Incipit Princesse De Cleves

Tableau ROMAN C’est quoi ? : Au départ : un texte plaisant écrit en roman. Maintenant, c’est une analyse psychologique des personnages. Le premier roman est « la princesse de Clèves »de Mme de Lafayette. Analyse ? -temps, valeur -focalisation : interne externe ou omniscient -lieu  Quesque ca représente -place de l’extrait : incipit/exipit engagement Attention : analyser le perso : Portrait ? Ne jamais faire : A) portrait 1) physique 2) morale Son Rôle ? -héro ? -antihéros ? -opposant ?

Umberto Castagnetti, 16H00Aurélien , Louis Aragon, 1944, incipit : La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. Elle lui déplut, enfin. Il n'aima pas comment elle était habillée. Une étoffe qu'il n'aurait pas choisie. Il avait des idées sur les étoffes. Une étoffe qu'il avait vue sur plusieurs femmes. Cela lui fit mal augurer de celle-ci qui portait un nom de princesse d'Orient sans avoir l'air de se considérer dans l'obligation d'avoir du

nos jours | Problématique retenue | En quoi Candide est-il le reflet des enjeux du combat philosophique des Lumières, et donc une forme de résistance à des valeurs établies? | Œuvre intégraleBibliolycée, Nathan | Candide, Voltaire | | 1. Incipit  2. La guerre3. L’utopie de l’Eldorado4. La philosophie du jardin | Documents complémentaires | Groupement de textes 1 : les intellectuels en question * La Fontaine, « Le philosophe Scythe », Fables * Voltaire, Micromégas * Paul Valéry, Monsieur

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

sensations mais fermé aux sentiments. En définitive, cet incipit est déroutant: il présente un personnage qui met le lecteur mal à l’aise: c’est un être immature, immoral, indifférent. l’absence de sentiment ds un moment si tragique le place en marge de la société, de la morale. C’est un personnage anti-héroïque, aux antipodes des héros traditionnels: il est très éloigné de la perfection et de la vertu de la princesse de Clèves, héroïne classique qui lors de la mort de sa mère adopte une

TD 15/10/14 Littérature Avant l’écriture de la Princesse de Clèves, Mme de la Fayette s’est essayée à différent genres littéraires dans la décennie qui est entre la Princesse de Montpensier* et Zaïde* (donc entre 1662 (la princesse de Montpensier) et 1671 (Zaïde*). 1678 : Princesse de Clèves. Elle a donc mis sept ans à rédiger la Princesse de Clèves. Elle a écrit durant la décennie un recueil de mémoire (histoire) et un roman héroïque. En revanche, si les ouvrages sont différents dans leur forme

effets de réel. . Autres ex possibles à développer Le Père Goriot de Balzac (roman réaliste) ou Germinal = roman naturaliste cf texte ds livre de technique ou photocopie distribuée. En outre le cadre décrit peut-être celui d’une époque. La Princesse de Clèves de Mme de LaFayette, roman classique, débute par l’évocation de la cour du roi Henri II. Donnez des ex précis tirés du texte du livre de technique. Il arrive également que le cadre décrit dépayse le lecteur et lui fasse découvrir un univers

| | | |LECTURE CURSIVE : | | | | |L’ingénu arrive avec un incipit traditionnel | | | | | | | |Satirique |et un ton satirique visant à critiquer la | |

fin, le jeu sur la focalisation contribue à créer lui aussi l'illusion du réel : Un incipit en focalisation externe incite le lecteur à se glisser dans la peau d'un spectateur indiscret pour assister à la scène. L'emploi de la focalisation interne permet par contre de mettre à jour la vérité du personnage ( Maupassant et Zola ). Parfois enfin, c'est l'emploi des temps qui permet d'impliquer le lecteur : célèbre incipit de L'Étranger, dans lequel Camus utilise de façon brutale le présent : « Aujourd'hui

I. Un incipit naturaliste 1. Un cadre spatio-temporel précis Le lieu : l’action se situe dans « le vaste Paris » (l. 4), et plus précisément « place Gaillon » (l. 6), « à l’encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin » (l. 15). Le temps : « huit heures sonnaient à Saint-Roch » (l. 17), « douce et pâle journée d’octobre » (l. 16-17). La date n’est pas précisée, mais on comprend que l’action se déroule au xixe siècle, puisqu’il est fait mention du train. 2. Présentation