Israel Et Ses Voisins

Palestine : 1 état israélien et 1 état palestinien. Les guerres se sont multipliées entre Israël et ses voisins arabes refusent sa création. (Ex : - crise de Suez en 1956 - guerre des six-jours en 1967, elle est marquée par la victoire israélienne et l’occupation de la Sinaï de la bande de gaza, la Cisjordanie et le plateau au Golan - guerre du Kippour en 1973, l ‘Egypte et la Syrie attaque Israël pour récupérer les territoires occupés) Les deux grands menacent d’intervenir. L’OPEP

Bagdad dont l’ont ne reconnaissait pas les aboutissants, étaient trop risqué. - Même pour des raisons tactiques (à court terme) les États-Unis n’ont pas voulut renverser Saddam, ils ont installé des bases militaires américaines dans les pays voisins notamment en Arabie Saoudite et le Koweït. Donc l’installation des bases militaires américaines permanentes fait donc partie d’une stratégie (à long terme) qui vise à contrôler l’ensemble des richesses des pétrolières du Moyen-Orient et à pouvoir

de la Palestine, le 29 novembre 1947 et propose une carte où Jérusalem est internationalisée. En 1948, Israël est attaqué par ses voisins. A la fin de la guerre des observateurs sont envoyés pour surveiller le bon déroulement de la trêve. Après l'affaire de Suez : la région du canal est contrôlée par les troupes de l'ONU. Nasser exige le retrait de ces troupes . Le 6 juin 1967, Israël lance une attaque préventive contre l' Egypte . C' est la guerre des 6 jours. Le conseil de sécurité adopte

division de Jérusalem selon le principe « ce qui est juif à Israël, ce qui est arabe à la Palestine ; et le règlement de la question problématique des réfugiés. Or, une solution ne semble possible que si les acteurs prennent en compte les limites infranchissables de chacun, les lignes rouges de l’adversaire : le « droit au retour » des réfugiés palestiniens pour Israël ; la perpétuation du contrôle de l’esplanade des mosquées par Israël, pour les Palestiniens. Quant à l’éventualité d’un Etat binational

diplomatique/Armand Colin, page 59. CONSIGNE Montrez l’intérêt que présente l’étude d’une carte de cette région pour comprendre les grands enjeux du monde contemporain et la nature des nouvelles conflictualités. Soudan Massacres Réfugiés Famine Israël Palestine Occupation Colonisation Intifada Irak Saddam Hussein États-Unis 2003 Enlisement Iran Islamisme Arme nucléaire « État voyou » Afghanistan 11-Septembre Ben Laden/ Al-Qaïda Talibans OTAN Mer d’Aral Pakistan Islamisme Arme

SYRIE Moyen Orient Voisins : Liban, Israël, Jordanie, Irak et Turquie Au carrefour de plusieurs mondes (méditerranée, égyptien, mésopotamiens, anatolien, perse et arabique) Lieu passage invasion et conquêtes Depuis 16è s avant JC sous domination Egypte pharaonique, Assyriens, Perse, Alexandre le grand, romains, byzantins puis arrivée Islam 636 byzantin battus pendant bataille du Yarmouk contre musulmans ouverture de la voie pour l’Islam hors de la péninsule arabique. Dynastie des omeyades

facettes. La région est d’abord une zone de production pétrolière et surtout une zone d’interconnexion de nombreux oléoducs dont Moscou veut garder le contrôle. Il s’agit aussi d’éviter la propagation d’une vague séparatiste dans les républiques voisines du nord du caucase et d’affirmer la volonté de maintenir intact le territoire de la Russie. Depuis 1999, les Russes se présentent aussi comme des adversaires de l’islamisme radical engagés dans la lutte contre le terrorisme. Les grandes puissances

guerre1. Ce différend n'est pas encore réglé et les groupes allemands de droite exploitent le litige à des fins électorales. […] Israël était lui aussi inquiet des répercussions de la réunification sur les Juifs allemands. Alors qu’on craignait une dérive nationaliste, l'Allemagne a reconnu l'État d'Israël ainsi que sa responsabilité dans l'holocauste2. […] Si les voisins de l'Allemagne ont craint que l'importance de ses investissements économiques sur leurs territoires entraîne une forme de colonialisme

palestiniennes et syriennes. Amine Gemayel dissout le commandement de la Force arabe de dissuasion qui servait de couverture aux troupes syriennes le 31 mars 1982. Le gouvernement du président Germayel ouvre alors des négociations de paix avec Israël qui aboutiront à l’accord du 17 Mai qui n’entrera jamais en vigueur. Le chef de l’OLP, Yesser Araf revient au Liban avec un petit groupe de combattant, et s’engage dans des affrontements contre des libanais soutenus par la Syrie, mais il doit quitter

lancer dans une lutte terroriste, on peut penser qu'il aurait pu aider à faire entendre la voix de son peuple en Israël. Mais finalement, il semble qu'Amine ne veut choisir de camp entre sa culture d'origine et sa culture environnante. C'est ce qui le différencie profondément de Sihem qui n'a pas réussi se travail de distanciation avec le peuple palestinien et qui vit chaque jour passé en Israël comme une trahison à l'égard de son peuple. C'est cet « oubli » d'Amine qui choque et révolte les terroristes