Il N Y A Rien Qui Enferme Plus Que L Amour

l'écrivain Mohammed Moulessehoul, né le 10 janvier 1955 à Kenadsa dans la wilaya de Bechar dans le Sahara algérien. Ses œuvres ont été traduites dans plus de 22 pays. Mohammed Moulessehoul est un ancien de l’armé Algérienne. Il choisit en 1997, avec le roman Morituri, d'écrire sous pseudonyme. Diverses raisons l'y poussent, mais la première que donne Moulessehoul est la clandestinité. Elle lui permet de prendre ses distances par rapport à sa vie militaire et de mieux approcher son thème cher :

extraordinaires, dont ne disposaient pas les générations précédentes. L’argument tend à nous persuader que, grâce à des moyens techniques modernes, les hommes ont changé de condition et qu’ils sont enfin en relation les uns avec les autres. Mais l’éloge de la communication recoupe beaucoup d’ambiguïtés. Il y a d’abord la confusion qui est faite avec l’information. L’information va à sens unique d’un sujet vers un autre sujet. A proprement parler, la radio et la télévision ne sont pas des instruments de

longue date qui organisent une petite soirée pour fêter leurs retrouvailles. Cette soirée va réunir, en plus des deux banlieusards, les épouses et un couple de voisins. Tout ce petit monde se met à parler de tout, mais surtout de rien, afin de rompre les silences qui se font de plus en plus angoissants. Parlent de leur haie, de leur bungalow et de leur auto. Un beau jour, Georges rend visite à Bernard qu’il n’a pas vu depuis longtemps. On organise une soirée pour fêter l’événement; on jase de tout

Biographie: Delphine De Vigan née le e Mars 1966 à Boulogne-Billancourt. Elle cultive la discrétion. Publiant son premier livre sous pseudonyme, Lou Delvig retrace le parcours d'une jeune femme anorexique. Largement autobiographique, « Jours sans faim» est paru en 2001 aux éditions Grasset. Cadre dans un institut de sondages, Delphine de Vigan écrit le soir, en plus de son activité professionnelle. Elle parvient ainsi à gagner le cœur du public avec «Jolis garçons», un recueil de nouvelles édité

magie côtoie la réalité. Deux épisodes expliquent le titre : 1- Frasquita, après son initiation, a découvert dans la boîte transmise de fille en fille, tout l’attirail d’une couturière hors-pair. Mais, avant même d’ouvrir la boîte elle avait déjà manifesté des dons étonnants pour la couture (p 33-34). Lors de la semaine sainte, elle est entrée subrepticement dans l’église où elle s’est laissée enfermer. Entrée dans la pièce où « les six de las Penas » gardent jalousement le secret de la Vierge bleue

80 Scène III 82 Scène IV 83 Scène V 86 Scène VI 90 Scène VII 92 À propos de cette édition électronique 94 Adresse Épître de Corneille à Monsieur P.T.N.G. Monsieur, Je vous donne Médée, toute méchante qu’elle est, et ne vous dirai rien pour sa justification. Je vous la donne pour telle que vous la voudrez prendre, sans tâcher à prévenir ou violenter vos sentiments par un étalage des préceptes de l’art, qui doivent être fort mal entendus

(Les personnages sont enfermés dans un espace tragique) -> Les lieux deviennent témoin du déchirement -> évocation du palais de Britannicus Une ville métonymique -> Rome pouvoir, autorité moraleLe temple ou Junie se réfugie = pareil La description des lieux et des alentoursL’espace proche La description de la scène est restreinte à de modeste élément. Dans Mithridate la didascalie au début de la pièce indique « La scène est à Nymphée, port de mer sur

Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque

classe de 6 A présentent : ème Nos mythes préférés Avec l’aide du professeur de français Mme Iltis-Carbonnell Année scolaire 2007 - 2008 1 I. Les mythes égyptiens Les dieux égyptiens Les égyptiens sont polythéistes. Ils croient en plusieurs centaines de dieux ! Ces divinités auraient créé le monde et règnent sur l'Egypte au tout début de son histoire. Les égyptiens adorent leurs dieux et les vénèrent chaque jour. A quoi les dieux ressemblent-ils ? La plupart ressemblent à des êtres

peut pas durer, je suis seul à mort. Jacques est en Europe, Arthur au séminaire, maman est  aux States (mais même si elle était ici, à quoi cela aurait­il servi ? nous n'avons jamais pu  parler), le grand­père Aldéric ne m'écoute pas.​ » (p.47) On voit dans cet extrait que le départ  de la famille de François provoque chez lui un sentiment de vide relationnel. Le lecteur  prend ainsi conscience que ses proches l’ont laissé seul à lui­même au Québec.  L’expression utilisée par François « seul à mort » est une hyperbole