Incipit Héros Relation Lecteur Personnage

un récit populaire romanesque ou d’aventures, ancré dans le folklore et les traditions, le plus souvent plaisant, qui met en scène des personnages merveilleux, c’est-à-dire dont les caractéristiques diffèrent de celles des humains. Le lieu et le temps ne sont pas identifiables. L’action se déroule selon un schéma narratif qui obéit à des règles précises. Le héros se trouve en général dans une « situation initiale » dont la stabilité est interrompue par un « élément perturbateur » : dans le cas de

conseils de son éditeur, il se laissa aller à ses penchants pour le conte fantastique, amorçant un procédé qui lui devint propre : alléger la narration afin de rendre l'œuvre, selon le niveau d'interprétation adopté, accessible à tous, y compris aux lecteurs non avertis. Son premier essai fut : ____________________________________________________________ ______________ “Il viscomte dimezzato” (1952) (“Le vicomte pourfendu”) Roman de 123 pages Chapitre 1 : Parti intact, naïf, enthousiaste

06/09/11 11:52 Sommaire Chapitre 1 Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours .......................................................5 Séquence 1 Le personnage, reflet du monde ? ........................................................7 Séquence 2 Parcours de lecteur : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731 ................32 Séquence 3 Histoire des arts : Voyages au bout de la nuit ....................................44 Séquence 4 Personnage et société ..............................

Si Zola s'éloigne de la vérité brute, il réussit néanmoins à être vrai, d'une vérité supérieure qui est celle de l'art. Le procès-verbal du greffier serait informe et, pour tout dire, illisible. Le roman prête son ordre et la chair vivante des personnages à la leçon. "Le vrai peut quelquefois n'être pas vraisemblable", écrit Maupassant, citant Boileau. Ainsi quoi de moins vraisemblable que la visite du Louvre au chapitre III de L'Assommoir ? Zola a vu néanmoins, en baladant son troupeau d'ahuris

du doute (comme dans Gargantua). Monde de la cour, monde de magnificences, alors qu’en réalité Mme de La Fayette va s’attacher à démolir cela, et mettre en scène les mensonges et les faiblesses de ce monde qu’elle semble célébrer. « Démolition du héros» Paul Benichou. (à propos de Molière et Racine) = Pessimisme fondamental, ambition moraliste qui s’inscrit dans cette démolition. Etre moraliste c’est décrire les meurs, en étant pessimiste, en mettant en avant les misères des hommes tels qu’ils

06/09/11 11:52 Sommaire Chapitre 1 Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours .......................................................5 Séquence 1 Le personnage, reflet du monde ? ........................................................7 Séquence 2 Parcours de lecteur : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731 ................32 Séquence 3 Histoire des arts : Voyages au bout de la nuit ....................................44 Séquence 4 Personnage et société ..............................

traits satiriques : l. 15-16 : les disputes = sot, ne fais pas avancer les choses Le huron ne s’entête pas : bon sens ! l.23 : ces mots qui font tant de peine aux hérétiques. Protestants torture « questions » => Texte drôles, qui met le lecteur aux cotés de Voltaire. Humour + ironie aux services d’une démonstration Conclusion : On se trouve entre naïveté réelle du huron et la naïveté feinte du narrateur. Mise en évidence du dogmatisme religieux. La religion est pleine de contradictions

jour, quelques jours plus tard, quelques semaines plus tard..) - L’expression « une petite neige commençait à couvrir les rues » indique que le jour où Jules est allé à la maison d’édition est un jour hivernal. 2. Les personnages a- personnages principaux Jules Montblanc - personnage central de la nouvelle - il a fait la majorité des actions - il est l’axe des événements principaux de la nouvelle - ses interventions sont spontanées et non planifiées - on lui a volé le nom et l’identité Joël

théorie de la réception présente une nvle conception de l'œuvre, qui ne se réduit pas à un texte: le rôle du lecteur est déterminant (Iser). Celui-ci, confronté à l'unicité caractéristique de tte œuvre, est contraint de faire "l'expérience d'un dépaysement": contrairement à la communication ordinaire, la communication littéraire ne comporte que deux éléments concrets: le message et le lecteur (Riffaterre). 1.Gustave Lanson: "la littérature et la science" (1895) Auteur célèbre d'études sur Bossuet

Lectures cursives : Jorn Riel « Alexandre », in La Vierge froide et autres racontars. Daniel Boulanger, ? SEANCES : ( Séance 1 : (lecture / langue) Objectifs : - Revoir la notion d’auteur, de narrateur, et de personnage. - Revoir les niveaux de langue. Support : Deux extraits des Exercices de style de Queneau (« Récit » et « Moi je »). ( Séance 2 : (langue) Objectif : - Réviser l’emploi et les conjugaisons des temps du récit (imparfait et