Insurrections fédéralistes

« mise à l'ordre du jour, » elle s'achève avec la chute de Robespierre le 26 juillet 1794. La République française, alors engagée dans une guerre révolutionnaire contre une coalition européenne et une guerre civile contre lesroyalistes et les fédéralistes, est gouvernée par un pouvoir d’exception reposant sur la force, l’illégalité et la répression à l'encontre des opposants politiques qualifiés de « contre-révolutionnaires » ; royalistes, girondins, modérés.... Suite à la victoire des armées républicaines

C’est après ce coup de force que les Montagnards dominent la Convention. En 1793, la France est menacée par les armées étrangères, ainsi que par les insurrections intérieures: Les royalistes vendéens et le soulèvement des fédéralistes, girondins contre la politque centralisatrice de la convention montagnarde. Ces soulèvements fédéralistes ont des conséquences importantes et menacent la République. La Nouvelle constitution de l'An I est suspendue et les Montagnards établissent un gouvernement

1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée…). À la suite de la victoire des comités contre les factions au printemps 1794, il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par

1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée...).À la suite de la victoire des comités contre les factions au printemps 1794, il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par

HISTOIRE DE FRANCE ET D’ESPAGNE. VOLUME 2 Direcció General d’Educació Secundària Obligatòria i Batxillerat 23 � La montée des oppositions dans un contexte de crise : � oppositions multiples : • démocrates/républicains : clandestinité et insurrection ; • progressistes (Prim) : même attitude après 1865-1866 (boycott des élections) ; • unionistes : opposition ouverte (O’Donnell) ; � 1867 : pacte d’Ostende Démocrates-Progressistes prévoyant la destitution d’Isabelle II, des Cortes constituantes

1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée…). À la suite de la victoire des comités contre les factions au printemps 1794, il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par

Catholisisme et en réaction au decrès de Fevrier 1793 de levée en masse de 300 000 hommes. 2 Juin 1793: Convention assiégée par les SC votent l'arrestation de 29 députés Girondins. Donc Montagnards Victorieux politiques > Chute des Girondins: revolte fédéraliste à Lyon, Marseille, Bordeau + menaces. LA CONVENTION MET LA TERREUR A L'ORDRE DU JOUR Elle vote la loi des suspects du 17 Septembre 1793 qui permet d'arreter les ennemis de la libertés et vote aussi la loi du Maximum. Adopte la constitution

citadins) 1. ≠ Constitution civile du Clergé et obligation du serment 2. Résistance / décret de la levée en masse de 300 000 hommes (24 fév 1793) pour renforcer les effectifs militaires de la République - Contre-révolution urbaine avec les mvts fédéralistes (juillet 1793) - L’encadrement royaliste des armées vendéennes (Charrette, La Rochejaquelin …)= facteur de radicalisation de ces résistances à la RF II. L’absence d’actions concertées A) L’échec de l’utilisation des voies officielles

des circulaires à toutes les fédérations de l’AIT, dans lesquelles elle dénonce la dictature du Conseil Général (qui a adopté ces motions) Echos favorables : Belgique, Italie, Espagne, réfugiés français de la Commune, tous déjà gagnés à la cause fédéraliste et antiautoritaire. Marx ne se laisse pas impressionner et réagit : 1872 : Congrès de la Haye - Majorité favorable aux thèses de Marx - Minorité ne peut empêcher l’expulsion de Bakounine et de Guillaume. → 1872 sonne alors la scission de l’Internationale

soutenus par les sans-culottes des sections parisienne et le club des jacobins, les problèmes s'accumulent. La coalition des armées étrangères encercle les frontières, tandis que les troubles dans le pays se multiplient, guerre de Vendée et insurrection fédéraliste. La crise économique et la chute de la valeur des assignats entretiennent l'agitation populaire... Face à cette situation dangereuse pour le pouvoir, Robespierre fait voter par les Montagnards des mesures radicales que l'on regroupe sous