Indulgents

conscience. Je croirai que tout le monde me regarde alors que je serai seul témoin de mes actes. Je n’aurai d’autre but en mangeant et en buvant que d’apaiser mes besoins naturels, non de me remplir le ventre et de le vider. Agréable à mes amis, doux et indulgent envers mes ennemis, je me laisserai fléchir avant d’être prié et j’irai au-devant des requêtes honorables. Je saurai que ma patrie est l’univers et que les dieux y président, qu’ils se tiennent au-dessus et autour de moi comme censeurs de mes faits

sociales de l'époque. Monsieur Orgon, vieux gentilhomme et père de Silvia, il représente le modèle parfait de la petite noblesse. Il possède une maison et a assez d'influence et de privilèges pour choisir à sa fille un mari digne d’elle. Il est indulgent avec Silvia: "Dans ce monde, il faut être un peu trop bon pour l'être assez" (Acte I, scène 2). Mario, fils de Monsieur Orgon et frère de Silvia, il possède une certaine élégance sociale. Mario prévoit la fin du jeu de l'amour et du hasard quand

ans, il vint s'établir avec sa mère, séparée à cette époque du général, à Paris, dans le quartier, presque désert alors, du Val-de-Grâce. C'est là qu'il grandit dans une liberté d'esprit et de lectures absolue, sous les yeux d'une mère extrêmement indulgente et assez insoucieuse à l'endroit de l'éducation. Il s'éleva tout seul, lut beaucoup, au hasard, s'éprit, dès quinze ans, à la fois de vers et de mathématiques, se préparant à l'École polytechnique et concourant aux Jeux floraux. Plusieurs de

sein du groupe. On voit bien l’allusion du dramaturge au contrôle quasi policier exercé par le parti dévot qui s’en était pris aux mœurs mêmes du jeune roi Louis XIV ! L'austérité morale est ici incarnée par une vieille femme belliqueuse, très peu indulgente et encore moins aimante à l'égard de ses petits enfants !

jugements. L’acte serait jugé plusieurs fois :jugement personnel , jugement de société et jugement divin. Nietzsche pense que la société « dresse » les individus. Ns sommes plus critiques vis à vis des autres que vis à vis de ns mm. Ns sommes plus indulgents envers ceux qui ns ressemblent. Kant pense que ns sommes des êtres de csc et que cet « entendement » (faculté de penser) ns permet de générer une morale : Impératif catégorique, : « N’agit de tel sorte que tu considéres ton action comme une loi

cacher », « je veux me fâcher », « vous devriez mourir de honte, tout homme d'honneur s'en doit scandaliser... » - Alceste est un personnage très exigeant et possessif dans ses relations : il refuse les concessions, il n'est pas compréhensif ni indulgent avec ses amis. Si le comportement d'un ami le déçoit, il ne pardonne pas : « Moi, votre ami ? Rayez cela de vos papiers... Après ce que je viens de voir paraître... je ne le suis plus , Et ne veux nulle place en des cœurs corrompus ». « Une telle

entretient une liaison avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie, ils vinrent s’installer à Paris, dans le quartier du Val-de-Grâce. C'est là qu'il grandit dans une liberté d'esprit et de lectures absolue, sous les yeux d'une mère extrêmement indulgente. Il s'éleva tout seul, lut beaucoup, tombe amoureux, dès quinze ans, à la fois de vers et de mathématiques, se préparant à l'École polytechnique et concourant aux Jeux floraux. Couronné deux fois par cette société littéraire, nommé par elle maître

parfait L'homme, contrairement aux autres êtres vivants, évolue, et donne l’impression que cette évolution augmente de mieux en mieux comme le démontre Alphonse Allais en rétorquant : « L'homme est plein d'imperfections mais on ne peut que se montrer indulgent si l'on songe à l'époque où il fut créé » car l’homme était donc moins parfait avant et l’on sous-entend une évolution chez lui. Or, cette perfectibilité constitue-t-elle un "progrès » dans tous les sens du terme, ou serait-elle signe de déchéance

monte avec l’indignation, le dernier dialogue de Marceline s’adoucit. Exclamations et apostrophes aux hommes font place aux déclaratives et impératives. Le vocabulaire fort est remplacé par un vocabulaire plus doux " tendres ", " chérirons ", " indulgent ", " libre ". Une fois qu’elle a convaincu, Marceline propose une solution pour le bonheur " il ne manquera rien à ta pauvre mère ". II. Les procédés de l’argumentation. 1. Opposition homme/ femme. vocabulaire péjoratif pour

rigoureuse. Les parents de Jeanne : Le baron et la baronne Le Perthuis des Vauds mènent une vie sans histoire. Aisés, ils sont bons vivants et fiers de leur enfant. L'Eglise : Représentée par les deux abbés du village : l'abbé Picot (bonhome, indulgent) et l'abbé Tolbiac (rigoriste). Tante Lison : Elle est la soeur de la baronne. Comte et Comtesse de Fourville : amis de Jeanne et de son mari. L'Histoire C'est en 1819, que Jeanne quitte le couvent de Rouen : elle a 17 ans. Elle regagne