Il Nous Plaît De Chercher En Autrui Ce Qu Il Nous Déplaît De Trouver En Nous

jamais critiqué la vanité d’un tiers, ou l’égoïsme d’un proche ? Ce que l’on a tendance à cacher, en revanche, c’est que ces critiques que l’on adresse, ces défauts que l’on trouve, sont souvent les nôtres. C’est ce que veut dire Chaponnière dans la phrase : « Il nous plaît de chercher en autrui ce qu’il nous déplaît de trouver en nous. » Cela signifie que les défauts qui nous sautent aux yeux chez une personne sont probablement nos propres défauts que l’on voit, comme un miroir, chez celui que l’on

ou un talent. Or lorsqu’on associe le mot existence à celui d’artiste, on parle plus de la création de choses originales et belles. L’artiste passionné cherche à faire ressortir sa personnalité, ses émotions dans ses créations. De ce fait, lorsque l’on crée notre existence et que l’on est l’artiste de sa propre existence, que l’on cherche à trouver notre essence, ne cherchons pas nous aussi la même chose que l’artiste ? ~ ~ ~ D’emblée, si l’on conçoit la nature humaine telle la vision

a son bonheur. Plus généralement le bonheur se définit comme étant État de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du cœur et de l'esprit Cependant l'Homme n'est pas seul et se voit contraint de vivre en société et par conséquent avec autrui. Autrui est un terme signifiant celui qui diffère de moi mais aussi celui qui me ressemble. Nous en arrivons donc a nous demander si L'Homme est-il maître de son bonheur ou son bonheur dépend-t-il d'autrui ? Dans une première partie nous verrons pourquoi

consiste-t-elle à faire ce qui nous plaît ?   Il est fréquent de penser que la liberté consiste essentiellement à faire ce qui nous plaît. C’est ainsi que l’on pense le temps libre, celui des loisirs, de la détente. Ne rien faire peut même passer pour l’essentiel. Et pourtant comment admettre que c’est dans le simple fait que la vie s’écoule paisiblement que résiderait l’essentiel de la liberté ? N’est-on pas d’autant plus libre que l’on fait volontairement ce qui déplaît ? Est-il libre celui qui boit

beau l'objet d'une semblable satisfaction. ». Ainsi, l’homme s’égare lorsqu’il veut convaincre autrui de son ressenti face à l’objet observé : « Pour ce qui est de l'agréable chacun se résigne à ce que son jugement, fondé sur un sentiment individuel, par lequel il affirme qu'un objet lui plait, soit restreint à sa seule personne. [...] L'un trouve la couleur violette douce et aimable, un autre la trouve morne et terne; l'un préfère le son des instruments à vent, l'autre celui des instruments à cordes

dans l’équilibre. Grandeur de l’âme humaine consiste à savoir s’y tenir et non à chercher l’exceptionnel. => être honnête homme : s’en tenir à l’humanité. Eviter de se signaler en faisant trop paraître différences individuelles qui tiennent à la culture, compétence, métier > homme universel. On peut avoir savoir spécial mais pas le laisser paraître. => Plaire. N’afficher aucune supériorité mais tjrs satisfaire autrui par son savoir. Effacement de soi et soumission à l’autre. - L’esthétique de

l'assouvissement des plaisirs) et presque indéfinissable tant il varie selon les personnes, ou selon les philosophies, entre possibilités à trouver le bonheur par l'action et son étymologie invitant à concevoir le bonheur comme bonne fortune. Le bonheur apparaît donc d'abord comme une notion simple puisqu'il est reconnu comme une fin en soi, mais il se complexifie lorsqu'on cherche à l'atteindre. Car si le bonheur admet la notion de " hasard ", il admet aussi la notion de " vertu ". La vertu n'était pas ici

questions générales 1.* L'énoncé comporte-t-il un jugement de réalité (une information incontestable)? Un jugement de valeur (une opinion à discuter)? Autrement dit, relève-t-il bien du genre argumentatif? 2. * Quels renseignements peut-on trouver (dans les dictionnaires, dans les autres ouvrages et médias de consultation...) sur l'auteur de l'énoncé, et sur le contexte historique de son énonciation? B. La consigne 3.* Est-ce un sujet de dissertation générale, ou de dissertation littéraire

barbarie. D. Diderot 44. Il ne fait aucun doute que la société est en crise. Un journaliste contemporain 45. Il ne peut pas pleuvoir chez le voisin sans que j'aie les pieds mouillés. Proverbe chinois 46. Il nous plaît de chercher en autrui ce qu'il nous déplaît de trouver en nous. P. Chaponnière 47. Il n y a qu'un devoir, de se rendre heureux. D. Diderot 48. Il n'y a qu'une façon d'apprendre. C'est par l'action. P. Coelho 49. Il sied au progrès de respecter ce qu'il remplace.

son frère. Quand le temps vient pour elle de prononcer ses vœux définitifs, il refuse de lui rendre une part de son héritage pour payer sa dot de nonne ; sans argent elle aura une position moins élevée dans la hiérarchie du couvent. Ainsi, Pascal se trouve à la fois riche et libre. Ce n’est qu’en 1653 qu’il acceptera de lui constituer une dot. Sa croyance et son engagement religieux réactivés, Pascal loge dans le plus ancien des deux couvents de Port-Royal pour une retraite de quinze jours en janvier