Insulte

Epinay-sous-Sénart (Essonne), ont été agressées physiquement par quatre jeunes. Cette agression faisait suite à des insultes et menaces répétées depuis leur arrivée dans cette cité : on voulait faire partir "ces gouines" parce que "l'homosexualité, c'est péché". La lesbophobie au quotidien contre Cynthia et Priscilla a débuté dès le jour de leur emménagement à la cité des Gerbaux: insultes, remarques méprisantes, tags "Les gouines" sur leur immeuble... Le 2 juillet, l'agression dont elles ont été victimes

engendre la descrimination. Au quotidien l'homophobie est partout présente. L'homophobie au travail concerne par exemple 30% des appels reçus par l'association SOS HOMOPHOBIE. Les insultes en représentent 40%. Toutes les catégories, secteurs et régions d'activités sont concernés. Parfois les actes violents remplacent les insultes. En effet, d'après un sondage effectué auprès des lecteurs du magazine gay « TETU » un sur cinq a déjà été victime d'une discrimination homophobe, d'où un chiffre significatif

« conversations » placé assez rapidement et mis en italique, est tout de suite déprécié, comme étant la source d’un mauvais jugement : « qu’on appelait … ». On peut d’autre part relever une longue énumération sous la forme de 5 compléments au verbe « insulter à » : « il n’insultât jamais par des railleries à ces propos si vagues, si rompus, si tumultueux, à ces médisances téméraires, à ces décisions ignorantes, à ces turlupinades grossières, à ce vain bruit de paroles ». Il y a notamment le champ lexical

joues, il dit : Schwarz m’a attaqué. Pompetzki me regarda. - Pourquoi avez-vous attaqué Bollacher ? - Parce qu’il m’a insulté, dis-je, tremblant de tension et de rage. - Il vous a insulté ? Que vous a-t-il dit ? demanda Pompetzki avec douceur. - Il m’a dit de retourner en Palestine, répondis-je. - Oh je vois, dit Pompetzki avec un sourire, mais ce n’est pas une insulte, mon cher Schwarz ! C’est plutôt un conseil amical. Asseyez-vous tous les deux. Si vous voulez vous battre, battez-vous dehors

car au profit de la survie de son armée mais il ne veut pas être le seul à payer pour stopper la colère d’Apollon mais tout à coup Achille se lève déchaîné et insulte Agamemnon de roi orgueilleux et cupide, il lui propose de rendre la fille du prêtre et que en échange si il prennent Troie il lui donnera le triple voir le quadruple des richesses dont il a besoins mais Agamemnon est pas satisfait il veut que les

tout discours, il s'est défini comme un artiste qui « peint pour quitter la peinture », sinon pour anéantir l'art lui-même. En 1951 à Vienne, lors du vernissage d'une exposition de ses œuvres, il a insulté ses invités : ce ne serait qu'une anecdote si l'on ne saisissait qu'il peint aussi pour insulter l'image, l'identité de ce qu'il peint (y compris la sienne, quand il peint, avec rage, sur la photographie de son propre visage). Proche d'artistes comme Vedova et Reinhardt, qui ont joué presque exclusivement

une bête. Voltaire se moque un peu des hommes dans ce texte il les places au même niveau que les animaux voir en dessous. Chose importante : La noirceur de l’échange tient à l’énumération des violences. But du texte :faire rire Insulte simple gradation vers insulte violente Satyre repose sur cette inversion des critères. Texte 4 : Uzbek à Ibben à Smyrne A / B/ C/ Texte 5 : Chapitre 1 A / B/ C/ Texte 6 : Chapitre 6 A / B/ C/ Texte 7 : Chapitre 8 A / B/ C/ Texte

Bordure. La veille de la revue de l’armée, la reine a un rêve prémonitoire et tente de dissuader le roi de s’y rendre, mais celui-ci y va quand même, emmenant deux de ses fils tandis que le troisième, Bougrelas, est privé de revue parce qu’il a insulté Ubu. Pendant la revue, le père Ubu et Bordure réalise leur mission. Le roi et ses deux fils présents à la revue sont tués. La reine et Bougrelas fuient, mais la reine meurt de chagrin. Parvenu sur le trône, Ubu se montre extrêmement cruel et cupide

rombière" "mon cul", .... Cet effet comique est intensifié par les différentes insultes prononcées par la plupart des personnages, telles que " gros cochon ", " foireux ", " ah lessalauds ! ", cela fait rire d'autant plus quand ces mots sont dit par une petite fille de 12 ans. Soit dit en passant, on peut trouver dans ce livre, beaucoup de comiques de situations, notamment lesmoments pendant lesquels l'oncle Gabriel, sort des insultes devant sa nièce qui ne semble pas gênée, au contraire elle en rajoute,

prostituée. Les autre personne de la diligence l'insulte de « prostituée » « de honte publique ». Ainsi se trouve t' elle confrontée aux silence et aux regards moqueurs et dédaigneux des autre passagers. Mais Boule de suif n' en a rien à faire de leur insulte car c' est son travail de réconforter et de donner du ple passage qui nous est proposer pour notre commentaire littéraire est un extrait de «boule de suif» écrit par Guy de Maupassant et qui a était publier a la fin de l' année 1880. Grâce a ceux