Il était Un Fois

humaine, qu’elle fût constructive ou destructive, aucune manifestation de la vie en germe ou bien à son déclin, qui ne fût accompagnée de puanteur. Et c’est naturellement à Paris que la puanteur était la plus grande, car Paris était la plus grande ville de France. Et au sein de la capitale il était un endroit où la puanteur régnait de façon particulièrement infernale, entre la rue aux Fers et la rue de la Ferronnerie, c’était le cimetière des Innocents. Pendant huit cents ans, on avait transporté

activité humaine, qu’elle fût constructive ou destructive, aucune manifestation de la vie en germe ou bien à son déclin, qui ne fût accompagnée de puanteur. Et c’est naturellement à Paris que la puanteur était la plus grande, car Paris était la plus grande ville de France. Et au sein de la capitale il était un endroit où la puanteur régnait de façon particulièrement infernale, entre la rue aux Fers et la rue de la Ferronnerie, c’était le cimetière des Innocents. Pendant huit cents ans, on avait transporté

ans et utilisé durant toute l’antiquité égyptienne et gréco-latine. Le papyrus était utilisé comme manuscrit, pour des lettres ou des textes courts. On écrivait que sur une seule face du papyrus, et il était parfois gratté pour être réutilisé. C’était néanmoins un support onéreux dont l’utilisation était réservée à une partie de la population. Le papyrus n’est ni un papier ni un tissu. Le terme papyrus désigne à la fois le support et le nom de la plante qui comporte les tiges avec laquelle on le confectionne

humaine, –3– qu'elle fût constructive ou destructive, aucune manifestation de la vie en germe ou bien à son déclin, qui ne fût accompagnée de puanteur. Et c'est naturellement à Paris que la puanteur était la plus grande, car Paris était la plus grande ville de France. Et au sein de la capitale il était un endroit où la puanteur régnait de façon particulièrement infernale, entre la rue aux Fers et la rue de la Ferronnerie, c'était le cimetière des Innocents. Pendant huit cents ans, on avait transporté

KAFKA LA MÉTAMORPHOSE 1 En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu'une carapace, et, en relevant un peu la tête, iI vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu'à peine. Ses nombreuses pattes, lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu'il avait

Frank Kafka Table des matières À propos de cette édition électronique...................................59 En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et, en relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses

du travail en entreprise. * Je remercie aussi Monsieur cHASTANG de m'avoir accueilli au sein de l'entreprise Alter-média, et qui m'as apporté beaucoup d'expérience dans le domaine de l’informatique (réparation, programmation), ce qui m’a était très utile quotidiennement. * Je remercie Monsieur de m’avoir accepté dans l’entreprise Téthys Instrument pour ces quelques semaines de stages, j’y est découvert beaucoup. Introduction : Au cours de ma formation (Bac Professionnel de

978-2-266-14597-8 Pour Suzy Prologue Ile de Nantucket Massachusetts Automne 1972 Le lac s'étendait à l'est de l'île, derrière les marais qui baignaient les plantations de canneberges. Il faisait bon. Après quelques jours de froid, la douceur était maintenant de retour et la surface de l'eau renvoyait les couleurs flamboyantes de l'été indien. — Hé, viens voir! Le petit garçon s'approcha de la rive et regarda dans la direction indiquée par sa camarade. Un grand oiseau nageait au milieu des feuilles

dans le Gulf Stream sur son canot depuis quatre-vingt-quatre jours sans avoir pris un poisson. Les quarante premiers jours, le garçon était venu avec lui. Mais après ces quarante jours, les parents du garçon lui avaient dit que le vieil homme était finalement et définitivement salao, ce qui est la pire forme pour dire pas de chance, et selon leurs ordres, le garçon était parti sur un autre bateau, lequel avait pris trois gros poissons la première semaine. Cela le rendait triste, le garçon, de voir le

l'école, dans sa foret. Pour les professeurs il était le petit-fils du bûcheron. Etrangement, cela paraissait être moins prestigieux que le fils du contremaître là bas. Son grand-père était pourtant son propre patron ! Pour rentrer à la scierie, il fallait prendre deux tramways, puis traverser les faubourgs. Pierre faisait le trajet seul pour la première fois, Antoine était resté chez un camarade pour travailler le latin. Chez son grand-père aussi, il était le petit jaune. Inévitablement, il se perdit