Ivan Tourgueniev

philosophie de Tolstoï est parfois très différente de celle de Tchekhov. Par exemple, en 1894, Tchekhov manifeste son opposition aux idées d'« amour universel » Tolstoï. [2]Cette relation similaire est aussi apparue dans un œuvre littéraire de Tourgueniev, le roman Père et fils, entre le personnage Eugène Bazarov (l'ami de jeune Arcade) et Paul Kirsanov (oncle d'Arcade). Afin d’analyser leur comportement, nous nous demandons, malgré leurs apparences, s'ils possèdent des traits de caractères communs

historique de Jules Verne, paru en 1876. L'œuvre paraît du 1er janvier au 15 décembre 1876. Pour l'élaboration de ce roman, Jules Verne reçut des conseils de l'écrivain russe Ivan Tourgueniev.       L’histoire se déroule principalementent en Sibérie, conquise
> par les armées tartares de Féofar Khan, et de son associé le colonnel Ivan Ogareff, traitre du tsar. le tsar Alexandre II, dont le lecteur n’apprendra l’identité qu’à la fin du chapitre, cherche un courrier de toute confiance pour transmettre un

de l’Instruction Publique où il est transféré en 1878. Le soir, il travaille d'arrache-pied à ses travaux littéraires. Fin janvier 1877, Tourgueniev (romancier russe) le rencontre et le trouve malade. Le diagnostic tombe : la syphilis. Cette maladie viendras à bout de lui en 1893. Contemporain : Gustave Flaubert (romancier/ français) Ivan Tourgueniev (romancier, nouvelliste, dramaturge/ russe) Emile Zola (romancier/ français) Léon Tolstoï (romancier/ russe) Œuvre : Bel-Ami (roman/1885)

le naturalisme objectif d'un Zola et d'autre part vers le roman psychologique.Le roman russe a donné au roman réaliste plusieurs de ses chefs-d'œuvre : Guerre et Paix et Anna Karénine de Léon Tolstoï (1873-1877), Pères et fils de Ivan Tourgueniev (1862),Oblomov de Ivan Gontcharov (1858). Enfin, l'œuvre romanesque de Dostoïevski, dont l'importance pour l'histoire du roman est fondamentale, peut par certains aspects être rattachée à ce mouvement.Le réalisme s'impose également dans le reste de l'Europe

Flammarion, 2003. ISBN 2080711520. (GF). Voir compte rendu p.102. ESSAIS ET ÉTUDES CRITIQUES « Actes du colloque international Victor Hugo, Ivan Tourguéniev et les droits de l’homme », sous la direction d’Alexandre Zviguilsky, Paris, Bougival, 18-20 octobre 2002, in Cahiers Ivan Tourguéniev, Pauline Viardot, Maria Malibran, 26. Association des amis d’Ivan Tourguéniev, Pauline Viardot, Maria Malibran, 2003. ISBN 2903597022. Altérités d’André du Bouchet ; de Hugo, Shakespeare et Poussin à Celan, Mandelstam

derniers sous, allant jusqu'à gager l'alliance de sa femme. Le climat genevois ne lui plaît guère et il envisage de s'installer ailleurs. Ses contacts avec l'émigration russe sont mauvais : à Baden-Baden, il rencontre Ivan Gontcharov et se brouille définitivement avec Ivan Tourgueniev. À Genève, il rencontre Alexandre Herzen, il écoute Bakounine, mais le courant ne passe pas. Il n'y a guère que Garibaldi qui lui laisse une bonne impression. Le 22 février 1868, sa femme donne naissance à une petite

naturalisme objectif d'un Zola et d'autre part vers le roman psychologique. Le roman russe a donné au roman réaliste plusieurs de ses chefs-d'œuvre : Guerre et Paix et Anna Karénine de Léon Tolstoï (1873-1877), Pères et fils de Ivan Tourgueniev (1862), Oblomov de Ivan Gontcharov (1858). Enfin, l'œuvre romanesque de Dostoïevski, dont l'importance pour l'histoire du roman est fondamentale, peut par certains aspects être rattachée à ce mouvement. Le réalisme s'impose également dans le reste de l'Europe

pour devenir commis auprès de divers Ministères. Il se passionne pour l’écriture et se distrait en voguant sur la Seine en galante compagnie. Atteint de la syphilis, Flaubert le prend sous sa protection.Il rencontrera de nombreux écrivains dont Ivan Tourgueniev et Emile Zola. Ses premières publications seront des articles de presse. En 1879, il sort son premier livre « Histoire du vieux temps », s en suivra sa première nouvelle « Boule de Suif » en 1880. A la suite de ce succès il publiera de nombreux

est atteint de la syphilis. Cette maladie, il en mourra, elle ne cessera de nuire a l'existence du jeune homme. Gustave Flaubert le guidant dans ses débuts dans le journalisme et la littérature. Chez Flaubert, il rencontre le romancier russe Ivan Tourgueniev et Émile Zola, ainsi que de nombreux écrivains appartenant aux écoles naturalistes et réalistes. Il écrit beaucoup de vers et de courtes pièces. Il commence aussi à faire paraitre ses nouvelles dans plusieurs journaux importants comme Le Figaro

Paris, le jeune Maupassant passe dix années comme commis d’abord au Ministère de la Marine puis au Ministère de l’Instruction Publique où il est transféré en 1878. Le soir, il travaille d'arrache-pied à ses travaux littéraires. Fin janvier 1877, Tourgueniev le rencontre et le trouve tout décati. Le diagnostic tombe : la syphilis. Cette maladie - il en mourra - ne cessera d'empoisonner l'existence du jeune homme, même s'il s'en gausse alors : « J'ai la vérole ! enfin la vraie !! (...) Et j'en suis fier