Ile Des Esclaves Scène 5

voix d’homme puissante, bien timbrée, venait de sortir du vent. Je n’y crus pas d’abord. — Oui, donnez-moi vingt-quatre heures. Pas une de plus. À mon avis, ça suffira. La voix m’obligea à me retourner pour vérifier qu’un corps en était à l’origine. 5 L’homme vêtu de blanc, assis sur un pliant de golf, les jambes croisées, les mains hérissées de bagues posées sur le pommeau d’une canne d’ivoire, me regardait de bas en haut comme on détaille un objet. — Évidemment, il faudra que je fasse preuve

moderne Cuba, 1868 Les espagnols se plaisent à Cuba, ils lui ont donné en 1849 une clé à son blason, dessiné par Miguel Teurbe Tolón. Chassés de leurs colonies sur le continent par les Etats-Unis il y a déjà un siècle, ils s’éternisent sur cette île à la forme de saurien, ce qui lui vaut d’être appelée « l’île du caïman vert ». La nature luxuriante a permit la construction de nombreux édifices tels que des églises, des palais, de La Havane à Santiago de Cuba. Cependant, depuis la lointaine France

capitalisme se construit donc par une suite de textes abordant les thèmes de prédilections de leurs auteurs. Il y est abordé la question des origines du capitalisme (Jean Suret-Canale), son expansion historique à travers l'époque coloniale et la traite des esclaves (Philippe Paraire, Jean Suret-Canale, André Prenant, Francis Arzalier, Robert Pac, Yves Grenet ainsi que Caroline Andréani), la lutte des classes,  le syndicalisme et l'anticommunisme (Roger Bordier, Maurice Moissonnier, Claude Willard, André Devriendt

de Molière mise en scène Marc Paquien avec Anne Caillère, François De Brauer, Eric Frey, Jany Gastaldi, Nathalie Kousnetzoff, Matthieu Marie Daniel Martin, Pierre-Henri Puente Alix Riemer, Agathe Rouillier scénographie : Gérard Didier lumières : Dominique Bruguière son : Anita Praz costumes : Claire Risterucci maquillages et coiffures : Cécile Kretschmar collaboration artistique : Daisy Amias. 24 janvier >>> 19 février mardi, mercredi, vendredi, samedi 20 h 30, Jeudi 19 h 30 dimanche

découvrit Cuba. Il effectua en tout quatre voyages entre l'Europe et l'Amérique : - 2nd voyage (1493 – 1496) : Il embarque en 1493 avec 17 navires, dans le but de fonder une colonie sur Hispaniola, une île des Antilles. A Hispaniola, Colomb et ses hommes capturent 150 indigènes et les vendent comme esclaves. - 3ème voyage (1498 – 1500) : Colomb débarque à Hispaniola fin août 1498. Il trouve la colonie agitée par des troubles orchestrés par Francisco Roldan. - 4ème voyage (1502 – 1504) : Exploration

a pris comme décor et sujet pour bon nombre de ses toiles. Ses tableaux ne sont pas forcément réalistes. Intérêt pour l'Antiquité en train d'être découverte plus qu'exposée. Vue imaginaire de la Grande Galerie du Louvre en ruines (1796) Met en scène la destruction du Louvre alors qu'il est tout juste en train d'être construit (Louvre ouvert en 1793). Imagine un dessinateur en train de dessiner l'Apollon du Belvédère, au milieu des ruines. S'intéresse à la thématique de la ruine, qui fait partie

plus particulièrement aux villes de Saint-Ouen, Saint-Denis, Aubervilliers, La Courneuve et Bobigny. Le mot Rrom désigne un peuple dont les ancêtres ont quitté la vallée du Gange au début du 11 siècle après Jésus-Christ. Capturés et vendus comme esclaves, ils ont été conduits de l’Asie mineure jusqu’au Bosphore, puis se sont dispersés à travers toute l’Europe, même un peu partout dans le monde. Aujourd’hui, les Rroms forment un peuple sans territoire compact, lié par une conscience identitaire, une

studio se servent d'images pour remplir des demi-pages ou, tout simplement pour détailler et mettre en avant une scène. Les Aventures de Tintin L'emploi de la couleur fait ressortir les détails importants. Hergé insiste sur ce point en affirmant : « Je considère mes histoires comme des films. Donc, pas de narration, pas de description. Toute l'importance, je la donne à l'image »[5] . La vie personnelle d'Hergé a également influencé la série, avec par exemple → Tintin au Tibet, fortement marqué

Moyen-Age (mystères et farces) 5 c) Le théâtre élisabéthain 5 d) Le théâtre classique 8 e) Le drame romantique 9 f) Le théâtre de l’absurde 10 g) Le living theatre 11 II. Lieux de représentation 13 a) Les différents lieux de représentation 13 b) La scénographie 14 III. Evolution du rôle du metteur en scène 15 IV. Evolution de la mise en scène 16 a) Les lumières 16 b) Le son 20 c) Décors et accessoires 20 V. Metteurs en scène connus 21 a) Les importants metteurs en scène de l’antiquité 21 b) Les importants

75905 Paris Cedex 15 ISBN 978-2-01-135543-0 www.hachette-education.com Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays. Le Code de la propriété intellectuelle n’autorisant, aux termes des articles L. 122-4 et 122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective », et d’autre part, que « les analyses et les courtes citations » dans un but d’exemple et d’illustration