J Ai Vu L Etoile Flamboyante

Chapitre 1 Résultat et prologue Un personnage fort étrange, nommé Charles Dexter Ward, a disparu récemment d’une maison de santé, près de Providence, Rhode Island. Il avait été interné à contrecœur par un père accablé de chagrin, qui avait vu son aberration passer de la simple excentricité à une noire folie présentant à la fois la possibilité de tendances meurtrières et une curieuse modification du contenu de son esprit. Les médecins s’avouent complètement déconcertés par son cas, car il

derrière celui de Desdémone mais depuis qu’Hitler savait qu’elle avait un amant… il s’enfermait dans son atelier et se tapait la tête contre les murs. Se rendant à l’opéra, dans le hall, Onze heures trente vit un homme appuyé sur un pilier : «Tu as vu ce garçon. Il est beau non ? -Oui, qui est-ce ? - C’est Lars Ekström, le premier danseur des Ballets suédois. -Ah bon ? Mais comment le connais-tu ? -Je le connais très bien, dit-elle, c’est mon amant.» Adolf entretint une relation amoureuse avec

trois manières différentes : réaliste, stylisée et abstraite ! Volume * Pas de notion de paysage, de cadre spatial * Il utilise plusieurs techniques pour montrer le volume : * perspective de rabattement : les cornes d’un bouquetin vu de profil sont rabattues sur le même plan, de manière à ce qu’on les voie * technique d’estompage du trait : l’avant-plan est foncé, et plus on va vers l’arrière plan, plus les couleurs sont claires. Il se sert aussi de la couleur de la paroi

J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au delà. J’aime les grands contempteurs, parce qu’ils sont les grands adorateurs, les flèches du désir vers l’autre rive. J’aime ceux qui ne cherchent pas, derrière les étoiles, une raison pour périr ou pour s’offrir en sacrifice ; mais ceux qui se sacrifient à la terre, pour qu’un jour la terre appartienne au Surhomme. J’aime celui qui vit pour connaître et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhomme. Car c’est

Hanisch qui est sorti de prison, retrouve Adolf, pendant que Wetti découvre que Dolferl n’est qu’un imposteur, lequel n’a jamais fréquenté l’école des Beaux-Arts de Vienne. Il la quitte. A ce moment, Hanisch déniche un foyer pour hommes - cinq étoiles - construit pour les vagabonds de Vienne, avec l’argent de Juifs viennois très argentés. P 148 «… C’est un foyer – oui, un foyer pour hommes au Nord de la ville. Tout propre. Tout neuf, avec tout le confort moderne. Construit par des Juifs qui

J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au delà. J’aime les grands contempteurs, parce qu’ils sont les grands adorateurs, les flèches du désir vers l’autre rive. J’aime ceux qui ne cherchent pas, derrière les étoiles, une raison pour périr ou pour s’offrir en sacrifice ; mais ceux qui se sacrifient à la terre, pour qu’un jour la terre appartienne au Surhomme. J’aime celui qui vit pour connaître et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhomme. Car c’est

l'autre. Amour exclusif (voir discours d'Aristophane, désir de se réunir à l'être aimé qu'on a perdu). Mais Platon n'aime pas Aristophane, il le trouve faux. Qui montre, non pas l'amour tel qu'il est mais tel qu'il devrait être. Desiderare (sidus=étoile) : perte de l'étoile. Le désir, c'est faire l'expérience du manque, le désir est quelque chose qui n'est pas là. Par conséquent, on souffre. Une fois l'être aimé là, on ne souffre plus, mais on ne la désire plus non plus. Schopenhauer : « La vie

savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au delà. J’aime les grands contempteurs, parce qu’ils sont les grands adorateurs, les flèches du désir vers l’autre rive. J’aime ceux qui ne cherchent pas, derrière les étoiles, une raison pour périr ou pour s’offrir en sacrifice ; mais ceux qui se sacrifient à la terre, pour qu’un jour la terre appartienne au Surhomme. J’aime celui qui vit pour connaître et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhomme.

J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au delà. J’aime les grands contempteurs, parce qu’ils sont les grands adorateurs, les flèches du désir vers l’autre rive. J’aime ceux qui ne cherchent pas, derrière les étoiles, une raison pour périr ou pour s’offrir en sacrifice ; mais ceux qui se sacrifient à la terre, pour qu’un jour la terre appartienne au Surhomme. J’aime celui qui vit pour connaître et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhomme. Car c’est

trompe-l'oeil? Il n'y connaissait pas grand-chose en peinture. Son éducation artistique s'était faite sur des chromos ou des lithographies, dont les contours — nets et définis — étaient les mêmes vus de près ou de loin. Il est vrai qu'il avait vu des peintures à l'huile à la devanture des boutiques, mais les glaces l'avaient empêché d'approcher d'assez près. Il lança un regard vers son ami qui Usait toujours sa lettre et vit les livres sur la table. Dans ses yeux s'alluma une convoitise