J Ai Soif D Innocence

la diminution progressive de lumière, jusqu’à la dernière phrase où JJ s’enferme « tout au-dedans de lui » et éteint « sa lanterne ». La dialectique entre ombre et lumière renforce l’idée que JJ s’enferme dans une solitude sacrée, exemplaire. Cette soif de lumière dont il se faisait « un besoin » se heurte à « l’obscurité » qui caractérise une humanité délurée et pervertie. Ainsi cette lumière peut être interprétée comme étant celle de l’idéal dont JJ n’a pu se détacher entièrement pour passer dans

3 - Conduire ou choisir il faut boire. 4 - Si l'alcool vous gêne dans le travail arrêtez le travail. 5 - Boire au volant c'est pas bien. Faut boire à la bouteille. 6 - L'alcool tue lentement. M'en fous je suis pas pressé... 7 - Qui boit sans soif vomira sans effort. 8 - Vaut mieux être bourré que con, ça dure moins longtemps. 9 - L'eau est un liquide si corrosif qu'une seule goutte suffit pour troubler le pastis. 10 - La sobriété est une hallucination due au manque d'alcool. 11 - Qui boit

Bruno Hébert C’est pas moi, je le jure ! roman Il y a dans son roman une authentique saveur d’enfance, un regard émerveillé et curieux, une soif de vivre à toute allure. Marie-Claude Fortin, Voir Extrait de la publication Les Éditions du Boréal , rue Saint-Denis Montréal (Québec) HJ L www.editionsboreal.qc.ca Extrait de la publication C ’ E S T PA S M O I , JE LE JURE ! Extrait de la publication DU MÊME AUTEUR Alice court avec René, Boréal, ; coll. «

séries Friends, tanguy… L’automobile  C’est le règne de la voiture jouet : Twingo, Smart, nouvelle Mini de Rover. On demande à l’utilitaire d’être récréatif et jouissif : c’est alors la flambée des cabriolets ou des coupés. Elles répondent à la soif de nostalgie, au goût de l’authenticité et à l’envie d’être original dans son mode de déplacement. * Vendre aux adulescents permet d’adopter une stratégie de prix élevé, à condition que le produit soit original, ait une valeur de lien et un

Enfers. Injustement, sans forme de procès et sous une loi corrompue, elle fut condamnée à être emmurée vivante. Pour conserver sa dignité, elle se pendit, mais en vérité son cruel assassin est Créon. Ceux qui rougissent sont déjà coupables, la vraie innocence n’a honte de rien. Oui, Antigone même dans la mort garde la tête haute : la honte ne peut plus t’atteindre ! Ô Créon, roi de Thèbes couvre tes joues rouges car tu es coupable. Il crée les lois pour qu’elles servent ses intérêts et non ceux de Thèbes

* Au bout de quelques jours, Jacques se remet de ses blessures. * Cabuche apprend à Jacques le suicide de Flore. Il apprend aussi la mort de tante Phasie. * Jacques explique à Séverine le geste délibéré de Flore (p.352), motivé par sa soif de vengeance. * Misard continue ses recherches, sans aucun remords. * Dauvergne est rentré chez lui. Séverine avoue à Jacques qu’il lui a fait des avances, mais qu’elle a résisté. Elle le rassure en lui disant qu’elle n’appartient qu’à

nargue la foule la fleur à la bouche ou dans ses cheveux, avec son parfum, ses falbalas, ses écarts de langage et son inconduite de femme légère ; mais c’est parce qu’elle porte en elle-même la liberté comme la chair de sa chair. Par conséquent, sa soif d’indépendance la rend sauvage et viscéralement nomade. Toutefois, cette Espagnole est d’abord gitane, fille du voyage ; peut-être orientale, et de surcroît, presque égyptienne. Sans véritable patrie, la terre entière pourrait être sa richesse absolue

rappeler l’heure où je me suis voué à cette entreprise importante. J’ai commencé par habituer mon corps à la fatigue. J’ai accompagné des baleiniers dans plusieurs expéditions en mer du Nord; je me suis volontairement soumis au froid, au jeûne, à la soif, à l’absence de sommeil. Pendant la journée, j’ai souvent travaillé plus dur que n’importe quel marin, alors que la nuit, j’étudiais les mathématiques, les théories médicales et ces branches de la science physique par lesquelles un marin peut tirer

rappeler l'heure où je me suis voué à cette entreprise importante. J'ai commencé par habituer mon corps à la fatigue. J'ai accompagné des baleiniers dans plusieurs expéditions en mer du Nord ; je me suis volontairement soumis au froid, au jeûne, à la soif, à l'absence de sommeil. Pendant la journée, j'ai souvent travaillé plus dur que n'importe quel marin, alors que la nuit, j'étudiais les mathématiques, les théories médicales et ces branches de la science physique par lesquelles un marin peut tirer

plainte et de resserrement... Que fais-tu, hérissée, et cette main glacée, Et quel frémissement d'une feuille effacée Persiste parmi vous, îles de mon sein nu? Je scintille, liée à ce ciel inconnu... L'immense grappe brille à ma soif de désastres. Tout-puissants étrangers, inévitables astres Qui daignez faire luire au lointain temporel 20 Je ne sais quoi de pur et de surnaturel ; Vous qui dans les mortels plongez jusques aux larmes Ces souverains éclats