Incipit Héros Relation Lecteur Personnage

n°1 : Chapitre 1 Intro : Cet incipit joue son rôle d’exposition. Ainsi on a affaire à un début proche de celui d’un conte traditionnel mais une seconde lecture nous montre qu’il y a une parodie. I. Un incipit traditionnel La formule initiale « il y avait » rappelle l’expression par laquelle débute le conte de fée « il était une fois ». La localisation spatiale « en Westphalie » équivaut à une absence de repère locatif car cette région d’Allemagne ne dit rien au lecteur français du XVIIIème siècle

son vivant. Les personnages évoluent dans un univers poétique et déroutant, avec pour thèmes centraux l’amour, la maladie, la mort, dans une envoûtante atmosphère de musique de jazz, de climat humide et marécageux, qui rappellent les bayous de Louisiane. Résumé Le lecteur ouvrant ce roman est directement confronté au jeu des inversions qui sous-tend la démarche globale : dans un univers absurde, qui imite l'univers du rêve et des plus étranges, le narrateur présente un personnage particulièrement

l’amour, qui est une véritable déclaration. Il aime dans l’amour toutes les composantes. Vers 4 : Possessif « mon » on passe de l’indéfini à son cas personnel. Il montre sa fidélité à la femme aimée. Reprise, redondance du terme « seul ». Nous, lecteur, on attend le nom de l’être aimé, mais on ne l’aura pas. Vers 5 : Présent de vérité générale. Dès le v.5 on a une coupe : tout passe. Chaque phrase occupe habituellement un vers de ce poème sauf dans ce vers. Cette bouche appartiendrait à celle d’Yvonne

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suffisant, Hubert, à sa sœur. Lettre de Janine à son oncle justifiant son grand-père.   B) structure du roman Première partie (=lettre, mémoires, confession) I Futur : le narrateur envisage la découverte par sa femme de cette lettre, que nous, lecteur, sommes en train de lire, indiscrètement en fait, avant que son cadavre ne soit refroidi. Présent de l’énonciation : 4 heures, dans sa chambre d’enfant, au premier étage, le jour de ses soixante-sept ans. Il veut rompre le silence de son ménage.

rétorquer : soit, mais alors, la faute à qui ? Maintenant est-il équitable de disputer l’enfant qu’on fut ?   La voix d’un enfant, pas celle de l’adulte, M d C, qui regrette certains propos. Tanguy est un personnage, à la fois personne, pas une création puisqu’il a été mais une recréation. Ainsi, le lecteur se trouve « dans l’Histoire telle que l’enfant la perçoit et la déforme »   3) Le critère de vérité P. 14 « A aucun moment le critère de vérité ne se posait à moi » Il parle de son imposante mémoire

L’auteur livre ainsi, avec Micromégas, une œuvre fantaisiste, brève et cependant riche, propre à renouveler la mise en scène de l’altérité. Micromégas, géant dont le nom signale la grandeur (mégas) en même temps que la petitesse (micro), est un personnage imaginaire, et un voyageur qui, en parcourant les espaces interstellaires, rencontre différentes créatures. En sept courts chapitres, le voyage le confronte à différentes expériences, dont la principale est la rencontre avec les humains, aux deux

deux héroïnes, qui vont vivre ce voyage comme un moment de joyeux amusement. Mais c'est aussi la ronde des policiers, des guetteurs, des soldats sur le chemin de “ronde”, ce qui sous-entend déjà un danger et suggère une atmosphère plus lourde… Le lecteur s'interroge alors… Cette première interrogation est soutenue par la seconde partie du titre “et autres faits divers”, qui, au-delà du réalisme qu'il implique, puisqu'il s'agirait d'événements tels qu'on peut les lire dans un quotidien, nous alerte

L’auteur livre ainsi, avec Micromégas, une œuvre fantaisiste, brève et cependant riche, propre à renouveler la mise en scène de l’altérité. Micromégas, géant dont le nom signale la grandeur (mégas) en même temps que la petitesse (micro), est un personnage imaginaire, et un voyageur qui, en parcourant les espaces interstellaires, rencontre différentes créatures. En sept courts chapitres, le voyage le confronte à différentes expériences, dont la principale est la rencontre avec les humains, aux deux

par rapport à un personnage, un genre littéraire, un récit… Distique (genre masculin): strophe de deux vers rimant ensemble et formant une unité de sens. « Ariane, ma sœur, de quelle amour blessée Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée » (Racine, Phèdre) Dizain : poème formé de dix vers, souvent en deux groupes de cinq vers sur deux rimes. Délie (1544) de Maurice Scève comporte 449 dizains décasyllabiques. Double énonciation : dans une pièce de théâtre, un personnage s’adresse à la fois