Inlandsis

[pic]D'après Une histoire du climat. M. Magny   1.b Document de référence La concentration de la neige en oxygène 18 varie de façon linéaire avec la température. En mesurant la composition isotopique des couches de glace d’une carotte prélevée dans un inlandsis, il est donc possible de déterminer la température qui régnait lors du dépôt de la neige à l’origine de la glace. [pic]   Document 2 : 2.a Diagramme pollinique de sédiments de remplissage des grottes Jean-Pierre 1 et 2 de Saint Thibaud de Couz

Les ¾ de la surface terrestre sont de l’eau. C’est pourquoi on parle de planète bleue. Cependant, 97,5% de cette eau est salée et seulement 2% de l’eau est propre à la consommation humaine. Concernant l’eau douce, 70% est piégée dans les glaces (inlandsis et banquises) des zones polaires, 30% de ses réserves sont situées dans des nappes très profondes et seuls, 0,7% du stock d’eau douce est dans les cours d’eau, les lacs ou les nappes phréatiques. Cela représente 40 000 km³ d’eau soit 6 000 m³ par

soit la zone polaire de l'hémisphère Nord est axée sur l'océan Arctique et les bordures continentales. « Les mondes arctiques » regroupent la diversité de cet espace divisé entre l'océan, la banquise ( mer de glace), les terres non-englacées et les inlandsis( calottes de glace non-continentales). Les états riverains du monde Arctique sont les États-Unis, le Canada; le Danemark avec le Groenland, la Norvège et la Russie. L'Islande plus au sud ainsi que la Suède et la Finlande n'ont pas de rivages avec

surexploitation des ressources hydriques et leurs conséquences L’eau est naturellement une ressource abondante. Sur la totalité de l’hydrosphère planétaire, l’eau douce représente 2,5 %. L’essentiel de cette eau douce se trouve gelé dans les deux inlandsis géants du Groenland et de l’Antarctique, et dans les glaciers des grandes chaînes montagneuses planétaires. Il reste 0,7 % d’eau douce accessible en surface (cours d’eau, lacs, nappes souterraines) ; largement de quoi couvrir les besoins des sociétés

Débit : Volume d'eau écoulé en une seconde à un endroit donné d'un fleuve. Il  s'exprime en m3/seconde.  Effet de serre : Réchauffement des températures moyennes lié à la retenue des gaz par  l'atmosphère, dont ceux émis par les activités humaines.  Inlandsis : Glaciers couvrant les terres polaires  Delta : Embouchure d'un fleuve où les alluvions se déposent, dirigeant l'eau à se diviser  en plusieurs bras  Estuaire : Embouchure d'un fleuve, de forme évasée, où se fait sentir les marées  Pénurie : Moins de 1000m3/habitantan 

vieillissement et le manque d’entretien des sous-marins nucléaires.. Néanmoins, le problème environnemental majeur est le réchauffement climatique en cours qui fait disparaître la banquise d’été sur les littoraux de l’OGA , provoque la diminution des inlandsis du Groenland mais aussi de Sibérie et du grand nord canadien et menace aujourd’hui la banquise permanente formant le cœur géographique de l’OGA. Espace devenu de plus en plus accessible du fait du réchauffement climatique en cours, doté de ressources

il est de 3,6 ‰). Et pourtant, l’eau est naturellement une ressource abondante. Sur la totalité de l’hydrosphère planétaire, l’eau de mer salée représente 97,5 % et l’eau douce 2,5 %. L’essentiel de cette eau douce se trouve gelé dans les deux inlandsis géants du Groenland et de l’Antarctique, et dans les glaciers des grandes chaînes montagneuses planétaires. Il reste 0,7 % d’eau douce accessible en surface (cours d’eau, lacs, nappes souterraines). Cela représente 40 000 km3 disponibles par an,

Glaciers[modifier] Le glacier Illecillewaet Le parc possède environ 400 glaciers qui couvrent environ 10 % du territoire. La région entière fut recouverte par un inlandsis de plusieurs milliers de mètres lors de la glaciation du Wisconsin, qui a sculpté le paysage en y laissant plusieurs vallées en « U ». La fonte de cet inlandsis débuta il y a 10 000 à 15 000 ans, libérant de leur gangue de glace quelques nunataks tels que le mont Sir Donald, et abandonnant d'importants dépôts glaciaires dans

Immobilisant des quantités d’eau phénoménales, ces inlandsis pouvaient faire baisser le niveau des océans d’une centaine de mètres ; avec leur fonte, ce niveau remontait d'autant. Au gré de ces mouvements, la mer Noire est passée à plusieurs reprises de l’état de lac à celui de mer comme en témoignent les sédiments alternativement lacustres ou marins recueillis par carottages au fond de cette mer. Au dernier maximum glaciaire, il y a 20 000 ans, un inlandsis de plusieurs milliers de mètres d’épaisseur

belin p.326, 327 + 328,329A la fin du Paléozoïque, on observe un refroidissement global du climat. Dès le milieu du carbonifère (323 Ma), toutes les masses continentales fusionnent en un supercontinent, la Pangée et au Permien (299-252 Ma), des inlandsis recouvrent des latitudes plus basses qu’actuellement. On retrouve des traces de ces phases glaciaires sur de nombreux continents aujourd’hui dispersés et qui à l’époque, constituaient la pointe sud de la Pangée. Dans les régions situées au niveau