Ivan Drago

Les fables de jean de la fontaine : Définition : Sens 1 : Récit en vers d'où l'on tire une morale. Sens 2 : Faux récit, mensonge. Sens 3 : Être la risée. Les fonctions de la fable I. Une fonction divertissante Le récit développé dans la fable a une fonction divertissante : il met en scène certaines situations plaisantes voire comiques. Le but de Lafontaine est de plaire, séduire son lecteur. Mais ce récit est plaisant justement pour inviter celui-ci à en poursuivre la lecture; car par le récit

entreprit la réalisation de son dernier film, Ivan le Terrible. Celui-ci devait à l'origine se diviser en trois parties, mais la deuxième étant censurée par le Comité central en 1946, la trilogie ne fut jamais entièrement réalisée. En 1942, artiste reconnu et apprécié par Staline, il disposa de moyens matériels impressionnants pour réaliser sa dernière oeuvre et il figura parmi les membres du Conseil artistique du comité du cinéma (crée en 1944). Ivan est à la fois une fresque historique et une

travaille d'arrache-pied à ses travaux littéraires. Gustave Flaubert le prend sous sa protection et devient pour lui une sorte de mentor littéraire, guidant ses débuts dans le journalisme et la littérature. Chez Flaubert, il rencontre le romancier russe Ivan Tourgueniev et Émile Zola, ainsi que de nombreux écrivains appartenant aux écoles naturalistes et réalistes. Il écrit beaucoup de vers et de courtes pièces. Toujours encouragé par Flaubert le vieil ami de sa famille, il publie en 1879 son premier livre

Le Laboureur et ses Enfants Dans sa fable, le fabuliste change ses habitudes. Il met en effet en scène des humains, plutôt que des animaux. Notons les majuscules à « Laboureur » et à « Enfants », ce qui leur donne une importance supplémentaire, comme les animaux dans ses autres fables. De plus, son histoire ressemble moins à une fable que les autres. La morale est décomposée en deux parties, au début et à la fin « Travaillez, prenez de la peine: / C’est le fonds qui manque le moins » l.1 – 2

Tourgueniev Ivan: (1818 – 1883)Ivan Tourgueniev par Ilya Repine (1874)Nom de naissance:Ivan Sergeïevitch TOURGUENIEVActivité(s):Romancier, novéliste, dramaturge Naissance: 9 novembre 1818, Orel, Empire Russe Décès:3 septembre 1883 (64 ans), Bougival (Yvelines), FranceLangue d'écriture:RussseMouvement: RéalismeGenre Littéraire:RomanOeuvres principales:Un mois à la campagne (1850)Premier amour (1860)Pères et Fils (1862)Biographie:Son nom était autrefois orthographié Tourguénieff. Sa famille est aisée

la Russie de l’Europe et occasionner son retard historique. En 1552, un renversement radical s’opère. La volonté des princes russes de trouver une identité face à l’envahisseur tatar, mène Ivan le Terrible aux portes de Kazan qui est prise cette année-là. Les Russes chrétiens dominent alors les Musulmans. Ivan le terrible se montre intraitable avec l’Islam : il abat les mosquées et forcent les populations à la conversion. L’Islam est interdit jusqu’en 1762. Avec Catherine II, l’Islam renaît en Russie

Texte 1 : ‘’Le Loup est L’Agneau’’ La Fontaine La Fontaine est un écrivain fabuliste du XVIIème siècle. Il s’est inspiré d’Esope et Phèdre qui sont deux fabulistes grecs de l’Antiquité. Son père était ‘’Maîtres des eaux et des forêts’’ ce qui va l’inciter à écrire des histoires mettant en scène des animaux et des végétaux. Il va être reconnu et protéger par Fouquet, qui est le 1er ministre de Louis XIV. Fouquet est donc le mécène de La Fontaine. La Fontaine va bien observer le monde de la cour

La préface des fables : L’étude des arguments avancés par Jean de La Fontaine et destinés à la défense du genre. La thèse du fabuliste passe par un récit imagé pour diffuser un message = argumentation indirecte = persuader - La Fontaine s’appui sur les fables du Grec Esope et du latin Phèdre et poursuit la tradition du récit imagé; il renouvèle ses fables ( nouveau P39 ) grâce à la versification et à la morale énoncée le plus souvent de façon explicite. La Fontaine donne une saveur

noires, catastrophes industrielles, pollutions diverses et variées seront accompagnées des cris d’alarme des pionniers de l’écologie médiatique (de Rachel Carson au commandant Cousteau) et des critiques acerbes des pionniers de l’écologie politique (Ivan Illich ou encore André Gorz pour ne citer qu’eux). Le début des années 1970 va marquer un tournant dans cette évolution, avec en particulier la publication du rapport du club de Rome sur les limites de la croissance (Meadows et coll., 1972), la création

espaces : villes et campagnes, quartiers dits défavorisés et quartiers bourgeois…). La liberté semble menacée et l’aliénation de l’homme par le travail et sa réification comme marchandise sont dénoncés par de nombreux auteurs. Ainsi, dans les années 70, Ivan Illich devient un auteur reconnu et polémique pour sa prise de position critique contre les valeurs portées par la société Il discerne dans La convivialité cinq risques majeurs pour l’homme dans la société moderne. 1. La surcroissance menace