Il était Un Fois

Laisse Parler ton Cœur Je m’appelle Alhem, je suis fille d’un Emyr, j’ai toujours vécue dans un palais, je viens d’avoir mes 22ans et c’est la dernière fois que je vous écris, je tiens à partager une partie de ma vie. AHLEM & MOHAMED LAMINE HASSAN… J’ai toujours étais parfaite, je devais toujours avoir une tenue différente, je prenais des cours de musique, d’écriture, de littérature et aussi cette fameuse matière les mathématiques, des cours de théologie islamique. J’étais très proche

tapait dans tous les déchets présents à terre. Il était orphelin depuis l’âge de quatre ans, époque à laquelle il avait eu un accident de voiture avec ses deux parents, Leïla et Sam. La voiture s’était – on ne sait comment – retrouvée sous les roues d’un camion. Selon les médecins, Evenn serait un miraculé avec seulement quelques égratignures, mais ses parents avaient péri. Il avait ensuite était adopté par Hélène et Romuald, et ce dernier était particulièrement grincheux. Au moment où il marchait

il tomba sur une histoire qui parlait de Narcisse. L’Alchimiste connaissait la légende de Narcisse, ce beau jeune homme qui allait tous les jours contempler sa propre beauté dans l’eau d’un lac. Il était si fasciné par son image qu’un jour il tomba dans le lac et s’y noya. A l’endroit où il était tombé, naquit une fleur qui fut appelée narcisse. Mais ce n’était pas de cette manière qu’Oscar Wilde terminait l’histoire. Il disait qu’à la mort de Narcisse les Oréades, divinités des bois, étaient

Contes de Perrault -Recueil Histoires ou Contes du temps passé La belle au bois dormant Il était une fois un roi et une reine qui étaient si fâchés de n’avoir point d’enfants, si fâchés qu’on ne saurait dire. Enfin, pourtant il leur naquit une fille. On fit un beau baptême ; on donna pour marraine à la petite princesse toutes les fées qu’on put trouver dans le pays (il s’en trouva sept), afin que, chacune d’elles lui faisant un don, comme c’était la coutume des fées en ce temps-là, la princesse

en observant son supérieur. "Un problème, monsieur?" Questionna-t-elle en faisant un petit signe de la tête vers la nouvelle orthèse qu'il portait à la jambe. Il ne la portait pas la dernière fois qu'elle l'avait vu. "J'ai fait du kickboxing avec un sac un peu plus tôt." Grogna-t-il amèrement. Il était dans une mauvaise passe et avait espéré qu'une séance d'entraînement consumerait un peu de son stress. Les choses ne s'étaient pas tout à fait dérouler comme il l'avait souhaité. "Je suppose

MILLE ECLATS DE VERRES Elle s’appelait Noël, 18 ans et elle était alcoolique, vu qu’elle ce tenais au même endroit que moi à ce moment. Elle avait vraiment pas l’air d’avoir envie de rester ici, ce qui probablement normal car je n’aimais pas cette endroit non plus. On racontait pourquoi ont étaient ici à tour de rôle mais elle parlait jamais, elle se leva sèchement pour dire : «Aucune histoire, zéro problèmes, on m’a forcée à être ici.» Le monsieur l’a regardais d’un air fâché et continuais le

j’avais toujours connu. En effet Glady Humphrey était présente. Et qu’elle fille ! Elle était presque aussi grande que moi avec une belle chevelure blonde. Des yeux gris qui lui allait magnifiquement bien. Elle avait un teint frais et dégageait une sorte de bonne humeur. Son regard était aimant et doux. On avait passé toute la soirée à papoter toute les deux dans ma chambre et elle avait accepté de rester pour dîner avec nous. Pour la première fois de la journée je me sentais bien. Même si on fond

parler d'amour, et une grande discussion s'éleva, l'éternelle discussion, pour savoir si on pouvait aimer vraiment une fois ou plusieurs fois. On cita des exemples de gens n'ayant jamais eu qu'un amour sérieux ; on cita aussi d'autres exemples de gens ayant aimé souvent, avec violence. Les hommes, en général, prétendaient que la passion, comme les maladies, peut frapper plusieurs fois le même être, et le frapper à le tuer si quelque obstacle se dresse devant lui. Bien que cette manière de voir ne fût

sac par terre. Elle soupira. Cette journée lui avait semblé durer une éternité. Elle était épuisée. Pas des cours, non, mais épuisée de devoir jouer ce rôle de la fille pétillante et joyeuse chaque jour. Ce n'était pas elle, ce n'était pas ce qu'elle était vraiment. Mais elle ne voulait pas qu'on découvre son vrai visage. Les gens autour d'elle ne connaissaient pas cette fille dépressive et malheureuse qu'elle était réellement. Eux, connaissaient celle qui rigolait tout le temps, qui faisait des blagues

putain toute ma ive s'écroule, pour la première fois j'perd le contrôle zink ! Tu m'connais, j'ai toujours eu la tête sur les épaules. J'ai toujours montré que j'étais forte mais là j'suis à deux doigts d'la connerie, j'sais même pas c'qui me retiens. J'reste peut-être pour Dieu ? Honnêtement j'en sais rien. Mes darons et moi on s'calcule pas trop.. Puis avec mon grand reuf c'est pareil on s'perd, tu sais que pour lui j'ferais tout, c'est le seul qui était là dans mes galères et j'réalise maintenant