Ingérence Humanitaire

de non intervention et le principe de non ingérence. Aujourd’hui ils ont tendance à se confondre. Ils expriment une même obligation : ne pas intervenir dans les affaires d’un autre Etat. Mais dans des hypothèses différentes : - Non intervention : par la force. Il suppose l’utilisation ou la menace de l’utilisation de la force. - Non ingérence : sans utiliser la force (influence politique, économique, etc.) La frontière entre intervention et ingérence est parfois difficile à marquer. A quel

leurs savoirs-faire, mais propose aussi de financer le barrage qui fournira l’électricité ou de construire la route qui mènera au champs .Et de s'appuyer sur la solidarité Sud /Sud. De plus contrairement à la France La Chine à une stratégie de non-ingérence dans les conflits politiques que peuvent rencontrer ses partenaires africains. Dernier point la Chine à des ressources financières pour ses projets en Afrique hautement supérieur,création d'un fond pour l'Afrique de 5 milliards de dollars et annulation

fondées sur le respect du principe de l'égalité des droits des peuples et de leur droit à disposer d'eux-mêmes. • Réaliser la coopération internationale en résolvant pacifiquement les problèmes internationaux d'ordres économique, social, culturel et humanitaire. • Promouvoir le respect des droits de l'homme, les valeurs de la démocratie et les libertés fondamentales. • Constituer un centre où s'harmonisent les efforts des nations vers des finalités communes. PRINCIPES : (Article 2) L'organisation

La population : citoyenneté et nationalité B- Le territoire : inviolabilité ou intangibilité de la frontière C- L’organisation interne : droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et non-ingérence II. Les prérogatives internationales de l’Etat A- Egalité juridique et égalité de fait : indépendance et souveraineté B- Réciprocité et équitéSection 2 : Le monde westphalien

CEDH. ? Un citoyen d'un pays membre peut saisir la CEDH . C-L'affirmation en matière de droit international humanitaire et pénal Il existe un droit particulier qui s'applique aux états et aux individus en période de guerre : droit né en 1950-1960, notamment créé par Henri Dunant ( homme d'affaire suisse , créateur de la croix rouge) c'est le droit international humanitaire et pénal . Le comité de secours des militaires blessés est crée en 1864 lors d'une conférence à Genève qui deviendra

souveraineté, corollaire du principe de non-ingérence, autorise toutefois d'y apporter des limitations, mais en définit strictement les conditions. Les sanctions décidées à l'encontre d'un État qui mettrait en péril la paix internationale ne peuvent être que multilatérales. Elles sont le plus souvent d'ordre économique (blocus...). Le droit d'ingérence (et non pas le devoir d'ingérence, malgré les propositions des doctrines favorables à une intervention humanitaire), est encore plus strictement encadré

L'OUA (Organisation de l'unité africaine) L'OUA a ete créée le 25 mai 1963 à Addis Abeba en Ethiopie. La Charte de l'OUA affirme l'égalité souveraine de tous les États membres, le principe de la non-ingérence, le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de chaque État, ainsi que le règlement pacifique des différends. Pour ce faire, l'article 7 de la Charte dote l'organisation d'un cadre de résolution de conflits exclusivement africain, la Commission de médiation, de conciliation

attaques armées. Ensuite dans le domaine militaire, puisqu'ils se disent prêts à s'opposer à des pratiques telles que le terrorisme, la dictature, et toute forme de privation. Dans le domaine humanitaire également, ils s'engagent à défendre les libertés et les droits de l'Homme, à pratiquer l'ingérence humanitaire en cas de besoin, afin d'affirmer leur puissance et afin de laisser leur empreinte : « rester l'unique superpuissance ». Dans le domaine économique aussi, ils se démarquent, en voulant développer

certaines sont avant tout des groupes de plaidoyer, comme RENAF ou Human Rights Watch. Parmi celles-ci, un groupe non négligeable d’ONG n’a pas de but humanitaire mais des ambitions idéologiques ou commerciales. On y trouve des lobbys de toute nature, en particulier des lobbys économiques et patronaux. • d’autres, souvent dénommées ONG humanitaires, mettent en place des programmes d’aides, éducatives ou caritatives par exemple. Les ONG de ce dernier type se regroupent parfois en collectifs, en plateformes

la violence armée ? Et les Etats doivent-il y recourir pour prévenir le crime de génocide comme le stipule la Convention de 1948 ? - Jus In Bello : D dans la guerre. Droit humanitaire international qui protège les personnes (les civils et les combattants) et les biens (patrimoine et ressources naturelles) - Le droit humanitaire international, conventionnel et coutumier s’applique que le conflit armé soit licite ou non en DIP. - Il y a une autonomie entre le Jus Contra Bellum et le Jus In Bello