime me suive depuis octobre depuis ce même dernier octobre le trois du mois je crois depuis ce temps-là depuis trois mois depuis trois mois et une semaine je m'échine ailleurs et le très long texte n'a pas avancé d'un poil pas beaucoup sans doute est-ce mon côté velléitaire qui

ai rien à faire que guère je ne m'en soucie loin de moi ces folies mais je m'échine depuis octobre et pourquoi donc depuis début octobre même et qui m'aime me suive depuis octobre depuis ce même dernier octobre le trois du mois je crois depuis ce temps-là depuis trois mois depuis trois mois et une semaine je m'échine ailleurs et le très long texte n'a pas avancé d'un poil pas beaucoup sans doute est-ce mon côté velléitaire qui ne cesse de me jouer des tours et les méandres du très long texte se sont

Corneille, Disc sur le poème dramatique, 1660) Romantisme : tend d’abord à designer un genre part. à l’intér des formes poétiques. Vigny : l’épopée mais brève. Mise en scène d’une pensée philosophique. Leconte de Lisle : recueil Poèmes et poésies 1855 : poème : + grande concentration du thème que poésie. Puis perd sa spécificité. Ponge : métamorphose critique, titre ironique Proêmes 1948 : cf. antiquité : l’exorde, prélude musical à la cithare pour commencer le poème en l’honneur des dieux. + métissage

parler de la poésie avec vérité. Selon Paul Valéry, certains considèrent la poésie comme quelque de vague et d’incertain alors que c’est eux-mêmes qui seraient dans le vague. > 3 grandes valeurs formelles de poésie dans la traduction occidentale pour Todorov : - Poésie = rhétorique : elle est un ornement qui procure du plaisir. - Elle inverse les propriétés rationnelles du langage = on fait passer les sentiments à travers les mots qui servent à communiquer ce que le langage conceptuel

la  clarté  être  le  plus insigne  ornement  du  Poème  :  ainsi  l’obscurité  se comptera  pour  le  premier  vice.  Car  il  n’y  a  point  de différence  entre  ne  parler  point,  et  n’être  point Quoi de neuf sur le entendu. forum ? J. Peletier du Mans (1517­1582), Art poétique, Livre I, X. Oral  de  français  ­  Peut­on être  interrogé  sur  un  texte non étudié en classe ? La  Fontaine,  mulets La  Poésie  n’était  au  premier  âge  qu’une  Théologie allégorique, pour faire entrer au cerveau des hommes

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consiste à faire oublier les matériaux dont il se sert, les mots et les outils de la langue auxquels il recourt pour les ciseler. Ceci est particulièrement vrai de la poésie qui dès son origine, se fait connaître comme un des arts majeurs de la parole. C’ est un point de vue que semble partager le poète Paul Valery dans un article consacré aux poètes « Villon et Verlaine » intitulé Variété in Oeuvres I dans la collection La Pléiades , qui, parlant du rapport à la langue qui lie le poète à son oeuvre

888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888 ◦Paul Valéry écrit dans le Préambule pour le Catalogue de l'Exposition d'art italien,, Paris, Gallimard, 1935 : «Nous observons autour de nous, dans les hommes et dans les œuvres, comme nous les éprouvons en nous-mêmes, les effets de confusion et de dissipation que nous inflige le mouvement désordonné du monde moderne. Les arts ne s'accommodent pas de la hâte. Nos idéaux durent dix ans ! L'absurde superstition du nouveau - qui a fâcheusement remplacé l'antique et