Inflation Désinflation

groupe des pays pauvres très endettés 166 Tableau F. Principaux documents relatifs aux données 168 178 Encadré A1. Hypothèses de politique économique retenues pour les projections Liste des tableaux 183 Production mondiale (Tableaux A1–A4) 184 Inflation (Tableaux A5–A7) 191 Politiques financières (Tableau A8) 196 Commerce extérieur (Tableau A9) 197 Transactions courantes (Tableaux A10–A12) 199 Balance des paiements et financement extérieur (Tableaux A13–A14) 205 Flux de ressources

Représentation général du problème : Institutions (Ex : banque centrale indépendante, syndicat, indexation des salaires) Instrument (ex : taux d’intérêt) ---------------------------------------------------------( Objectif (ex : faible inflation) Objectif : plein emploi, croissance, équilibre du budget et de la balance Objectif politique suivant le traité de Lisbonne : le développement durable de l’Europe est fondé sur une croissance économique équilibrée et sur la stabilité des prix

croissance ? > CHAPITRE 2 C CHAPITRE 1HAPITRE HAPITRE 2 © Hatier 2012 PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité globale des facteurs, facteur travail, facteur capital. Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression, déflation En s’appuyant sur le programme de première, on s’interrogera sur l’intérêt et les limites du PIB comme mesure de l’activité économique. On montrera que le PIB ne reflète pas l’évolution du niveau

  la   lutte   contre  l’inflation  peut-­‐elle  avoir  des  répercussions  négatives  ?     I. L’inflation  a  des  conséquences  négatives  qui  justifient  les  politiques  de  désinflation   L’inflation  peut  résulter  d’un  choc  extérieur   Exemple  du  choc  pétrolier  de  1974  (documents  1  et  2)   Conséquences   négatives   sur   le   taux   de   croissance

Cette crise est profondément différente des autres. Si elle révèle aussi des équilibres antérieurs, son déclanchement (le choc pétrolier en 1973) et ses manifestations (la stagflation, c'est-à-dire la coexistence d’une croissance faible et d’une inflation forte, supérieur à 10%) sont différent. De plus, la croissance n’est pratiquement jamais négative (seulement en 1975 si l’on prend l’exemple de la France) et les revenus continuent à progresser, contrairement aux grandes crises précédentes. Certains

susceptibles d’engendrer déflation et dépression économique et leurs conséquences sur le chômage de masse. Acquis de première : inflation, politique monétaire, politique budgétaire, politique conjoncturelle, chômage, demande globale. 1.2 Comment expliquer l’instabilité de la croissance ? > CHAPITRE 2 C CHAPITRE 1HAPITRE HAPITRE 2 Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression, déflation © Hatier 2012 4 2. MONDIALISATION, FINANCE INTERNATIONALE ET

(1973-1979). XXV. Évolution des principaux indicateurs de salaires (1970-1979). XXVI. Évolution du pouvoir d'achat du salaire mensuel net pour différentes catégories (1951-1980). XXVII. Durée hebdomadaire du travail (1959-1980). XXVIII. Croissance et inflation dans les principaux pays capitalistes (1960-1978). XXIX. Pourcentage des salariés sur emplois précaires (1977 et 1980). TABLE DES SCHÉMAS Retour à la table des matières I. Croissance économique et progrès social d'après le P.C. en 1971

d’exemple, la dépréciation du peso argentin vis-à-vis du dollar a dépassé 70 % entre fin 2001 et mi-2002. La baisse de la drachme permettrait certes d’améliorer la compétitivité des entreprises grecques mais elle provoquerait en même temps une forte inflation, atténuant de fait le gain de compétitivité, surtout si les importations grecques sont faiblement substituables. La dévaluation alourdirait alors considérablement le fardeau de la dette publique mais également celui des dettes privées qui seraient

risques inflationnistes, mais ils apparaissent sous contrôle en raison de la crédibilité acquise par les banques centrales. 1.2. Une baisse globale de l’inflation et de sa volatilité Cette forte liquidité mondiale ne se traduit pas en inflation sur les biens et services, au contraire même. La figure 1.2 montre à quel point l’inflation mondiale n’a cessé de baisser, passant d’un niveau moyen de 12 % à moins de 5 % depuis près de dix ans. En même temps, sa volatilité s’est effondrée. Il en

complique beaucoup la tâche. Il en est ainsi en particulier de la Hongrie et des pays baltes. La crise conduit aussi la Suède et le Danemark à remettre en cause leur position par rapport à l’euro. Quant à l’Islande, touchée par un fort chômage et une inflation galopante, et dont la monnaie a perdu en un an 40% de sa valeur par rapport à l’euro, elle songe de plus en plus à une adhésion à l’UE. Le 1er janvier 2011, l’Estonie devient le 17ème membre de la zone euro. Et la Bulgarie, la Lituanie, la Lettonie