Intentionnel Conscience

(NCP) et l’article 111-1 énonce clairement : « Les infractions pénales sont classées selon leur gravité en crimes, délits et contraventions ». Certains auteurs avaient proposé de classer les infractions en infractions intentionnelles d’un côté, et en infractions non intentionnelles de l’autre, mais cette classification (tout à fait pertinente) n’a pas été retenue parce qu’elle entraînait trop de complications dans l’organisation judiciaire. La classification en crimes, délits et contraventions, révélée

théorie platonicienne des formes 4 La conscience comme intentionnalité 6 La théorie des essences de Husserl : fondamentalement différente d’un « réalisme des essences » 9 Conclusion 13 Bibliographie des œuvres citées et consultées 15 Introduction Dans son projet phénoménologique, Husserl prétend montrer comment le monde est inclus dans l’absolu du sujet. Comment l’objectivité est construite à partir même de l’expérience de conscience la plus profonde : l’intentionnalité

En face d’un produit des beaux-arts on doit prendre conscience que c’est là une production de l’art et non de la nature; mais dans la forme de ce produit la finalité doit sembler aussi libre de toute contrainte par des règles arbitraires que s’il s’agissait d’un produit de la simple nature. C’est sur ce sentiment de la liberté dans le jeu de nos facultés de connaître, qui doit être en même temps final, que repose ce plaisir, qui est seul universellement communicable, sans se fonder cependant sur

pourra se défendre en évoquant le trouble psychique. En effet, sur le plan du droit pénal strict, une personne ne peut se voir reprocher une infraction de coups et blessures volontaires, ou homicide intentionnel, si elle était en état d’épilepsie au moment des faits. Justine était elle conscience de son cas ? Si oui, pas d’imprévisibilité donc on ne peut pas retenir la contrainte. Dans le cas contraire, on répond aux conditions de la contrainte. La contrainte peut être invoquée dans le cas ou

I : « les valeurs monumentales et leur évolution historique » * « Monument »: sens le plus ancien et véritablement originel du terme =œuvre créée de la main de l’homme et édifié ds le but précis de conserver tjs vivant et présent dans la conscience des générations futures le souvenir de telle action ou de telle destinée * Valeur historique -est dit historique tt ce qui a été ms n’est plus aujourd’hui -aujourd’hui idée que ce qui a été ne sera plus - ce qui a

qu’un élement moral qui est constituée par une faute. En effet « il n’y a point de crimes ou de délits sans intention de le commettre » (article 121-3 du code pénal.) Toutefois les délits et crimes peuvent aussi être constitués par des fautes non-intentionnelles ce qui ne les privent pas d’élément moral mais de volonté de commettre l’infraction. Autre élément, pour que l’infraction soit constituée il faut considérer plusieurs facteurs. S’il existe un lien de causalité direct, la faute simple suffira

de ce qui lui arrive, mais tout est déterminé de façon nécessaire, ce qui ferait de lui un « objet » parmi tant d’autre. Face à cette hypothèse, se trouve une seconde, une thèse idéaliste selon laquelle l’homme est esprit et selon laquelle la conscience humaine qu’il possède permet la « liberté ». Il s'agit ici de dire que l'homme peut comprendre les causes physiques qui pèsent sur lui grâce à l’esprit, à sa pensée, et surtout peut trouver un moyen efficace de contrer ces influences qui l’entourent

du droit privé. Pas d’infraction, pas de peine sans texte, c’est la légalité des délits et des peines. #1. L’influence des sciences criminelles sur le droit pénal Cette influence est récente, apparue fin 19e siècle à la suite de la prise de conscience de la possibilité de lutter contre le crime par des outils raisonnés et scientifiques. A°/ Le contenu des sciences criminelles Les sc criminelles ne sont pas exhaustives, il y a +s disciplines que l’on peut regrouper en 2 grandes catégories :

conscient Conscience = cum scienta = avec savoir Être conscient c’es agir, sentir ou penser tout en savhant que l’on agit, sent ou pense. De manière classique, la conscience se définit comme la connaissance que l’Homme a de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. Avoir conscience de quelque chose c’est s’en rendre compte. On peut envisager plusieurs niveaux ou degrés de conscience : 1) La conscience immédiate : elle accompagne tous nos actes et toutes nos perceptions. 2) La conscience réfléchie :

le même sujet vient effacer celui qui était pénible. Même les personnes en bonne santé psychique n’aiment pas se souvenir de choses douloureuses, c’est pourquoi nous les refoulons vers la mémoire inconsciente, le souvenir existe toujours mais la conscience n’y a plus accès. Il arrive que nous ne réussissions pas à refouler un souvenir pénible, cela signifie que « l’instinct de défense » de l’esprit ne fonctionne pas. Dans ce cas l’élément qui ne peut être refoulé provoque l’oubli d’autre chose, un