Intensité lumineuse

les interférences de la lumière. En 1821, Augustin Fresnel énonce que la conception ondulatoire de la lumière est seule capable d’expliquer de façon convaincante tous les phénomènes de polarisation en établissant la nature transversale des ondes lumineuses et en 1850, Léon Foucault fait prévaloir la théorie ondulatoire sur la théorie corpusculaire newtonienne avec son expérience sur la vitesse de propagation de la lumière. Il faudra attendre les travaux de James Clerk Maxwell pour expliquer le phénomène

corps est suspendu comme l'indique la figure. F1, F2 et F3 désignent les intensités des forces qui tendent les fils. En comparant ces 3 intensités, on peut dire que : L'intensité de F1 est supérieure à l'intensité de F2. L'intensité de F1 est inférieure à l'intensité de F2. Les intensités des 3 forces F1, F2 et F3 sont égales. L'intensité de F1 est égale à celle de F2, mais différente de celle de F3. La somme des intensités de F1 et de F2 est égale à celle de F3. 2) La poussée d’Archimède : est

essentiellement deux catégories de spectres lumineux: ™ les spectres d'émissions qui sont les spectres de la lumière émise par une source lumineuse. ™ les spectres d'absorption qui sont les spectres de la lumière ayant traversé de la matière. Que nous apporte un spectre lumineux? ™ Un spectre d’émission nous donne des informations sur la source lumineuse ( cf paragraphe 2 ) ™ Un spectre d’absorption nous donne des informations sur la matière traversée par une lumière ( cf paragraphe 3 ) La

de retrouver un nuancier plus ou moins complet sur le cercle chromatique. 1) Quelles couleurs faut-il associer pour obtenir du noir et avec quelle intensité ? 2) Quelles couleurs faut-il associer pour obtenir du blanc et avec quelle intensité ? 3) Quelle couleur obtient-on lorsque que les trois curseurs sont situés à la même intensité (1/3 puis 1/2 et enfin 3/4) ? Comment évolue sa teinte lorsque l’intensité des spots augmente ? 4) Placez les curseurs du bleu et du vert au maximum,

dans l’air, les ondes électromagnétiques se propagent à la vitesse de la lumière (c = 3.108 m.s–1) dans le vide et dans l’air et à une vitesse plus faible dans les autres milieux. Séquence 1 – SP02 3 © Cned - Académie en ligne Les radiations lumineuses sont des ondes périodiques que l’on peut caractériser par leurs fréquences mais aussi par leurs longueurs d’onde reliées par la relation suivante : c λ =cT = ν avec Q en m, T en s, S en Hz ; c est la célérité de la lumière : c = 3,00.108 m.s–1.

tournent autour du Soleil : satelittes, comètes, astéroïdes ...        Problème : - comment expliquer les différences de température constatées à la surface des planètes ?    II. La Terre une planète habitable au sein du soleil solaire.  1)     Intensité lumineuse reçue par les planètes en fonction de leur éloignement au Soleil. TP : L’énergie solaire reçue par les planètes è Lien entre l’énergie reçue et la distance au Soleil. Notions : L’énergie reçue par les planètes diminue avec l’éloignement au soleil

530 nm \ 500 nm 570 nm a 400 nm 450 nm 700 nm 400 nm 500 nm 600 nm 700 nm 800 nm violet : bleu vert jaune | rouge ng}go orange PriG. 6 Spectre dela lumiére bianctiel G2» Absorbance d'une solution Intensité lumineuse incidente — I, 0 Cuve Intensité lumineuse transmise I Pour une longueur d’onde donnée, l’absorbance A quantifie la proportion des radiations incidentes d’intensité |, absorbées en mesurant lintensité des radiations non absorbées | (doc. 2). Pour

temps entre les pannes d'un système réparable. (environ 10000 heures) Grey levels (nuance de gris) : représente l'intensité lumineuse d'un pixel, lorsque ses composantes de couleur sont identiques en intensité lumineuse. En général les logiciels graphiques proposent 16 ou 256 niveaux de gris. Luminosité : mesure photométrique de la densité de l'intensité lumineuse dans une direction donnée. Elle décrit la quantité de lumière qui passe à travers d'une région particulière, et s'inscrit dans

des paysagistes romantiques, comme les Anglais Cozens et Constable ; dans un paysage de Delacroix («Les nuages [...] sont d’une grande légèreté ; et cette voûte d'azur, profonde et lumineuse, fuit à une prodigieuse hauteur.» [‘’Le Salon de 1846’’]) ; chez Boudin («Tous ces nuages aux formes fantastiques et lumineuses […] toutes ces profondeurs, toutes ces splendeurs ne montèrent au cerveau comme une boisson capiteuse ou comme l'éloquence de I'opium. Chose assez curieuse, il me m’arriva pas une seule

des paysagistes romantiques, comme les Anglais Cozens et Constable ; dans un paysage de Delacroix («Les nuages [...] sont d’une grande légèreté ; et cette voûte d'azur, profonde et lumineuse, fuit à une prodigieuse hauteur.» [‘’Le Salon de 1846’’]) ; chez Boudin («Tous ces nuages aux formes fantastiques et lumineuses […] toutes ces profondeurs, toutes ces splendeurs ne montèrent au cerveau comme une boisson capiteuse ou comme l'éloquence de I'opium. Chose assez curieuse, il me m’arriva pas une seule