Inflation Désinflation

consommation passe de 5.5 % avant le choc du Kippour ) d'amples fluctuations comprises entre 8 % et 14 %. L'émission croissante de liquidités par le FMI sous forme de DTS (Droit de tirage spéciaux ) et d'eurodollars par les Etats Unis alimentent une inflation que les Etats tolèrent pour éponger les divers déficits ( budget, sécurité sociale, commerce extérieur.. ). Parallèlement, sont réalisées des économies d'énergie et une reconversion vers le nucléaire ( puissance installée et multipliée par 9 en

puissance économique. En 1975, Jacques Chirac lance un plan de relance représentant 2.8 points du PIB. Ce fût un succès mitigé : croissance de +4.4% en 1976, et forte inflation (+11%) et un gros déficit du commerce extérieur. En 1983, c’est un tournant de la rigueur et une adoption d’une politique économique dite de désinflation compétitive. Cette politique aboutira vers 1986-1987. A partir de la loi bancaire en 1984 : libéralisation du secteur financier et de 1985 à 1989, la fin du contrôle des

THÈME 1 : CROISSANCE, FLUCTUATIONS ET CRISES CHAPITRE 2 : COMMENT EXPLIQUER L’INSTABILITÉ DE LA CROISSANCE ? Programme : Notions - Fluctuations économiques, - Crise économique, - Désinflation, - Dépression, - Déflation Indications complémentaires L’observation des fluctuations économiques permettra de mettre l’accent sur la variabilité de la croissance et sur l’existence de périodes de crise. On présentera les idées directrices des principaux schémas explicatifs des fluctuations

et/ou le contrôle du taux de change. Nouer des relations entre les deux termes. * Possibilité de compenser compétitivité-prix défaillante par dépréciation de la monnaie → monnaies européennes faibles dans les 1960s (lire, franc). POM laxiste, inflation, tx d’intérêts réels faibles. Peut causer un affaiblissement de la base industrielle, une spéc° dans production à faible VA, mauvaise réputation de la monnaie. Pdts nationaux sont alors compétitifs (éventuellement dumping monétaire) . Absence

pluridimensionnel car est tt à la fois ou selon les moments : *structurel (démographie, social, technologique). *frictionnel ou d’incohérence plus qu’ailleurs :> offre d’emplois non pourvues. *conjoncturel : Demande étrangère ralentie ds 80’s ; désinflation >austérité. *classique : renchérissement des couts salariaux qui découragent l’embauche. Le cout du travail ne se réduit pas assez vite, malgré la montée du chômage > substitution capital-travail plus forte qu’ailleurs. + rigueur de gestion

analysera les mécanismes cumulatifs susceptibles d’engendrer déflation et dépression économique et leurs conséquences sur le chômage de masse. Acquis de première : inflation, politique monétaire, politique budgétaire, politique conjoncturelle, chômage, demande globale NOTIONS : Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression, déflation. Savoirs de référence sur la question Les fluctuations économiques La croissance effective est instable : à des périodes

quand il y a une défiance on assiste à une « fuite devant la monnaie » B : la stabilité de la monnaie Stabilité  Interne : l’inflation, une bonne monnaie est une monnaie qui ne connait presque pas d’inflation. Inflation : Augmentation et générale et permanente des prix. Déflation : Désinflation : Externe Taux de change : notre monnaie nationale soit stable vis-à-vis des autres monnaies III : la quantité de monnaie dans l’échange A : la mesure de la masse monétaire C’est la quantité totale de

 Courbe de Phillips Tentative de mise en évidence de la relation chômage - inflation en France et en République Tchèque A l'heure où la France et la République Tchèque font faces à des hausses importantes de leur taux de chômage et où la population de ce dernier est de plus en plus retissante à l'entrée du pays dans la zone euro, il est intéressant de questionner sur la relation entre chômage et inflation. Rappelons que la courbe de Phillips est une relation inverse entre le taux

Etats-Unis, le Japon est épargné. Troisième chose on assiste à une stagflation (inflation ralentissement économique et chômage). C'est à dire que l'on ne peut plus arbitré entre inflation et chômage puisqu'ils varient ensemble. Autrefois la pratique du déficit publique et d'une politique monétaire expansionniste, donnait une inflation rampante environs 5%, mais cette politique garantissait le pleine emplois, donc cette inflation était accepter. La stagflation des année 70 montre la fin de cette période

d'autres selon les circonstance économiques. Sa structure a également évoluée modifiant les modes de vie des ménages. 1983: Tournant de la rigueur et adoption d'une politique économique dite de désinflation compétitive. Cette politique qui aboutira vers 1986-87 à la fin de la forte inflation qu'à connu la France à partir de la crise de 1973 À partir de 2002, généralisation de la réduction de la durée légale du travail à 35 heures, une expérience unique notamment parmi les pays de l'OCDE[25]