Incipit La Maison Tellier

première maison du Village. — Hé bien, dit le Loup, je veux l’aller voir aussi ; je m’y en vais par ce chemin ici, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera. » Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait. Le Loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la

première maison du Village. — Hé bien, dit le Loup, je veux l’aller voir aussi ; je m’y en vais par ce chemin ici, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera. » Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait. Le Loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la

et de l’adieu à la jeunesse, c’est le corps qui semble sur la défensive, surtout si l’esprit emprunte aux sophistes ses tours et ses détours. 18 MONTAIGNE, ESSAIS, Livre III, XII, « De la phisionomie » Un quidam delibera de surprendre ma maison et moy. Son art fut d’arriver seul à ma porte et d’en presser un peu instamment l’entrée ; je le cognoissois de nom, et avois occasion de me fier de luy, comme de mon voisin et aucunement mon alié. /// Je luy fis ouvrir, comme je fais à chacun. //

v. pr. S'ajuster avec un trop grand soin. Se dit surtout en parlant des hommes. Adourner : verbe. Orner, parer, ajuster. Habiller. Apprêter, préparer. Assaisonner. Du latin Adornare, l'on a fait adourner, aorner au même sens. " Sion ahorne ta maison et si receos ton Roi. " (St Bernard, Serm. fr. MSS. p. 381.), (La Curne). Adret : n. m. Versant d’une vallée exposé au soleil. Adscrit : ITE (ad-skri, skri-t'), adj. Terme de grammaire. Écrit à côté. L'"éta" avec un iota adscrit. Adventice

ils peuvent aimer tel Boitelle qui tombe amoureux fou d’une négresse rencontrée au Havre ou encore le fermier veuf qui aime platoniquement une domestique dans le conte éponyme. Quant à la religion, comme nous le montre notre roman ou encore « La maison Tellier », elle apparaît avant tout comme un code pour eux. En somme, cette place accordée aux paysans traduit une société en mutation mais également un lexique en mutation. La « reproduction » du parler normand n’est, de la même façon, pas seulement

dtre cocu. Il informe son ami Chrysalde de son intention de se marier. Il envisage dpouser sa pupille, Agns, quil a fait lever, ds lge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction. Elle est maintenant enferme dans une maison o elle est garde par un valet et une servante, un peu simples, Alain et Georgette. De retour, aprs dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace se