Indiana Jones et le Temple du Péril

de Césaire ne font pas montre d’une attitude édifiante à l’égard de la mort. Au point de vue de celle-ci, la supériorité de l’homme sur l’animal est loin d’être totalement établie ; bien au contraire, tous deux sont effarouchés à l’annonce d’un péril ; pétrifiés, l’un et l’autre se meurent dans le désarroi le plus total. L’imminence du trépas rapproche l’homme de l’animal. Quelque discutable que soit cette thèse, il reste qu’elle est corroborée par l’attitude de maints personnages de Soyinka

alors que les structures de 10 à 199 salariés vont bénéficier d’un taux mixte comprenant en proportion le taux de l’activité et celui résultant des calculs du compte employeur. Même si l’on comprend le souci de la sécurité sociale de ne pas mettre en péril la survie d’une entreprise dans le cas d’accident mortel d’un salarié, l’absence de lien direct entre l’effort de prévention et les bénéfices en matière de cotisation pour les entreprises les plus petites, n’incite pas les dirigeants à investir dans

insister maintenant sur ma théorie selon laquelle l’intelligence est une des premières divinités auxquelles nous devons au plus vite élever de nouveaux temples ? Dois-je m’étendre sur les dangers que présente cette même intelligence, lorsqu’elle ignore les p.135 réalités et qu’elle devient insuffisante, ou qu’elle dégénère et fait que, dans les temples où l’on ne devrait se vouer qu’à son culte, on réalise des simulacres ; et ce qui ne devait être qu’esprit n’est plus qu’un signe pétrifié ; ce qui