Incipit Roman Bourgeois

que les tiennes; nous ne voulons point troquer ce que tu appelles notre ignorance contre tes inutiles lumières. 1. Comprends. 2. Comme d'un être sauvage ou d'une bête féroce. Montesquieu: «Lettre 24», Lettres Persanes (1721). Dans son roman, Montesquieu imagine deux habitants du royaume de Perse visitent Paris. Par lettres, ils font part de leurs observations à leurs amis demeurés en Perse. Le roi de France est le plus puissant prince de l'Europe1. Il n'a point de mines d'or comme le

1 – Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours CHAPITRE 1 – Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours Repères littéraires p. 42 (ES/S et Techno) p. 44 (L/ES/S) Les pages « Repères littéraires » retracent l’évolution qu’a subie la construction du personnage de roman au fil des transformations de la société et de la succession des mouvements littéraires. Chacun des textes qui apparaissent dans les séquences de ce chapitre peut être rattaché à une grande période

– L’espace démocratique du roman Jean DELABROY – Cœcum – Préalables à la philosophie de l’histoire dans Les Misérables Claude HABIB – « Autant en emporte le ventre ! » Yves GOHIN – Une histoire qui date Josette ACHER – L’anankè des lois Nicole SAVY – Cosette : un personnage qui n’existe pas Jacques SEEBACHER – Le tombeau de Gavroche ou Magnitudo parvuli France VERNIER – Les Misérables : un texte intraitable Anne UBERSFELD – Les Misérables, théâtre – roman Guy ROSA – Réalisme et irréalisme

de la classe : Littérature seconde/première (toutes séries), Hachette éducation. Séquence I Le portrait dans les romans du XVIIème au XXème siècle Problématique : Quel rôle le portrait joue-t-il dans la construction du personnage ? Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIème à nos jours. groupement de textes (lectures analytiques d’extraits) : 1. Paul Scarron, Le Roman comique (portrait de Mme Bouvillon) 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir (portrait de Mr de Rênal) 3. Gustave Flaubert,

urbaines. • Métaphores surréalistes. • Les expressions imagées. • Le détournement de sens. • Imaginer des répliques. • Un mot pour un autre. • Compléter les répliques. • Les incipit. • La nouvelle à chute. • Le titre imposé. • Décrire un lieu imaginaire. • Rédiger un plaidoyer. • Défendre la langue française. Atelier d’écriture : faire son autoportrait. Le grand écrivain

d’heures bien déterminé et dont le tableau qui précède les fiches mentionnera les détails. Chaque séquence didactique participe de façon implicite à mettre en œuvre l’évolution de l’histoire à travers les événements relatés dans les différentes phases du roman. A noter que, tous les objectifs cités pour chaque séquence vont dans le sens du décloisonnement et la cohérence au niveau de toutes les activités. A la fin, une évaluation sommative couronnera le travail effectué .Elle visera la vérification

portrait d'un séducteur, monopolisant la parole et les regards, et ils rapportent cette curieuse manie qu'il avait de chercher en permanence son image dans les miroirs, comme pour vérifier ce que les autres voyaient de lui. Dans La Mise à mort, le " roman " de 1965, Anthoine, qui est aussi Alfred et peut-être encore un autre, souffre d'avoir perdu l'image que ne lui rendent plus les miroirs. Il aime Fougère qui est aussi Ingeborg_ Inquiétant, insaisissable, déroutant, Aragon fait naître, chez qui le

d’étude intitule´ « Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde ». Les supports ne manquent pas – la profusion en la matie`re peut meˆme devenir facteur d’embarras. Or Bel-Ami, re´cit d’un se´ducteur ambitieux qui, graˆce a` son charme, re´ussit dans les milieux de la presse sous la IIIe Re´publique, se re´ve`le eˆtre un choix pe´dagogique judicieux. En effet, l’œuvre de Maupassant s’inscrit remarquablement dans la perspective du nouveau programme : le roman propose une histoire singulie`re

dans le roman et la poésie) Volonté d’inspirer au lecteur une forte émotion devant une situation inhumaine. • Tonalité tragique (très présente dans la tragédie classique) Champ lexical de l’affectivité, souvent violente, exagérations, exclamations, souffrances. Expression d’un enchaînement inéluctable conduisant à la mort. Fatalité de la vie, mort. • Tonalité comique (très fréquente au théâtre) • Tonalité épique (caractéristique de l’épopée que l’on peut aussi retrouver dans les romans) Incohérence

Sabot Maupassant a excellé dans le récit bref – conte ou nouvelle -, sa notoriété est en partie liée à sa capacité à créer des personnages normands, roublards, aux savoureuses expressions patoisantes (cf. Toine). Comme dans ses autres nouvelles ou romans, son regard, à la fois malicieux et curieux de tous les milieux, observe avec acuité le jeu social pour révéler la vérité des êtres. Cette nouvelle a été publiée dans le journal Gil Blas du 9 octobre 1883 sous le pseudonyme de Maufrigneuse (nom d’un