Inflation Législative

Cas d’entreprise PSA ou comment adopter une démarche stratégique adaptée. I. Analyse de la situation de l’entreprise. Question 1. Les opportunités qui influencent la stratégie de PSA sont : - Avantage obtenus par l’Etat pour les constructeurs automobiles français (prime à la casse, bonus, malus…) - PAS a poursuivi sa croissance en Amérique latine (hausse de 5,5%) et 67% des ventes ont augmenté en Russie (67%) - Fusion de Citroën et Peugeot - Proposition de véhicule

pays ayant adopter un régime de change fixe. Hypothèses: les prix nominaux répondent à une dynamique monétariste (= le taux d’inflation est fonction du taux de croissance de la masse monétaire => théorie quantitative de la monnaie) une inflation plus forte va provoquer une perte de compétitivité internationale. On met l’accent sur la seule compétitivité prix, on évacue du modèle toutes les autres compétitivités. Conséquence: si l’inflation n’est plus contrôlée par la banque centrale

les banques ne peuvent offrir des crédits qu’à la hauteur d’un certain montant. Le mode de financement qui est proposé par les banques commerciales est largement inflationniste puisqu’il y a alors dans l’économie française, inflation par création monétaire mais aussi inflation par les coûts puisque les entreprises qui font face à des taux d’intérêts élevés lorsqu’elles font appel aux crédits bancaires répercutent ce coût de l’emprunt sur leur prix de vente. C’est donc pour se défaire de cet environnement

45% 1930 Fr. * * Situation monétaire : planche à billets, gfmt monnaie fiduciaire (X5 Fr). taux de couv baisse. All monnaie s’écroule 23, perte conf face au $ (stock or). Volonté défausser monnaie ? inflation. * * Situation aggravée All : « malheurs aux vaincus » Poincaré (Keynes prévient) : pr régler réparations, All P, exporte et doit attirer capitaux hausse TI seuls EU sans plus. Rép Weimar perd crédit

content) # distribution du dividende ( actionnaires contents) - Ce qui compte c’est l’efficacité immédiate : l’entreprise n’est plus une grande famille 4 – INFLATION - Inflation : Déséquilibre économique et social qui se traduit par une hausse durable du niveau général des prix - Stagflation : stagnation économique + inflation - Dans les années 70 : les salaires progressent, hausse des prix, hausse des salaires…= auto-entretien … hausse du prix du pétrole = Choc pétrolier éclatement

Chapitre 1 : état de l’économie 1.1.Cadre générale2 1 http://www.lamarocaine.com 3 L’économie est dominée encore par le secteur agricole qui n’est pas compétitif et qui est fortement dépendent du climat. En 20043 le PIB augmente à 5.3% ;l’ inflation est réduite à 1,2%, le déficit public est autour de 3%, la monnaie est stable et le frais privée s’est accrue du 4%4 . PIB 15 10 % 5 6,5 3 5,5 5,30 PIB 0 2001 2002 2003 2004 anni 1.2.Importation et exportation5 : En 2003 les exportations

d'inflation. Admettons que je prête 100.- à un taux de 7%, avec une inflation de 5%. Après une année, je recevrai 107.-. Mais, à cause de l'inflation, mon pouvoir d'achat aura diminué de 5%. C'est-à-dire, qu'en termes réels, avec 107.- je ne pourrai obtenir que 2% de biens supplémentaires qu'avec 100.- l'année précédente. Le taux d'intérêt réel est donc de 2%. Pour une même somme de 100.-, un taux d'intérêt de 5% et une inflation de 2%, je recevrai 105.- à la fin de l'année. Ceci représentera une

Keynésianisme. Là-bas, pour reprendre une expression du nouvel économiste tendance du moment (Paul Krugman), on n'est pas « angoissé du déficit » et on n'a pas peur d'enchaîner les plans de relance. On y imprime des $ zimbabweens par milliards, avec une inflation qui se compte en millions ou milliards de %. Le résultat ne semble pas vraiment brillant. C'est bien entendu un exemple extrême, et il n'est pas dans mon intention d'assimiler l'Europe ou les USA au Zimbabwe. Mais inverser les valeurs et la chronologie

MDT contre 358 MDT en 2008. La Tunisie a émergé de la récession économique mondiale et de la crise financière relativement indemne. Les performances macroéconomiques de ces dernières années ont été caractérisées par une croissance solide, une inflation faible, et un compte budgétaire sain. La dette extérieure a été maintenue à des niveaux gérables. Le PIB réel a augmenté de 3,1% en 2009 et on prévoit une croissance légèrement supérieure à 4% pour 2010-11. La reprise graduelle dans la zone euro

l'émergence d'un climat de confiance. En décembre 2006, un représentant de la Banque de France écrivait : "Les marchés financiers se calent aujourd’hui sur un "scénario parfait" d’atterrissage en douceur de l’économie américaine et mondiale, avec : une inflation stable et maîtrisée ; une croissance ralentie mais soutenue, proche du potentiel (…), puis une réduction (aux États-Unis) des taux d’intérêt à court terme ; l’ensemble permettant une croissance régulière des profits". ⇒ Réduction marquée des primes