Intimité

2) Ces tableaux reflètent la pensée humaniste car ils mettent l’Homme en valeur comme, par exemple, dans « la Vierge Au Chancelier Rolin » la grandeur flagrante des personnages par rapport au cadre, ou encore le couple Arnolfini présenté dans son intimité (chose inimaginable à cette époque). 3) Ces tableaux se différencient de la peinture italienne de cette époque car l’artiste ne se sert point de la nudité de l’Homme pour le représenter dans toute sa splendeur, mais il se sert de détails dans

serviette de toilette propre sur le torse afin de respecter son intimité. Je m’apprête à commencer la toilette complète de Mr X. J’humidifie le gant de toilette avec du savon, l’aide-soignante lui retire la serviette de toilette qu’il avait sur le torse et je commence à laver. Je lave en premier le torse puis les bras, les mains et finis par les aisselles. L’aide-soignante lui remet la serviette sur le torse pour préserver son intimité. A présent je rince le gant de toilette pour rincer le torse de

lui faisait auparavant. Il est déjà important de prendre en compte les besoins et envies de la résidente. Il faut respecter la personne soignée. C’est ainsi que, dans cette situation, le respect des envies de Mme C. passe aussi par respecter son intimité et donc avoir une notion de proxémie avec son résidentce qui permet de favoriser la relation soignant /soigné. Effectivement, Mme C. avait l’habitude de se faire masser les pieds et voulant réalisant ces massages, c’est comme si je m’étais introduite

et si douce, si nacrée en son intimité. -Il y a un rêve de tranquillité que nous avons quand nous voulons « renter dans notre coquille ». Il faut être seul pour habiter une coquille : on consent à la solitude. -L’image dit l’isolement de l’être replié sur lui-même. L’homme trouve el repos maximum dans une coquille. Ch06 : les coins -Avec les nids et les coquilles nous étions devant des transpositions de la fonction d’habiter. Nous avons étudié alors les intimités chimériques ou grossières : aérienne

aucune intimité n’est possible. On couche en tas, on se succède, même dans le lit. On se lave ensemble. On entend, à travers les minces cloisons, tout ce qui se dit et se fait à coté. Comme l’espace du mineur est très restreint, la promiscuité provoque des querelles, des violences, l’obsession du mouchard… Mais cet espace n’est ni clos ni protégé comme celui des bourgeois. b) L’espace bourgeois. L’espace bourgeois est au contraire un espace clos, protégé, ou l’on peut préserver son intimité. C’est

remarquer celle des « draps humides », ni même les « sacs de blé » ou l'humidité du lieu. On constate donc que Charles semble plus charmer par les richesses apparentes de la paysanne que la demoiselle elle même. 2) A la conquête d'une intimité : Charles s'installe de plus en plus dans ce qui sera sa belle-famille, dont les retours à la narration sont les indices. Après avoir posé le pansement, Charles est invité à « prendre un morceau ». Cette invitation écrite au passé et en italique

d’elle-même. Je lui demande si elle a mouillé son lit ou pas. Si elle me répond oui je lui dit d’aller mettre ses draps sales à laver. Avant d’aller dans la salle de bain je lui demande de prendre sa robe de chambre pour l’après douche, pour son intimité physique, et que je rappel à G. d’aller aux toilettes car elle peut oublier d’y allé et uriner dans la salle de bains. La toilette G. se déshabille dans la salle de bain, met son change dans le sac poubelle et son linge salle dans le sac prévu

par dessus les chaises dans la scène du bal). Le duc surprend la princesse dans une tenue décontracté. Elle n’attend personne (l.20/21). Dénotations charnelles > « elle n’avait rien » (l.20) : effet sur Nemours ; « confusément », aspect négligé, intimité mais aussi sensualité. Nemours surprend aussi les sentiments de la princesse donc double voyeurisme. Les sentiment secrets. Ligne 28 à 33 insère le point de vue de la princesse dans celui du duc > mise en abîme. Réflexibilité des sentiments des

j’avais bien respecté sa dignité et son intimité. J’ai voulu pendant ce soin que mme C se retrouve en tant que femme et je pense avoir réussi mais pour en arriver à ce résultat, je me suis demandée ce que Mme C voudrait que je lui apporte en premier, quel geste je pouvais et devais lui faire ? Est-ce que je fais assez attention à son confort ? Mais aussi est ce que je respecte bien les règles d’hygiène ? Ai-je mis tout en œuvre pour préserver son intimité ? Le comportement de Mme C m’a beaucoup aidé

la met au courant que je vais effectuer sa toilette. Je prend tout le matériel nessaicaire afin d'effectuer sa toilette puis, je ferme la porte et je met la présence afin de ne pas etre déranger pendant le soin du résident et pour entretenir son intimité. Je n'oublie pas de fermer les ridauts. Ensuite, je me rend dans la salle de bain ou je prépar ma cuvette que je remplie d'eau chaude. Je prend également avec moi son savon et sa trousse de toilette. J'installe la cuvette sur l'adaptable avec