Incipit Le Misanthrope

est en défaut; il nomme trop peu Molière, si vivant toujours et si présent; Molière, ce classique qui a si peu vieilli, et qui fait autant de plaisir en 1850 qu'en 1670. Il n'explique pas ce démenti que donne l'auteur des Femmes savantes et du Misanthrope à cette théorie d'une mort partielle chez tous les classiques. Il a senti depuis cette lacune, et, dans un Supplément à ses brochures qui n'a pas été encore imprimé, il cherche à répondre à l'objection. L'objection subsiste, et, sous une forme plus

pour fonction de mettre au jour la « Forderung » par laquelle la raison pratique pure, en commandant l’aspiration au souverain Bien, effectue le passage de l’Analytique vers la Dialectique. A. « la raison pure a toujours sa dialectique » 1. incipit La façon dont Kant justifie le passage de l’Analytique de la Critique de la raison pratique vers la Dialectique semble tenir dans la seule première phrase : « la raison pure a toujours sa dialectique, qu’on la considère dans son usage spéculatif

le texte montre le cas d’une enfance maltraitée ; la lecture d’une telle page provoque l’émotion et n’est pas sans écho dans le monde actuel. L’extrait proposé est le début de l’ouvrage, on pourra alors s’interroger sur l’effet produit par un tel incipit (voir notamment la question 13). On pourra par ailleurs rapprocher ce texte d’un autre extrait (Hector Bianciotti, page 198 du manuel) évoquant des scènes d’enfance malheureuses. 4. Entre les lignes 25 et 28, les verbes sont au présent (de l’indicatif)

Maupassant ou « l'écriture du vide » Aurore Loison - 2007/2008 182 comme une catastrophe, pourtant bien anodine contrairement aux véritables chagrins qu’elle connaîtra par la suite. En même temps, très vite, alors qu’on ne s’y attend pas, dans cet incipit, la pluie cesse et « un beau ciel pur d’un azur net et profond se développ[e] sur le monde ». Peut-être est-ce déjà là une annonce de l’excipit qui voit l’arrivée de la petite fille tirant Jeanne de sa torpeur et de son désespoir : une Jeanne, certes