Interaction durable

limitations? You need knowledge to deal with IC, you reveal your identity (disclosure) & fill in info about the other (closure), you construct knowledge about self & other in interaction (dis-closure). You share to reduce uncertainty. Punctuation Process of perception by which people organize their ongoing interactions into recognizable closing, causes & effects. People from different cultures define their collective identity by drawing boundary lines between them, looking for a mutually acceptable

autrui. Quand celui-ci est en interaction il contrôle l’accès aux informations pour ne pas que l’on remarque son homosexualité, pour ne pas être stigmatisé. Cependant, certains homosexuels ont une gestuelle et une manière de se comporter qui peut leur être propre. Dans ce cas, on peut considérer le stigmate comme visible, l’homosexuel est donc stigmatisé directement et doit essayer de diminuer le malaise, il maitrise au fur et à mesure les interactions et même les interactions les plus difficiles. Etant

sous-population des diplômés de classe supérieure jeunes ou âgés et de croiser l’ange et le sexe, c’est l’analyse multivariée : Conclusion : Nous sommes en présence d’une interaction ayant entraîné une universion de signes d’écart à l’indépendance lors d’une analyse multivariée. On s’aperçoit ainsi que ce sont les interactions qui perturbent le modèle additif : elles peuvent être de ce fait directement repérées dans le formalisme montré plus haut qui est simplement une analyse sur tri profond qu’on

objet de l’intérieur. Les interactionnistes replacent donc l’expérience des acteurs au cœur de la sociologie, en admettant que ceux-ci ont une capacité d’interprétation (des situations auxquelles ils sont confrontés) et de négociation (lors des interactions). Ses ouvrages principaux : GOFFMAN E., Stigmate. Les usages sociaux des handicaps, Paris, Editions de Minuit, 1975 (1963). GOFFMAN E., Les rites d’interaction, Paris, Editions de Minuit, 1974 (1967). GOFFMAN E., La mise en scène de la vie quotidienne

------------------------------------------------- Quels comportements (normes, déviances…) ? ------------------------------------------------- Quelles catégories d’individus ? ------------------------------------------------- Quelles sont les interactions entre individus et groupes d’individus ? * « Un sociologue de l’usine » DONALD ROY, Collection grand repères, recueil d’articles * « Street Corner Society » WILLIAM FOOTE WHYTE, structure sociale d’un quartier italiano-américain -------------------------------------------------

ROBERT Kévin TSTG2 PHILOSOPHIE Pourquoi échangeons-nous ? L’échange est l’action d’offrir ou de recevoir une chose ou une valeur contre une autre considérée comme lui étant équivalente : l’échange des services, l’échange des produits. L’échange est aussi, en un sens plus large, l’action de communiquer d’égal à égal avec réciprocité : l’échange des idées, des sentiments. Quotidiennement, l’homme a recours à l’échange pour interagir avec les autres hommes, par le biais de la parole, de la

d'un grand ensemble comme l'écosystème aquatique, on peut en changeant d'échelle descendre jusqu'à l'écosystème que constitue une simple flaque d'eau de pluie. Un écosystème n'a donc pas de taille minimale ou maximale. Dès lors qu'il existe des interactions entre les êtres vivants et leur milieu on parle d'écosystème que ce milieu soit un océan ou une flaque. Les écosystème restent néanmoins fragiles, et ce quelle que soit leur taille. Les équilibres qui s'installent entre le biotope et la bicénose

de Piaget, ses travaux portent également sur le développement cognitif de l’enfant. Cependant leurs théories divergent, principalement sur la question du rôle des interactions sociales dans le processus de développement cognitif de l’enfant. Vygotski se démarque plus encore des behavioristes qui eux ne s’intéressent qu’aux interactions directement observables sans prendre en compte les processus mentaux. Il expose sa théorie (nommée généralement théorie socio-culturelle ou historico-culturelle) dans

cadres » Il sait ou est apte à: • Comprendre: – lui-même (ses réactions dans une situation donnée, ses propres motivations, ses objectifs formels et latents, ses atouts, ses difficultés…) – les autres (les valeurs et les comportements, les interactions, les phénomènes de groupe, les leviers et les blocages dans l’action, les potentiels, la valeur ajoutée, les représentations,…) – les organisations (celle à laquelle il appartient, celle qu’il dirige, celles avec lesquelles il est en relation professionnelle

: Un problème est complexe quand il interagit avec d’autre. Il faut traiter les problèmes en les décomposant et rassembler les données pour identifier les liens possibles entre eux. Le travail de recomposition peut se faire par le repérage des interactions entre les divers objectifs et observation de la personne, ou par les moyens. La décomposition des objectifs part du générale au particulier ; elle peut ainsi dénombrer de multiples objectifs opérationnels. Cependant travailler une dizaine d‘objectifs