Inconvénients Du Pib

des politiques des États membres de l'Union européenne qui ont pour but de rapprocher leur économie. Avant que les pays n’intègrent l’UEM, lorsqu’ils mettaient en place seul une politique de relance budgétaire, ils devaient en subir seuls les inconvénients. De plus, leurs concurrents commerciaux n’en retiraient que des avantages comme les dépenses publiques de ces pays étaient destinées à relancer leur demande intérieure et qu’elles se traduisaient bien souvent par une hausse des exportations de

multipolaire, tandis que celle des pays exportateurs grandit du fait de la pénurie relative en matières premières. Depuis de nombreuses années, l’économie russe est déjà considérée comme « ouverte » (En 2005, le commerce extérieur représentait 56 % de son PIB.). Dans tous les secteurs d’industrie, les entreprises estrangères figurent aux premières places (auto, pharmacie, alimentaire, etc.) Les russes exportent peu en dehors des matières premières et importent beaucoup. On constate également que peu de

tous. Si c’est un excédent à la place du déficit, on a la demande supérieure à l’offre, puis il y a appréciation, une hausse et une baisse. 2) Les avantages de ce mécanisme - Autonomie des politiques économiques : Un pays peut connaitre sans inconvénient une forte inflation. Cela entraîne une dépréciation de sa monnaie sur le marché des changes, il y a une correction automatique des effets de l’inflation interne. Si a l’intérieur du pays tous les prix et les couts augmentent par exemple de 10%

Cours terminale THEME : Intégration et solidarité L'Etat-providence I. APPARITION DE L'ETAT PROVIDENCE 1) La loi de Wagner DOCUMENT 1 : Evolution des dépenses publiques en France (en % du PIB) Dépenses de l'Etat et des collectivités locales 1872 1909 1920 1930 1938 1947 1971 1987 1999 11,0 15,0 32,8 21,9 26,5 40,9 49,8 51,7 53,9 dont Sécurité sociale 0 0 0 0,2 0,9 8,1 14,4 22,5 24,0 Source : R. Delorme, C. André, L'Etat et l'économie. Un essai d'explication de l'évolution des dépenses

1992); att ! fixés avant crise : - déficit budg < 3% PIB - dette brute APU < 60% - infl° : ne pas dépasser de + de 1,5 points le taux moyen des 3 pays les + performants - i LT : ne pas dépasser de + de 2 points le taux moyen des 3 pays les + performants - taux de change : pas de sortie de la bande de fluctuation pendant 2 ans (flou artistique sur les 2,25% ou 15%) ; NB: résorption déficit de toute façon nécessaire car inconvénients dette (cf. chapitre sur politiques économiques). c

jeunes évidente et en amont on a identifié le problème du chômage des seniors qui sont de durée longue et très peu de capacité de réemploie. Tableau 21 : dépenses pour les politiques de l’emploi Les dépenses de politique d’emploi représentaient 2% du PIB en 2008. Et parmi c’est 2%, la grande partie des dépenses de l’emploi est les soutiens, le maintien et soutien du revenu en cas de perte d’emploi c’est-à-dire les allocations chômages (dépenses passives). Les dépenses actives ne représentent que la

suivante :Quelle est l’avenir de la délocalisation des entreprises au Maroc. Nous nous organiserons de la manière suivante : dans une première partie nous expliquerons le processus de délocalisation à travers les facteurs, les avantages et les inconvenients,ainsi que les limites de cette délocalisation. Ensuite, dans une seconde partie nous étudierons les moyens incitatifs dont le Maroc doit mobiliser pour une attractivité optimale des Investissements directs à l’étranger (IDE).

n’est pas seulement un ensemble de statistiques macroéconomiques appelés également « agrégats » parce qu’ils agrègent (c.a.d. regroupent) plusieurs produits ou plusieurs opérations économiques - le plus célèbre des agrégats macroéconomiques étant le PIB. Elle est le langage de la macroéconomie et fournit une représentation quantifiée du fonctionnement de l'économie nationale. I : La comptabilité nationale actuelle et son histoire L'enseignement présentera le système actuel de comptabilité nationale

par voie postale), qui établit une relation « directe » (personnelle) avec les clients. Le montant total des investissements publicitaires (médias) dans le monde est voisin de 400 milliards de dollars, ce qui représente tout de même près de 1% du PIB mondial. En France, le total des investissements publicitaires est estimé à un montant voisin de 30 milliards d’euros, dont l0 milliards pour les médias et 20 milliards pour le hors médias. Dans les années 1970-1980, on voit la part hors média auparavant

infime (moins de 1%) de la population française. De plus, le taux de natalité est plus important (13,3 en Martinique contre 12.5 en France), et la population est plus jeune (30,5% de la pop. de moins de 20 ans, contre 24.6% en France). Un des inconvénients majeurs de ce DOM est la distance qui le sépare de la métropole. Il y a en effet 7000 km de trajet qu’il est maintenant possible de combler rapidement par les voies aérienne et maritime, mais qui présente tout de même un handicap économique puisqu’il